Kaffrine : Pose de la première pierre du centre éducatif religieux pour orphelins et enfants handicapés
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Kaffrine : Pose de la première pierre du centre éducatif religieux pour orphelins et enfants handicapés
République des valeurs (RV) fait face à une vague de départs. La formation politique du député non inscrit Thierno Alassane Sall a perdu 13 de ses cadres, indique Source A.
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les alliés ne sont pas bien servis.
Les quotidiens reçus jeudi à l’APS commentent largement la renégociation de la convention d’exploitation de l’autoroute Dakar-AIBD et la proposition de loi criminalisant l’homosexualité au Sénégal...
Cheikh Abdou Wilane (1944-2020), a été le modèle typique de disciple et Moukhadam...
À l'heure des investitures aux prochaines élections locales, la mouvance présidentielle retient son souffle.
Cheikh Abdou Wilane (1944-2020), a été le modèle typique de disciple et Moukhadam...
Son premier emploi, c'est Mamadou Diop qui le lui avait offert.
La Commission nationale de recensement des votes a rendu le verdict les législatives du 30 juillet. Sur la base des résultats provisoires publiés vendredi dernier, Benno Bokk Yaakaar remporte 125 sièges de la future Assemblée nationale. Arrivé deuxième, Wattù se retrouve avec 19 députés. Mànkoo complète avec 7 député. Quatrième force des élections, le Pur gagne 3 sièges. Kaddu Askan Wi d'Abdoulaye Baldé enverra 2 députés. Neuf coalitions se retrouvent avec chacune 1 siège grâce au "plus fort reste".
Votez la liste #Mankoo_Taxawu_Senegaal, pour un vote utile qui mettra fin à l'injustice et au recul démocratique.
Cheikh Bass Abdou Khadre Mbacké n’a pas tari d’éloges devant Ousmane Tanor Dieng ce mardi. Le premier secrétaire du parti socialiste à la tête de tout le bureau exécutif est venu rencontrer le Khalife Général des Mourides et son porte-parole.
Notre société islamo-ouolof souffre d'une formidable langue de bois et d'un incroyable déficit de sincérité. Nous sommes de "voluptueux hypocrites" membres de droit et de fait de la plus grande communauté du pays, celle des hypocrites. Chez nous, du berceau au tombeau, nous exprimons nos sentiments par lâcheté, par intérêt et par calcul, et avons des conduites sur mesure qui ne reflètent presque jamais le fond de notre pensée. Le modèle le plus achevé de l'hypocrisie sénégalaise est pris sur le cas de l'enseignant et chroniqueur Tamsir Jupiter Ndiaye. Sénégalais bon teint, leader d'opinion flatté, invité et célébré, intellectuel au verbe prodigieux et au prestigieux carnet d'adresses, il n'existe pas un seul segment de la société où il ne comptait de connaissances sûres, de soutiens indéfectibles et d'appuis constants. Aujourd'hui le journaliste-chroniqueur de Nouvel Horizon vit une solitude en plein marché.
Kaolack, 5 nov (APS) - Le Secrétaire général du Parti socialiste (PS, opposition), Ousmane Tanor Dieng, venu, samedi à Kaolack (centre), présenter les condoléances de ses militants à la suite du décès de Serigne Mamoune Niasse a sollicité des prières pour que "le Sénégal ne bascule pas dans la violence" après l’élection présidentielle du 26 février prochain, a constaté le correspondant de l’APS.
Le Conseil des ministres s’est réuni hier, jeudi 08 juillet 2010, à partir de 10 heures, au Palais de la République, sous la présidence de son Excellence Me Abdoulaye Wade, président de la République. Le chef de l’Etat a, tout d’abord, évoqué le décès tragique du jeune Moustapha Sarr, pêcheur à Soumbédioune, le lundi 05 juillet 2010. Il a exprimé toute sa compassion à la famille du disparu et a fait part de son profond regret ainsi que celui de toute l’Administration sénégalaise. Le président de la République a, par conséquent, donné des instructions fermes au gouvernement pour que les responsabilités soient situées et que toute la lumière soit faite sur cette affaire afin que force reste à la loi.
L’Apr n’a jamais, au niveau de ses instances, donné son aval pour que Bennoo puisse dicter ou dessiner les contours d’une candidature unique. Comme s’il était besoin de le rappeler, Moustapha Cissé Lô qui tient ce discours a tenu à préciser que Bennoo est juste un cadre de concertation et de mise en place de stratégies et de méthodes pour la conquête démocratique du pouvoir. Et non un parti politique. Wal Fadjri : Le Pds, par la voix de Souleymane Ndéné Ndiaye, vous invite à revenir… Moustapha Cissé Lô : J’ai dit et redit que je ne serai jamais du Pds et ceux qui sont dans ce parti, je ne les considère même pas. Je ne peux pas être dans un parti où l’on se permet d’exclure des députés de l’Assemblée nationale.
Invité, mercredi matin, de Radio France Internationale, Khalifa Ababacar Sall est revenu sur la Présidentielle de 2012 et les primaires vers lesquelles devrait aller le Parti socialiste (Ps). Tout comme sa camarade Aïssata Tall Sall, le maire socialiste de Dakar soutient qu’il n’y a pas de candidat naturel au Ps. Mais, il assure que les socialistes vont s’entendre. «Il n’y aura pas de problèmes de candidat au Parti socialiste.» L’assurance est de Khalifa Ababacar Sall. Le Secrétaire national à la vie politique du Ps, par ailleurs maire de Dakar, s’exprimait, mercredi matin, sur les ondes de Radio France International (Rfi). M. Sall soutient, en effet, qu’au Parti socialiste (Ps), il n’y a pas un «candidat naturel».
LES élites politiques traditionnelles ont du souci à se faire. C’est connu, la société sénégalaise a un saisissant côté gérontocratique, symbolisé par le fameux « droit d’aînesse » devenu, par la force de la tradition, un élément fondateur dans le champ des relations sociales. Profondément ancré dans une sorte de Code civil mental des Sénégalais, l’âge accorde, le plus souvent, la prééminence à l’heure du choix. Chez les musulmans, le califat revient de droit au plus âgé de la famille maraboutique, alors que les hautes charges dans le clergé requièrent des décennies de sacerdoce au service de l’Eglise.
Après Me Abdoulaye Wade ce lundi, Idrissa Seck ce mardi, c’est au tour d’Ousmane Tanor Dieng de fouler la terre de Touba. Le premier secrétaire du Ps n’est pas venu les mains vides. Après l’enveloppe offerte aux différents marabouts, Tanor Dieng a dévoilé son programme spécial des villes religieuses qui fera de Touba une ville moderne. (Envoyé spécial) - Le premier secrétaire du Parti socialiste est le troisième homme politique qui a rendu visite au khalife général des mourides, Serigne Bara Mbacké, après le président de la République et Idrissa Seck.
Il faut, tout d’abord, reconnaître qu’il y a une logique qui est souvent générée par la gestion ou l’exercice du pouvoir : dès que l’on y est, on ne songe plus qu’à y rester et le plus longtemps possible et avec le temps, on finit par s’identifier à ce pouvoir. Comme exemples, Bongo, Obian Guéma, Mugabé, Mobutu Eyadéma, Moubarak, Biya, etc. Pourquoi on trouve chez beaucoup d’hommes politiques, les chefs d’Etat notamment, une propension à «tuer» ou à humilier adversaires ou même proches ? Identification (ici au sens lacanien du terme), c’est-à-dire que le pouvoir finit par déterminer celui qui le détient et là, dans l’exercice du pouvoir politique, cela ne peut que faire des dégâts considérables...