Faut-il pour autant envisager la fin de tel
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Faut-il pour autant envisager la fin de tel
Le président de l'Assemblée centrafricaine reçu par Idriss Déby
La situation à Birao est toujours volatile, des combats ont eu lieu en début de semaine dans la région (Am-Dafock) entre deux groupes armés signataires de l’accord : le FPRC et le MLCJ.
La situation est toujours alarmante à Birao, ville de l’extrême nord-est du pays.
Une dizaine de personnes ont été tuées depuis dimanche à Birao, dans l'extrême nord-est de la Centrafrique, dans des combats opposant deux groupes armés signataires de l'accord de paix conclu en février, a indiqué jeudi le président Faustin Archange Touadéra.
Birao et ses alentours sont toujours sous tension hier dans l’extrême nord-ouest du pays, après les combats déclenchés dimanche par la mort du fils du sultan de la ville.
En Centrafrique, de violents combats ont éclaté hier dans la ville de Birao dans l’extrême nord-est du pays.
Il se dit "homme de paix" mais Noureddine Adam, l'un des principaux chefs de groupes armés qui sévissent en Centrafrique, fait la guerre et veut la continuer.
Un communiqué du FPRC de Noureddine Adam laisse entendre que les deux chefs de guerre parmi les plus puissants du pays sont prêts à faire cause commune. Un revirement majeur.
Le Forum de Brazzaville pour la paix en Centrafrique s'est achevé mercredi soir par la signature d'un accord de cessez-le-feu a minima, loin des objectifs fixés. L'accord a été signé par une quarantaine de représentants, centrafricains et étrangers. Mais déjà, des voix se font entendre pour dénoncer le texte, notamment au sein de la Seleka.
Jour après jour, la Centrafrique s’enfonce dans la violence. Ce lundi, c’est à Bambari, au centre du pays que de nouvelles exactions ont été perpétrées, entraînant la mort de 17 personnes.
La Centrafrique ne sera pas un guêpier militaire à condition d’une gestion politique avisée et d’un effort économique et humanitaire important.