Guinée équatoriale: un fils du président Obiang condamné à six ans de prison
il y a 1 mois
4,231 Lectures
0 Commentaires
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Guinée équatoriale: un fils du président Obiang condamné à six ans de prison
Le tribunal de Malabo s'est penché cette semaine sur des détournements de fonds à la compagnie nationale aérienne Ceiba Intercontinental, attribués à un des fils du président Obiang de Guinée équatoriale et trois anciens directeurs, pour plus de 4 milliards de francs CFA (plus de 6 millions d'euros).
![[Vidéo] Guinée Équatoriale : Après son arrestation, Ruslan Obiang Nsue livre sa vérité des faits](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//8cf45df214b222d4010e6532b798da9bd4b051f7.jpg)
L'un des fils du président de Guinée équatoriale, Ruslan Obiang Nsue, soupçonné d'avoir vendu un avion de la compagnie aérienne nationale, a été arrêté lundi et placé en résidence surveillée, a annoncé mardi la télévision d'État (TVGE)...
L'un des fils du président de Guinée équatoriale, Ruslan Obiang Nsue, soupçonné d'avoir vendu un avion de la compagnie aérienne nationale, a été arrêté lundi et placé en résidence surveillée...
Le tribunal de Malabo s'est penché cette semaine sur des détournements de fonds à la compagnie nationale aérienne Ceiba Intercontinental, attribués à un des fils du président Obiang de Guinée équatoriale et trois anciens directeurs, pour plus de 4 milliards de francs CFA (plus de 6 millions d'euros).
Une prestigieuse supportrice a assisté, ce jeudi à Malabo, à l'entraînement des Lions en vue de leur match contre le Nzalang nacional, l'équipe de la Guinée équatoriale, samedi à Bata (5e journée Can-2019).
En vue de Guinée équatoriale-Sénégal (5e journée Can-2019), samedi prochain, les Lions sont en stage à Malabo, la capitale guinéenne.
Libération a épluché les 315 pages du rapport du Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile chargé de faire la lumière sur le crash d’un avion de Sénégalair qui a fait sept morts après avoir heurté un avion de CEIBA le 5 septembre 2015. Une constate : l’avion ne devait pas être dans les airs. Nous reproduisons in extenso les faits établis par les enquêteurs qui éclaboussent l’ANACIM (Agence nationale de l’Aviation civile et de la Météorologie) mais aussi Sénégalair qui exploitait l’appareil.
L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) a annoncé dimanche soir que l’aéronef de Sénégalair air immatriculé 6 VAIM en provenance de Ouagadoudou et qui fait actuellement l’objet de recherches en mer avait croisé le vol CEIBA (CEL 071) Boeing 737 800 à destination de Cotonou, à 18h 12 min GMT à environ 300 NM (555KM) de Dakar.
L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) a annoncé dimanche soir que l’aéronef de Sénégalair air immatriculé 6 VAIM en provenance de Ouagadoudou et qui fait actuellement l’objet de recherches en mer avait croisé le vol CEIB (CEL 071) Boeing 737 800 à destination de Cotonou, à 18h 12 min GMT à environ 300 NM (555KM) de Dakar.
Un Boeing-777 de la compagnie de Guinée équatoriale Ceiba Intercontinental a été saisi vendredi en France à l’aéroport de Bâle-Mulhouse (est) dans le cadre d’un litige autour de créances réclamées à cet État africain, a-t-on appris de sources concordantes.
Depuis aout 2014, les autorités aéroportuaires sénégalaises ont ouvert leur espace aérien à la compagnie Equato-guinéenne, Ceiba Intercontinental. Seulement, «Libération» informe que cette compagnie aérienne figure sur la liste noire de l’Union européenne depuis 2008. Une interdiction renouvelée par l’Ue en 2012 parce qu’estimant que cette compagnie aérienne ne respecte pas les normes internationales applicables en matière de sécurité. L’on se demande si les autorités de l’Anacim étaient au courant de cela avant de dérouler le tapis rouge à Ceiba Intercontinental.
