Le proviseur du lycée de Thillé Boubacar (département de Podor), se veut clair quant à la correction à l’école.
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Le proviseur du lycée de Thillé Boubacar (département de Podor), se veut clair quant à la correction à l’école.
Le joueur portugais de Manchester United lui a offert son maillot à la fin du match pour se faire pardonner.
La star de la Barbade, résidente américaine mais qui n'y a pas le droit de vote, a posté un message sur son compte Instagram, où elle est suivie par 65 millions de personnes.
Nommé doublement ambassadeur par son guide spirituel Cheikh Bethio Thioune et par l’hôpital de Fann pour les enfants hydrocéphaliques, Omaro compte représenter et hisser le drapeau des thiantacounes, à travers le monde. Artiste-chanteur-animateur, il dit ne rien faire sans l’aval de son guide. À travers un entretien accordé au quotidien La Tribune dans son édition de ce samedi 30 janvier 2016, il lève un coin sur sa vie.
Assiste-t-on à une évolution des prototypes conventionnels de l’habillement masculin ou était-ce une mode passagère ? Les commerçants rassurent, que cette mode est saisonnière et ne va pas durer.
En cette période de jeûne, hommes et femmes changent leur façon de s'habiller, afin de mieux être en adéquation avec ce temps de sainteté. Tromperie ou abnégation, EnQuête est allé à la rencontre des jeûneurs.
Le célèbre islamologue a fustigé cette tendance consistant aujourd’hui chez les jeunes hommes à laisser tomber leur pantalon pour faire apparaître les petites culottes. Ce qu’on dénomme le "check down" est pour El Hadj Moustapha Guèye « le reflet d’une absence d’éducation et de manque de considération pour ses semblables ».
Le nouveau style d’habillement des jeunes inquiète beaucoup les parents. Certains ne veulent pas appeler à la création d’une police de contrôle de l’habillement correcte, mais crient leur ras-le-bol devant cette manière des jeunes de s’habiller, indécent, désinvolte et dégueulasse, appelé criss-cross ou chek-down.
Un nouveau genre de mecs devient plus qu'un phénomène de mode au Sénégal. C'est un fait de société. Du jean slim (niapp) aux chemises aux couleurs assez féminines en passant par les fringues extravagantes, les Sénégalais sont maintenant de véritables metrosexuels.
Dans un micro-trottoir effectué par une radio de la place sur l’habillement des adolescents, une maman, sans doute fauchée, a lancé sur un ton amer qu’elle doit son manque d’argent aux jeunes filles. En effet, puisant dans une croyance populaire, elle a estimé que les jeunes filles outrageusement vêtues qu’elle croise le matin ou avec qui elle partage le car-rapide en allant vendre son poisson lui porte la poisse, en dévoilant à qui mieux mieux certaines parties intimes de leur corps.
Noyade lundi 12 septembre à Guédiawaye d’un jeune homme. Il s’agit de la énième tragédie sur cette plage pourtant interdite. Il ressort d’ailleurs des informations reprises par la presse que le Groupement national des sapeurs pompiers (Gnsp) a dénombré 67 cas de noyade entre le 1e mai et le 25 août. 61 ont rendu l’âme, ajoute la même source. Il est 10 heures 55, lorsque notre véhicule s’immobilise face à la plage du « Virage ». En cette fin de ramadan, le temps est plus ou moins ensoleillé. Les gens viennent se baigner à cause de la chaleur. D’autres sont là pour évacuer le stress ou s’adonner à la lecture. Mais cet espace maritime est interdit de baignade
Un tour la nuit du 31 décembre dans les différentes places publiques, salles de spectacle et boîtes de nuit de Dakar nous a permis de constater que la soirée a été à la fois éblouissante, détonante et bien arrosée par endroits. Les Dakarois ont célébré le Nouvel An dans la liesse et l’allégresse. A vingt heures déjà, les plus petits donnent le ton dans leurs quartiers respectifs. Des pétards tonnent et détonent. Par groupe d’amis, certains accompagnés par leurs parents, les Sénégalais comme s’ils s’étaient passé le mot se donnent rendez-vous à la Place de l’Indépendance. Les taxis et autres «cars-rapides» sont pris d’assaut. Il faut casquer fort pour ne pas rater l’heure «fétiche». Minuit ! Une heure à ne pas rater.
Le ramadan qui constitue le quatrième pilier de l’islam et qui marque le neuvième mois du calendrier a coïncidé cette année avec une période hivernale et une forte canicule. Après plus de deux semaines de jeun, l’on constate que certaines jeunes filles n’ont pas changé de port vestimentaire. Elles continuent d’enfiler jeans serrés, décollés, hauts qui exhibent les seins, chek down etc. Alors, détournez le regard pour ne pas « croiser » ces corps « dangereusement » dehors.
C’est aujourd’hui que les personnes prévenues dans le scandale « Goudi town » répondront à la barre, après un premier renvoi lors de l’audience de jeudi dernier. Dans cette histoire de concours de danse qualifiée de pornographique par certains jusqu’à valoir aux danseuses et aux personnes gravitant autour de l’organisation et de l’animation de cette fameuse soirée remontant à l’année 2005 un procès, il faudra compter avec les maîtres coraniques. Mais aussi avec le Collectif des associations islamiques du Sénégal (Cais). Composé de treize associations, le Cais a, dans une correspondance en date du 22 septembre dernier, adressée au président du tribunal régional de Dakar, fait connaître sa constitution de partie civile dans le procès « Goudi town ».
Les prévenus du procès des journaux « Tolof-tolof », « Rac-tac », « Teuss » et « Check down », en prison depuis le 27 mai dernier, purgeront le restant de leur peine fixée hier par le juge à trois mois ferme. Leurs journaux ont été suspendus et un opérateur de saisie a été relaxé. Même s’ils ont été déboutés de leur constitution de partie civile dans l’affaire communément appelée procès de la presse pornographique, les imams peuvent se dire qu’ils ont atteint leur objectif : la disparition dans les kiosques des journaux « Tolof-tolof », « Rac-tac », « Teuss » et « Check down ». Le tribunal des flagrants délits de Dakar a non seulement suspendu ces publications hebdomadaires, mais a condamné, , dans son délibéré tombé hier...
La division des investigations criminelles, dans le cadre de sa mission de garantie et de protection de la moralité publique initiée par les autorités, a procédé à l’arrestation de plusieurs responsables d’organes de presse à caractère pornographiques. Ainsi deux directeurs de publication, deux propriétaires de journaux, un opérateur de saisi et un monteur ont été arrêtés, puis déférés au parquet. Leur jugement prévu pour hier a finalement été renvoyé au 19 courant, sur la demande du parquet, pour la production des documents scellés. Alors que l’instruction avait déjà débuté sur plus de 30mn. Ce qui a exaspéré les conseils de la défense qui l’ont pris comme un non-respect des droits de la défense. Malgré leurs réticences, le tribunal a accédé à la demande du parquet.
Les responsables des publications qualifiées de pornographiques, Teuss, Ractac, Tolof, Check down…, qui étaient placés en garde à vue depuis la semaine dernière, ont été déférés ce mardi au parquet pour être inculpés. Au nombre de six, ils sont poursuivis par l’Etat pour plusieurs délits dont l’atteinte aux bonnes moeurs. Les responsables de ces publications placés en garde à vue depuis la semaine dernière, sont en réalité poursuivis sur instruction du chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade. D’après les informations qui nous sont parvenues, le chef de l’Etat a fait engager des poursuites contre les responsables de ces publications, après être tombé sur un exemplaire de l’une d’elles, présentant la photo d’une jeune fille dans une position impudique. C’est un marabout dont le nom ne nous a pas été précisé qui aurait montré le journal au Président qui a alors imméditament demandé à Cheikh Tidiane Sy d’engager des poursuites.
Internet, moyen d’acquisition de connaissances et d’informations, n’est plus uniquement réservé aux adultes. A Dakar, dans les cybercafés, on constate de plus en plus une grande affluence des jeunes pour une utilisation du Net à des fins diverses. La porte entr’ouverte, pas un seul bruit, une concentration absolue, dans le cybercafé. Les climatiseurs donnent de l’air à peine plus frais que celui du dehors. Ibrahima, 17 ans, deux écouteurs enfoncés dans les oreilles, a le regard fixé sur l’écran protégé d’un filtre. Pour cet élève, la préoccupation est de chercher des informations et des connaissances sur le net. « Néanmoins, je profite de chaque connexion pour discuter en ligne avec mes amis, une façon de me distraire, car nous avons formé une véritable bande de potes », nous confie notre interlocuteur.