Une tentative d’incendie a visé la chambre de transfert de Gaz de la société FOXTROT à dans le village d’Avagou à 9 km de Jacqueville (Côte d’Ivoire), dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 octobre 2025.
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Une tentative d’incendie a visé la chambre de transfert de Gaz de la société FOXTROT à dans le village d’Avagou à 9 km de Jacqueville (Côte d’Ivoire), dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 octobre 2025.
Un homme est mort mardi alors qu'il aidait les forces de l'ordre à démanteler des barricades près de la capitale politique ivoirienne Yamoussoukro, en proie à des blocages ponctuels de l'opposition, à trois jours de la présidentielle, a annoncé le Procureur de la République.
L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, désormais opposant et dont la candidature à la présidentielle de samedi a été rejetée, a qualifié mercredi le scrutin de "coup d'Etat civil" et de "braquage électoral".
Un gendarme ivoirien a été tué lundi par "des tirs d’arme à feu" lors d'une patrouille de sécurisation dans le sud du pays, une région en proie à des manifestations et blocages ponctuels de l'opposition, à cinq jours de l'élection présidentielle.
Les principaux partis d'opposition en Côte d'Ivoire ainsi que des organisations de la société civile ont dénoncé samedi l'interdiction et la répression de manifestations dans le pays...
Environ 700 personnes ont été arrêtées, pour avoir participé à des manifestations interdites de l’opposition, selon le procureur Oumar Braman Koné.
Vingt-six personnes ont été condamnées jeudi à 36 mois de prison ferme en Côte d'Ivoire, notamment pour "troubles à l'ordre public", accusées d'avoir participé à des manifestations interdites, a appris l'AFP vendredi auprès de deux avocats, dont l'un est membre du principal parti d'opposition.
Côte d’Ivoire : le procureur évoque le « terrorisme » après l’analyse des téléphones saisis lors de la marche du 11 octobre
Le procureur avait annoncé la répression fin septembre
Le parti de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo a affirmé dimanche que deux de ses cadres, dont un ancien ministre, étaient en garde à vue depuis vendredi pour leur responsabilité présumée dans des incidents survenus le week-end dernier à Abidjan, et a demandé leur libération.
Plusieurs cadres de deux partis d'opposition en Côte d'Ivoire, dont un député, ont été longuement entendus par la police mardi, avant de ressortir libres tôt mercredi matin, au sujet d'incidents survenus le week-end dernier à Abidjan, a-t-on appris auprès d'un de leurs avocats et d'un des partis.
Le Parti des peuples africains - Côte d'Ivoire, (PPA-CI), la formation de l'ex-président Laurent Gbagbo, a affirmé dimanche que six de ses membres ont été "enlevés et emmenés dans des lieux inconnus", dénonçant "une vague de répression", à moins de trois mois de l'élection présidentielle.
Jacques Mangoua a été condamné à 5 ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Bouaké jeudi 3 octobre.