« A Formose, par exemple, j’ai dragué la plus belle fille du pays, que j’ai épousée par la suite »
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« A Formose, par exemple, j’ai dragué la plus belle fille du pays, que j’ai épousée par la suite »
Comme l’Ougandais Idi Amin Dada, Jean Bédel Bokassa est l’une des figures ayant marqué l’histoire de l’Afrique au XXe siècle.
Valery Giscard d'Estaing s’est éteint, mercredi, à l’âge de 94 ans. Le plus jeune président de la Ve République de l'époque (47 ans) a su rénover la société française, avant que ce grand défenseur de l’Union européenne ne sombre dans l’oubli.
Ses relations avec le « Guide » et la chute de celui-ci, le rôle de Nicolas Sarkozy, mais aussi sa vie en Afrique du Sud et ses tentatives pour influer sur le sort de son pays. Pour la première fois, Béchir Saleh, ancien directeur de cabinet et ex-patron du fonds souverain libyen, livre une part de sa vérité.
Nicolas Sarkozy est en colère, une fureur incommensurable, disent les journaux. Une fureur justifiée car le contrat sur le prix du silence qui lie les anciens présidents français et le gouvernement français vient d’être rompu d’une manière unilatérale par les journalistes bien instruits. Il est surtout furieux parce que des hauts dirigeants ont informé la presse de sa présence aux émirats, et surtout cette presse prétend que la république lui accorde déjà près de 2,4 millions d’euros par ans au titre d’ancien président. Voilà ce qui rend Nicolas Sarkozy en colère car il y a une confusion entre deux dotations : Une légale, qui attribue à chaque anciens président 6000 euros par mois depuis 1955 Cette dotation est toujours en vigueur aujourd’hui et s’applique à Giscard d’Estaing, J Chirac et N. Sarkozy.
La Centrafrique est dans la tourmente. A Bangui, la ville est paralysée depuis ce vendredi 30 mai au matin par une nouvelle vague de manifestations contre le pouvoir. Au moins 3 personnes sont mortes et une dizaine ont été blessées. Les armes résonnent et les forces françaises et africaines ont riposté à des tirs
Le général sénégalais Amadou Bélal Ly, ancien aide de camp du président Léopold Sédar Senghor, est décédé lundi à l'âge de 88 ans à l’Hôpital Principal de Dakar, a appris l’APS de source militaire.
Le général Amadou Bélal Ly (88 ans) a indiqué qu’il était prêt à se tirer de sa retraite au Point-E de Dakar pour un nouvel engagement volontaire à aller prêcher la parole de la paix dans le maquis de Casamance (Sud), où il préconise le respect réciproque entre interlocuteurs, rapporte Armée-nation dans sa dernière édition reçue à l’APS.
L’ancien ambassadeur du Sénégal à Londres, El Hadji Amadou Niang, la rage au ventre, a fait l'analyse du premier tour de la présidentielle qui a vu la montée en puissance de l’ancien Premier ministre du Sénégal, candidat de l’opposition, Macky Sall. Ce dernier, qui fera face au président sortant, Me Abdoulaye Wade, au second tour de la présidentielle, est présenté comme le président du changement aux yeux des Sénégalais. Dans une entrevue accordée à Seneweb, M. Niang estime que « le processus démocratique est devenu irréversible ".
Premier ambassadeur du Sénégal à Londres sous le régime de l’alternance, El Hadji Amadou Niang s’est prononcé sur la situation politique du pays dans un entretien qu’il a accordé à Seneweb. Le diplomate est d’avis qu’Abdoulaye Wade doit quitter le pouvoir pour ne pas installer le chaos. Son Excellence, M Niang compare le président de la République à Bokassa. Entretien.
Qu’ils soient cadres, médecins ou militaires, les anciens du Prytanée* militaire Charles N'Tchoréré de Saint-Louis du Sénégal évoquent avec fierté leur école qu’ils considèrent, comme un «creuset de l’excellence». Cet établissement a formé plusieurs personnalités africaines : de l’actuel chef d’État-major des armées du Sénégal le général Abdoulaye Fall,
J’ai été à Frankfurt, à l’invitation de la communauté africaine et afro-allemande, pour présenter une communication sur l’Afrique des indépendances, enjeux démocratiques et perspectives économiques. Cette rencontre était d’une importance capitale. Le racisme naît de l’ignorance et l’ignorance de la méconnaissance. Si nous voulons combattre le racisme et les préjugés dans la tête des autres, nous devons commencer par leur dire qui nous sommes. A la demande de nombreux lecteurs, je veux partager avec vous l’essentiel de ce que j’ai dit à mes amis allemands.
Hier traité en paria, le Guide de la Révolution libyenne est parvenu à rompre l’isolement de son pays. Sans pour autant renoncer à ses ambitions de grandeur. Une simple visite n’en finit pas de faire trembler le microcosme politique français. Même la très sarko-compatibile Rama Yade, la secrétaire d’Etat française aux Affaires étrangères et aux droits de l’Homme n’a pas su se retenir au son de la farandole anti-kadhafienne. Il faut dire que le visiteur de la cité de Lumières n’est pas n’importe qui. Mouammar Al-Kadhafi ploie, depuis des lustres, sous le poids de la vindicte européo-américaine pour son « soutien au terrorisme international ». Mais le guide libyen a la peau dure. Le chantre des « Etats unis d’Afrique » a survécu à tout.