La libération imminente de Farba implorée à plus d'un titre
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La libération imminente de Farba implorée à plus d'un titre
Matam : Les chefs religieux implorent la libération imminente de Farba Ngom
Un feu de brousse qui s’est déclaré entre la route nationale n°2 et le village de Boynadji,
Les Français qui vivent hors de l'Hexagone éprouvent d'énormes difficultés pour bénéficier des services sociaux comme la prise en charge sanitaire et l'éducation de leurs enfants...
Après Touba, Gabrielle Zia Kane s’est rendue, le 21 août à Matam, dans le cadre de ses activités caritatives.
Fin du bras de fer entre le maire Moussa Bocar Thiam et...
Un feu de brousse qui s’est déclaré entre la route nationale n°2 et le village de Boynadji,
Les pluies d’hier, mercredi, ont fait deux morts et des dégâts importants.
Dans cette rubrique, Seneweb vous propose quotidiennement le programme de campagne des listes engagées pour les législatives. Les partis et coalitions qui le souhaitent, peuvent nous faire parvenir leur planning par mail à l'adresse suivante : newsdesk@Seneweb.com
Le poste de santé de Boyinadji, dans le département de Matam (nord), sera érigé en centre de santé répondant aux normes requises, a annoncé le maire de Nabadji Civol, Abdoulaye Sally Sall, par ailleurs ministre-conseiller auprès du chef de l’Etat.
Le bilan de l'accident des agents de la RTS survenu vendredi dernier dans la région de Matam, s’est alourdi dimanche matin, avec le décès de l’un des deux blessés, le preneur de son Mor Fall, rapporte Radio Futurs Médias (RFM, privée).
Un cameraman de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS, publique) a été tué, et deux de ses collègues grièvement blessés, dans un accident survenu, ce vendredi après-midi, à Sinthiou Baal, près de Boynadji (région de Matam), rapporte Radio Sénégal.
L'alternance ! Ce mot qui, jadis était magique, est aujourd'hui synonyme de tous nos malheurs. Devrions-nous regretter l'avènement de cette alternance ou plutôt regretter qu'elle soit tombée entre les mains d'un homme dangereux et médiocre, Abdoulaye Wade. Souvent, nous nous posons la question de savoir : qu'est-il advenu à celui qui s'est autoproclamé « Le plus diplômé du Cap au Caire »? Cette question est d'autant plus pertinente que Wade continue de faire la promotion de personnes médiocres, de criminels et de récidivistes. A la limite, nous croyons qu'il le fait pour humilier les sénégalais, mais force est de reconnaître qu'il ne peut pas faire mieux. Et, si nous nous référons à ce que dit l'adage « qui se ressemblent, s'assemblent », nous comprendrons aisément pourquoi notre cher président est très à l'aise quand il s'entoure de personnes qui n'osent et n’oseront jamais s’insurger en faux contre ses idées flottilles et souvent fantomatiques.
Karim Wade envisageait tout, il n’envisageait pas la défaite. Quand il a fini son interview avec les journalistes du Groupe Futurs Médias, il avait la chose pliée. Il était parti manger des « sushis ». Ses félons du dixième étage de l’immeuble Tamarro se voyaient déjà « projetés » au sommet. Ils cochaient quelques ministères d’Etat laissés vacants pour récompenser des vainqueurs de dernière minute. Les moins ambitieux se voyaient déjà PDG en son royaume de karimland. Juste au moment d’embarquer dans l’ascenseur, ils ont fait cette révélation aux journalistes, eux-mêmes abasourdis : « hamuleen Karim. Dafa am loumou andal. Dingeen ko giss leegi. » Ils venaient de s’entretenir avec sa sainteté le rarissime Karim Messie Wade. Ses félons hébétés découvrent maintenant que derrière l’écran de fumée entretenu à force de mensonges, le seul talent surnaturel de leur gourou qui leur était méconnu jusqu’ici, c’est qu’il sait disparaître mystérieusement en pleine déroute électorale.
Face à la déroute générale, les partisans du Président Abdoulaye Wade, ne résistent pas trop mal dans la région de Matam, grâce aux belles performances de son allié, le Parti de la Réforme de Abdourahim Agne. En effet, dans son fief, l’ancien président du Conseil régional de l’ancienne région de Saint-Louis de l’époque du régime socialiste, a permis de sauver les meubles pour le pouvoir du Président Wade. Et, cette victoire est d’autant plus importante que la Coalition Sopi a perdu dans une localité symbolique, Boynadji.Dans ce village de l’un des très proches conseillers du président de la République, et théoricien de la «Génération du Concret», chèr au fils et conseiller du chef de l’Etat, Karim Wade, Hassan Bâ, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a été battu jusque dans le bureau de vote dans lequel il a accompli son devoir. Dans son fief, Benno Siggil Senegaal réalise près du double du score de la coalition chère au Président Wade.
NETTALI.NET - Les dispositions du code électoral sont pourtant claires. Aucun candidat, aucune liste ne peut mener campagne à vingt-quatre heures du jour du scrutin. Des dispositions que Karim Wade et Hassan Bâ, membres de la Génération du concret et qui sont des candidats investis sur les listes de la coalition Sopi 2009 sont en train de violer. Karim Wade est dans cet après-midi du samedi 21 mars à Castors près de la Mosquée où il rencontre les populations pour les inviter à voter massivement pour la coalition Sopi 2009. Même démarche observée par Hassan Bâ qui s’est rendu dans son village natal à Boynadji depuis ce matin à bord d’un jet privé, pour demander aux jeunes de sa localité à voter eux-aussi pour la coalition Sopi 2009. Hassan Bâ a même mis la main dans la poche en leur offrant la somme de 500 000 Fcfa.
Karim Meissa Wade n’oubliera pas de sitôt ses derniers jours de campagne pour les élections locales. Après Boynadji où il a été copieusement hué mercredi, le fils du président de la République a été obligé d’écourter sa visite à Thiès ce vendredi, chassé par une pluie de pierres et des huées de citoyens hostiles. Les anciens du Parti démocratique Sénégalais, qui l’ont attendu pendant toute la journée pour s'entretenir avec lui, ont dû se rendre à l’évidence, en apprenant que de la promenade des thiessois, Karim Wade a fait cap sur Dakar pour échapper aux jets de pierre, constate le correspondant de la radio RFM.
La polémique enfle entre le ministre de l’enseignement élémentaire et les syndicalistes du Sels, au sujet de la dernière visite de Karim Meissa Wade au Fouta. Lors du meeting du fils du président de la République à Boynadji, des enseignants auraient libéré leurs élèves pour aller à l’accueil du président de la Génération du concret. Alors que les enseignants dénoncent cette « politisation de l’enseignement et l’humiliation des enseignants », le ministre Kalidou Diallo nie avoir donné l’ordre de libérer les élèves.
NETTALI.NET-C’est une véritable déconvenue que Karim Wade a connue lors de sa visite au Fouta. Le leader de la Génération du concret a été accueilli par une nuée de brassards rouges et par un concert de huées à Boynadji, fief d’Hassan Bâ, l’un des principaux animateurs de ce mouvement. Pourtant, la Génération du concret a déployé une impressionnante logistique, lors de la tournée de Karim Wade au Fouta. En effet, quatre avions ont atterri à l’aérodrome de Ourossogui avec à bord Karim Wade, des responsables locaux de la Gc et une foule de militants transportés depuis Dakar.
Me Aïssatou Guèye Diagne encore dans de sales draps. Après avoir évité la prison de justesse, la revoilà en proie à de sérieuses menaces de mort de la part d’un homme se présentant comme un soldat américain d’origine sénégalaise. C’est par courriel électronique en date du Jeudi 5 mars dernier que la notaire Aïssatou Guèye Diagne a pris connaissance des menaces de mort à son égard. L’auteur qui vit aux Etats-Unis depuis 1985 a utilisé le nom d’emprunt Wilson Brown. Ce dernier visiblement très remonté écrit dans sa lettre que la notaire lui aurait frauduleusement soustrait 40 millions de nos francs, par l’intermédiaire de sa tante.