L’ONU à 80 ans : Une occasion cruciale de renouveau
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L’ONU à 80 ans : Une occasion cruciale de renouveau
Les autorités congolaises espèrent conclure un accord avec l’administration Trump sur les ressources minières du pays, comptant sur le soutien américain dans leur lutte contre les rebelles du M23 et les forces rwandaises qui mènent une offensive dans l’est de la RD Congo. Des discussions préparatoires ont débuté, selon Kinshasa et Washington, bien que les contours du projet demeurent très flous.
Après une nuit relativement calme, Goma s'est réveillée mardi 28 janvier avec des fortes détonations et des échanges de tirs, notamment dans l'est de la ville, avec l'entrée dans plusieurs quartiers de combattants du groupe armé M23, soutenus par les forces rwandaises.
Goma, principale ville de l'est de la République du Congo, s'est réveillée lundi en plein chaos et secouée par des tirs d'artillerie lourde après l'arrivée la veille au soir de combattants du groupe armé antigouvernemental M23 et de soldats rwandais.
Le secrétaire général de l'ONU a appelé dimanche les forces rwandaises à se retirer du territoire de la République démocratique du Congo (RDC) et à cesser leur soutien au groupe armé M23, joignant sa voix à celle de plusieurs membres du Conseil de sécurité.
Le Conseil de Sécurité de l'ONU se réunit en urgence dimanche au sujet de l'intensification des combats dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) entre l'armée et le M23, groupe armé antigouvernemental soutenu par le Rwanda, qui font craindre un embrasement régional.
Kinshasa a annoncé samedi rappeler ses diplomates à Kigali après l'intensification des combats dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) entre l'armée congolaise et le M23, groupe armé antigouvernemental soutenu par le Rwanda et son armée.
Trois soldats sud-africains ont été tués dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) où les combats ont repris samedi...
L'Union européenne a exhorté samedi le groupe armé antigouvernemental M23 à cesser son avancée dans l'est de la République démocratique du Congo et...
«Je ne suis pas sûr qu'on défende une civilisation en semant soi-même la barbarie», a déclaré ce jeudi à Paris Emmanuel Macron, s'en prenant de nouveau à Benjamin Netanyahou, qui affirme défendre la civilisation judéo-chrétienne dans le combat israélien à Gaza ou au Liban. Le torchon semble brûler entre les deux hommes.
L'armée israélienne a annoncé lundi avoir frappé environ 300 cibles du Hezbollah au Liban en 24 heures, après avoir élargi son offensive contre le groupe pro-iranien en visant son système financier, les Etats-Unis affirmant oeuvrer pour mettre fin "au plus vite" à la guerre dans ce pays.
Déjà enflammé, le ton s'est encore durci mardi entre le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, avec un nouvel échange très ferme qui a porté cette fois sur le rôle de l'ONU dans la création de l'Etat d'Israël.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé lundi qu'Israël continuerait "à frapper sans pitié le Hezbollah" au Liban, au lendemain de l'attaque la plus meurtrière du mouvement pro-iranien sur le sol israélien en près d'un mois d'escalade militaire.
Le Hezbollah libanais a menacé lundi Israël de nouvelles attaques en cas de poursuite de son offensive au Liban, au lendemain d'une frappe de drone ayant tué quatre soldats israéliens sur une base militaire au sud de la ville de Haïfa.
Le Hezbollah a revendiqué dimanche une attaque de drones sur une base militaire du nord d'Israël, qui a fait plus de 60 blessés dans le secteur, au moment où il mène des combats rapprochés au Liban avec l'armée israélienne, qui intensifie ses frappes aériennes contre la formation pro-iranienne.
Monsieur le secrétaire général, mettez les forces de la Finul à l’abri.
Israël a intensifié dimanche ses frappes au Liban et mène des combats au sol contre le Hezbollah dans des secteurs proches de la frontière, le Premier ministre israélien appelant l'ONU à mettre "immédiatement à l'abri" les Caques bleus qui font tampon entre les deux pays.
Le ministère français des Affaires étrangères a annoncé vendredi avoir convoqué l'ambassadeur d'Israël en France après "des tirs israéliens délibérés" contre la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), dont Paris est l'une des principales contributrices.
Encore un autre incendie provoqué par un court-circuit a la maternité de l'hôpital Abdoul Aziz Sy Dabakh de Tivaouane. La service en question a finalement été temporairement fermée et les patientes transférées au centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéguene de Thiès.
L'armée israélienne a mené jeudi soir deux raids aériens meurtriers sur la capitale libanaise, rarement frappée depuis le début de sa guerre ouverte contre le Hezbollah, après des tirs visant selon l'ONU le QG des Casques bleus au Liban, qui ont provoqué un tollé diplomatique.