De son vrai nom Mor Talla Sow, c'est un Per Bu Khar très différent de celui qu'on voit sur scène. Dans une interview avec Le Populaire, l'enfant de Guéwoul, très timide de nature n'a pas manqué de se définir comme quelqu'un de "clean".
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De son vrai nom Mor Talla Sow, c'est un Per Bu Khar très différent de celui qu'on voit sur scène. Dans une interview avec Le Populaire, l'enfant de Guéwoul, très timide de nature n'a pas manqué de se définir comme quelqu'un de "clean".
Que nous arrive-t-il ? Le Sénégal s’est toujours signalé au monde par la célérité de ses cerveaux. L’homo senegalensis s’est toujours bien exporté dans les universités occidentales, dans le système des Nations unies et dans les plus grandes institutions internationales. « Le Sénégal, un petit pays, des ressources humaines enviées ». C’est ce qu’on avait l’habitude d’entendre ou de lire. Cela flattait notre ego et nous donnait envie de toujours nous illustrer. Foin de ce temps béni où l’école produisait des intellectuels de la veine de Cheikh Hamidou Kane, Souleymane Bachir Diagne, Mamoudou Touré, Mamadou Lamine Loum, etc. Ce temps appartient désormais à l’imaginaire. Au conte. Il était une fois…
Nouvelle Danse Caxagun Danse Part2
Nouvelle Danse Caxagun Danse Part1
Les femmes ne sont pas les seules à détenir la clé des astuces dans un ménage. Qu’ils le disent ou pas, les hommes sénégalais sont tout aussi astucieux à l’égard de leurs femmes. Ils étalent leur savoir-faire en matières d’astuces pour participer à l’épanouissement de leurs compagnes et dansent même le caxagun quand les chats sont gris.
Qui dit soirée sénégalaise, dit forcément tenues traditionnelles. Du moins jusqu’à un certain temps pas lointain, c’était cela la règle. Car c’est cela qui faisait, jadis, la particularité de ces soirées. L’habillement dans ce genre de rendez-vous, c’était les «Taille-basses», les «Grands-boubous», les «Abaya», etc. Avec des couleurs diversifiées. Mais voilà que, depuis peu, ces tenues ont tendance à disparaître du décor des soirées sénégalaises pour faire place aux habits modernes, qu’on avait tendance à voir dans les soirées discothèques.
Danse à la mode qui fait fureur partout au Sénégal et même ailleurs, le «Caxagun» reste à être cerné. Il se dit que ses origines viendraient d’un batteur de tam-tam, avant qu’elle ne soit concrétisée par une danseuse. «Je n’ai pas sorti le ‘Caxagun’, c’est un batteur de tam-tam du nom de Pape Moussa qui habite marché ‘Bou-bess’, à Guédiawaye, qui a été le premier à le jouer et c’est une de mes danseuses, Maguette Seck, qui l’a dansé pour la première fois», commence par nous expliquer la danseuse Ndèye Guèye qui affirme l’avoir juste rendu célèbre. «J’ai dansé le ‘Caxagun’ le 24 décembre dernier à la Tfm et cela a fait le tour du monde