Malgré son arrestation et sa conduite au parquet, avant-hier lundi, H. Bâ, élève doué, étudiant intelligent avec...
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Malgré son arrestation et sa conduite au parquet, avant-hier lundi, H. Bâ, élève doué, étudiant intelligent avec...
AMADOU DIALLO NAFAYA dit « ADN »est un jeune sénégalais natif de la commune de MAMPATIM située dans la région de KOLDA
L’arrestation du teigneux secrétaire général du Cusems Authentique, Dame Mbodj, avait fini de donner une autre tournure à l’affaire Sweet Beauté
Acteur éminent de l'élimination de Karim Wade et Khalifa Sall à la présidentielle de 2019, par voie judiciaire, Antoine Felix Diome, le nouveau ministre de l'Intérieur inquiète.
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 07 octobre 2020, à 10 heures, au Palais de la République.
Côté professionnel, on le prendrait pour le nouveau Kéba Mbaye de la justice.
Il y a des événements qui ne se produisent qu’une seule fois dans la vie et c’est vraisemblablement le cas de la rencontre historique entre...
Mame Makhtar Guèye, comme l'Ong Jamra au sein duquel il milite depuis plus 30 ans pour la préservation des "valeurs", ne fait pas l'unanimité.
Divers sujets d’actualité sont au menu de la livraison de mercredi de la presse quotidienne, dont les nombreux cas de noyade répertoriés depuis le 2 juin dernier à Dakar.
Sur la hausse des frais d’inscription aux différents examens et concours, notamment le Certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et le Brevet de fin d’études moyennes (BFEM), Mamadou Lamine Dianté affirme : «les frais d’inscription passent de 250 à 1.000 FCFA pour le CFEE et de 500 à 2.000 FCFA pour le BFEM, soit une hausse de 400%». Pointant un doigt accusateur vers les associations de parents d’élèves. Cette sortie soulève une vague d’indignation.
L’année scolaire 2016/2017 a été relativement stable, sans perturbations récurrentes. Cela devrait être une année académique avec zéro faute, n’eûssent été les fuites et fraudes notées lors des évaluations nationales, notamment le baccalauréat et le Brevet de fin d’étude moyenne (Bfem). Et pourtant, le respect du quantum horaire n’a pas eu des résultats escomptés.
Le ministre des Forces armées Augustin Tine et le commandant du Prytanée militaire Mbaye Guèye ont pris la défense de leur école, classée cinquième au Concours général. Un résultat qualifié de mauvais par certains observateurs mais qui à leurs yeux est loin de traduire le niveau réel des élèves.
Que vaut l’école publique sénégalaise à l’heure de l’application des directives présidentielles dégagées lors des Assises de l’Education et la Formation et les Concertations nationales sur l’avenir de l’enseignement supérieur (Cnaes) ? Les plans d’actions des syndicats d’enseignants ne constituent-ils pas désormais un programme à part entière d’une année académique sénégalaise ? Au regard de l’état de déliquescence de l’école publique, les réponses coulent de source.
A l’occasion du nouvel an, je suis heureux de m’adresser à vous pour vous présenter mes vœux.
Natif de Niodior, le professeur Amadou Sarr enseigne les mathématiques, les probabilités et les statistiques-mathématiques. Il exerce présentement à l’université du Sultanat d’Oman. Avant, il exerçait aux Etats Unis (où il a eu son post-doctorat) au Canada et en Suisse.
La réunion départementale des inspecteurs académiques de Dakar, Pikine et Guédiawaye pour évaluer l’année scolaire 2013/2014 s’est tenue ce mercredi 29 avril à la mairie de Dakar.
Abdou Salam Fall, 38 ans, est le fondateur de SeneWeb. Il jure ne courir "ni pour l’argent ni pour le pouvoir, mais juste pour satisfaire une passion pour l’informatique, née par hasard".
‘’Le redoublement est par nature un outil de sélection par l'échec’’. Cette affirmation dans une étude de la CONFEMEN semble être confirmée par les chiffres en 2013 dans le système éducatif au Sénégal. Le taux de redoublement et d’exclusion reste très élevé à l’école publique. L’occasion est donc donnée aux Assises nationales de l’Education ouvertes depuis hier de se pencher sur la question.
La Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique (COSYDEP) estime qu’il ‘’devient plus qu’urgent’’ de s’orienter vers ‘’une analyse critique et une évaluation approfondie des résultats scolaires de cette année, en vue d’identifier les relations de causalité et de proposer des mesures correctives’’.Dans une déclaration transmise à l’APS dimanche, la COSYDEP signale que le Sénégal ‘’vit un phénomène d’une sérieuse gravité, que sont ces autres résultats, absolument catastrophiques, à l’examen du Baccalauréat 2014’’.
Au total 197.061 candidats répartis dans 924 centres et 1.065 jurys entament, à partir de mercredi, sur l’ensemble du territoire sénégalais, les épreuves de l'examen du Brevet de fin d'études moyennes (BFEM).