GRÈVE DES ÉTUDIANTS : Les vérités de Thierno Alassane Sall au gouvernement
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GRÈVE DES ÉTUDIANTS : Les vérités de Thierno Alassane Sall au gouvernement
Diomaye Faye, pouvoirs, influence… : comment Ousmane Sonko a changé le poste de Premier ministre
Les réactions s’enchaînent à la suite de la déclaration du conseil constitutionnel ce mercredi 23 avril. Pour l’institution, la loi d’interprétation de la loi d’amnistie, votée le 2 avril dernier, est contraire à la constitution. Dans un communiqué publié ce mercredi, le Secrétariat Exécutif National s’est félicité de la « sage décision du Conseil Constitutionnel » de juger contraire à la Constitution la loi d’interprétation votée par l’Assemblée nationale.
Depuis l’inauguration de la fonction par Abdou Diouf, en 1970, aucun des quatorze précédents chefs du gouvernement que le Sénégal a connus n’a paru aussi puissant que l’actuel.
Le Secrétariat politique exécutif (SPE) de l’Alliance des forces de progrès (AFP) s’est réuni, ce jeudi.
Ils ne sont pas tous champions olympiques mais ils écrivent aussi l'histoire de ces JO de Tokyo.
le torchon brûle entre le pouvoir de transition et la Commission de l’UA depuis la nomination du Sénégalais Ibrahima Fall au poste de haut représentant de l’Union africaine...
Les heurts consécutifs à la convocation d'Ousmane Sonko par la justice en exergue
Encore un "Game of throne" à la socialiste.
Avant la journée internationale des droits des femmes, le président russe a rendu visite à des cavalières de la police.
C’est ce matin que le procès de Karim Wade va reprendre après près de 40 jours de suspension. Avec le retour à Dakar d’un des principaux acteurs de ce feuilleton politico-judiciaire, Ibrahim Khalil Bourgi dit Bibo, accusé de complicité d’enrichissement illicite, le procès va certainement reprendre sous les chapeaux de roues.
Au cours de son grand oral à la Table de la presse ce dimanche 9 novembre, le président Macky Sall a jugé bon de mettre les points sur les I concernant les accusations de l’ancien président Abdoulaye Wade dans l’affaire Accelor Mittal. Le chef de l’Etat a qualifié les propos selon lesquels, lui et son ministre de l’Energie, auraient touché des pots-de-vin, de diffamatoires. A l’en croire ces accusations sont non fondées et ceux qui les avancent ne détiennent aucune preuve de leurs dires.
A l’approche des joutes électorales de février 2012, l’angoisse des sénégalais s’intensifie et le choix semble de plus en plus difficile. Le Peuple n’a plus confiance en sa classe politique, le 19 mars 2000 est passé par là. La confiance portée en l’alternance par la majorité des Sénégalais n’a pas porté ses fruits, mais n’en a pas moins détourné les Sénégalais de la chose politique. Les espoirs perdus du 19 mars ont juste exacerbé le doute des sénégalais envers la classe politique. En effet, les Sénégalais veulent bien reprendre leur destin en main en choisissant un Homme ou une Femme apte à trouver des solutions à leurs problèmes de survie, d’inondation, d’énergie, etc. mais surtout, dans l’équité et la transparence. Cependant, les forces politiques en présence, devrais-je dire les faiblesses politiques en compétition ne plaident pas en faveur d’un choix clair, réfléchi et susceptible de répondre positivement aux attentes des sénégalais.
Il y a 10 ans jour pour jour, le 19 mars 2000, le Sénégal élisait un opposant à la tête du pays et connaissait une alternance démocratique. Abdoulaye Wade remportait l’élection présidentielle en brandissant le mot d’ordre du « sopi », le « changement » en wolof. 10 ans plus tard, peut-on dire que ce changement est survenu ? En matière économique le bilan est en tout cas mitigé, car si le Sénégal a fait des progrès sur certains points importants pour sa compétitivité, il cherche toujours de nouveaux moteurs de croissance.
Le Comité national de gestion (Cng) de lutte a pris la décision, cette année, de statuer sur l’épineux problème des quatre appuis, que nombre d’amateurs ont réclamé, pour mettre un terme aux manœuvres peu cavalières de certains lutteurs, qui utilisent ce procédé, pour tricher. On a vu l’année dernière des lutteurs ramper à quatre pattes (deux mains et deux genoux à terre) vers les sacs, pour se sortir d’une position défavorable. Des scènes de ce genre foisonnaient dans l’arène, engendrant le courroux des amateurs, surtout ceux de la première heure qui ont vécu jadis des moments mémorables de lutte où ce genre de comportement n’existait pas dans l’arène. Mais depuis un certain temps, le lutteur en mauvaise posture, utilise cette ruse pour se tirer d’affaire.
Sur les rampes de l’actualité depuis l’avènement de l’alternance, le commissaire Assane Ndoye est sur une corde raide. Les affaires Dansokho et Jean-Paul Dias sont en effet venues remettre en cause la manière de fonctionner de notre Police nationale. De plus en plus de voix s’élèvent venant de hauts responsables pour dénoncer des procédures cavalières en lieu et place des méthodes plus fines, connues jusque-là. La dernière intrusion des forces de l’ordre à l’Eglise sera-t-elle la goutte d’eau de trop ? Les commentaires vont en tout cas bon train au niveau de la haute hiérarchie de la police. Certains responsables de Police ne comprennent en effet pas les « maladresses commises avec Dias ».
Sur les rampes de l’actualité depuis l’avènement de l’alternance, le commissaire Assane Ndoye est sur une corde raide. Les affaires Dansokho et Jean-Paul Dias sont en effet venues remettre en cause la manière de fonctionner de notre Police nationale. De plus en plus de voix s’élèvent venant de hauts responsables pour dénoncer des procédures cavalières en lieu et place des méthodes plus fines, connues jusque-là.La dernière intrusion des forces de l’ordre à l’Eglise sera-t-elle la goutte d’eau de trop ? Les commentaires vont en tout cas bon train au niveau de la haute hiérarchie de la police. Certains responsables de Police ne comprennent en effet pas les « maladresses commises avec Dias ». « Jean-Paul Dias a une adresse.