Le débat sur la nécessité ou non d'abandonner le Fcfa s'est invité à la conférence de presse marquant la fin de mission de l'équipe du Fmi à Dakar
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Le débat sur la nécessité ou non d'abandonner le Fcfa s'est invité à la conférence de presse marquant la fin de mission de l'équipe du Fmi à Dakar
Dans une de ses récentes sorties, le Fonds Monétaire International (Fmi) exige du gouvernement de la République du Sénégal la suppression de certaines agences Nationales. Ce qui n'est pas du goût du Syndicat National des Cadres et Employés de l’Administration Publique (Synecap) qui condamne cette déclaration de Mr Boileau Loko, représentant résident du Fmi au Sénégal. Selon les membres de ce syndicat, le Fmi pose les jalons de l’élaboration d’une stratégie aux conséquences sociales désastreuses pour le Pays.
Même s’il concède que des pas importants sont faits, le Fmi demande au Président Macky Sall de maintenir la cadence. « Je dois reconnaître que beaucoup d’efforts ont été faits, mais c’est une course de fond. Il faut tenir tout le long », a déclaré Boileau Loko, le représentant résident du Fmi, à propos de la rationalisation des agences nationales entreprise par le chef de l'État depuis son accession au pouvoir.
«40 pays ont échoué dans leur plan de développement. Ils ont terminé sans la croissance et avec beaucoup de dettes», fait constater Boileau Loko, le représentant résident du Fmi à Dakar qui prenait part, samedi, à un panel sur la corrélation entre emploi des jeunes et émergence, tenu à l’Université de Dakar. «Au lieu d’avoir des projets bien préparés avec étude de faisabilité, cela n’a pas été effectif.
Le Fonds monétaire international (Fmi) qui a bouclé sa troisième revue sur l’instrument de soutien à la politique de l’Etat (Ispe), a formulé des propositions allant dans le sens de l’accroissement des recettes fiscales du Sénégal pour financer son développement. La mission du Fmi dirigée par Ali Mansoor, qui a séjourné au Sénégal du 17 au 30 août, a certes décerné un satisfecit au Sénégal, mais estime que les Sénégalais ne paient pas assez d’impôts.
Le représentant résidant du Fonds monétaire international, Boileau Loko, n’en est pas convaincu. Il ne partage pas du tout l’avis des autorités, dont le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, ou encore le Directeur de la Prévision et des Etudes économiques, Pierre Diouf, qui estiment que le taux de croissance de 6.5% en 2015, est une conséquence directe de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent.
Les autorités sénégalaises assurent et rassurent toujours que le niveau d’endettement du Sénégal est soutenable et se situe en deçà du seuil fixé par l’Uemoa. Cependant, le Fmi alerte.
Sénégal airlines, une compagnie aérienne qui n’existe que de nom. Sans flotte ni argent au moment où des salaires sont payés à un personnel. Une situation qui ne réjouit pas le Fonds monétaire international (Fmi), un des bailleurs du Sénégal qui recommande la fermeture de ladite compagnie. «La compagnie Sénégal Airlines est structurellement déficitaire. Elle a vu le jour avec des tares importantes. Cette compagnie coûte beaucoup d’argent à l’Etat.
Les quotidiens parvenus vendredi à l’APS traitent principalement des projections de croissance du Sénégal, en faisant état de ’’contradictions’’ entre les chiffres avancés par les autorités sénégalaises et celles annoncés par le Fonds monétaire international (FMI). Le Témoin quotidien rapporte que le FMI annonce un taux de croissance de 5,9% pour le Sénégal en 2016, une projection qui "contredit Amadou Bâ", le ministre sénégalais de l’Economie, des Finances et du Plan, qui table sur 6,4%, rapporte Le Témoin quotidien. "Dans leurs perspectives économiques mondiales, le Fonds monétaire international (FMI), tout comme sa consœur de la Banque mondiale, ne s’alignent pas sur la même longueur d’onde que le président Macky Sall qui chiffre le taux de croissance de l’économie sénégalaise à 6,4%", relève également La Tribune.
Seneweb vous disait ce jeudi qu’après l’annonce d’un taux de croissance de 6.4 % pour 2015 faite par le chef de l’État, le Fonds monétaire international, lui, « s’en est tenu » à sa prévision de 5.1 % pour la même année. Au point que certains se sont dit que l’institution financière a contredit le chef de l’État. Mais le FMI a tenu à expliquer les causes de l’écart entre les deux taux.
La croissance diminuera presque partout en 2015 en Afrique surtout dans les pays exportateurs de pétrole et moins dans les pays à faibles revenus, selon Roger Nord, directeur adjoint du département Afrique du Fonds Monétaire International (FMI).
Les bailleurs de fonds ont posé de nouvelles exigences aux conséquences sociales désastreuses à l’Etat. Après l’affaire des heures supplémentaires et des indemnités de correction des épreuves de philosophie, l’on s’achemine lentement mais sûrement vers la suppression d’autres agences, après l'Anej, Ajeb et Anama, avertit Grand-Place.
Le chef de l’Etat Macky Sall, lors de la visite, au Sénégal, de la Directrice générale du Fonds monétaire international (Fmi), avait demandé à son hôte de faire bénéficier à notre pays d’un nouveau programme qui puisse soutenir le Pse. Aujourd’hui, les autorités sénégalaises, qui ont fini de concevoir le programme, ont échangé avec les techniciens du Fmi, sur le fond de ce document, qui n’attend plus que la validation du conseil d’administration de l’institution de Bretton Woods.
La décision du Fonds monétaire international de classer le Sénégal parmi les pays à "haute capacité" dans la gestion des finances publiques signifie que le pays peut s'occuper par lui-même de la gestion de sa dette sans tomber dans un éventuel surendettement, a souligné, mercredi à Dakar, Boileau Loko, représentant résident de l'institution financière internationale.