Commerçant au parc Lambaye de Dakar, Bassirou Djiggal risque deux ans de prison ferme pour vol de poteaux électriques. Il a été jugé par le tribunal de grande instance de Mbour à l'audience des flagrants délits.
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Commerçant au parc Lambaye de Dakar, Bassirou Djiggal risque deux ans de prison ferme pour vol de poteaux électriques. Il a été jugé par le tribunal de grande instance de Mbour à l'audience des flagrants délits.
A un peu moins de vingt jours de la célébration de la fête de la Tabaski, les prix de la pomme de terre et de l’oignon restent très élevés...
Un véreux commerçant a été arrêté et envoyé en prison...
Commerçant au parc Lambaye de Dakar, Bassirou Djiggal risque deux ans de prison ferme pour vol de poteaux électriques. Il a été jugé par le tribunal de grande instance de Mbour à l'audience des flagrants délits.
Un véreux commerçant a été arrêté et envoyé en prison...
Une opération déroulée par des agents des Services d’hygiène de Kaolack a permis de mettre la main, mardi, sur 426 seaux de mayonnaise pourrie. Les hommes du capitaine Attab Goudiaby ont pris d’assaut un grand magasin du marché central de la capitale du Saloum et pris au dépourvu le commerçant véreux qui tentait d’écouler sa marchandise.
L e peuple sénégalais a bénéficié d’un acquis de taille ce 25 Mars 2013 ,aussi faudrait-il savoir le sauvegarder ,l’entretenir et bien l’exploiter. Malheureusement ce peuple n’a jamais cultivé ni le sens de l’entretien ni celui de la pérennisation d’un quelconque profit, il se lasse et se démotive très vite. Une fois le nouveau président élu à un suffrage jamais égalé, on a tendance à dire « maintenant c’est au tour du président de respecter ses engagements ». Ce président a accroché bon nombre de sénégalais ayant déjà vomi les politiciens, moi en premier, rien qu’avec des mots tels que « ngorr », « koleré » etc… qui n’existaient plus dans leur vocabulaire, surtout après avoir été gratifié d’un « wakh-wakheet »assassin.
Tailleur de profession, B. Thior est un jeune d’une trentaine d’années, domicilié à Sicap Mbao. Son histoire est des plus pathétiques. Aujourd’hui encore, l’homme souffre le martyre, rien qu’en pensant aux tortures que lui ont fait subir les gendarmes. Qui ont aspergé du diluant sur ses fesses et y ont mis le feu avec un briquet.
Les prix de certaines denrées de première nécessité tels que le sucre, l’huile et la bonbonne de gaz ont connu une hausse vertigineuse. Interrogés sur la raison de ces hausses inopinées, les commerçants s’en désolent avant d’avouer qu’ils ne font qu’obéir à la loi du marché.
Un cas d’adultère ayant pour cadre le quartier populeux de Ndiambor défraie la chronique à Linguère.Le nomme A sidibe a surpris dans son domicile le commerçant D Dieng en train d entretenir des relations intimes avec l'une de ses épouses.Le mis en cause est interpelle par les pandores.
Les Sénégalais menacés d’intoxication ! Comme la plupart des pays africains, la capitale sénégalaise n'est pas à l'abri de la vente des produits périmés. Les causes : des commerçants véreux et des consommateurs très peu regardants sur la marchandise. Il est 13h sur l’avenue Lamine Guèye de Dakar. Un embouteillage monstre bloque la grande artère. Piétons et voitures se disputent le passage. Les premiers ne font même plus attention aux klaxons des véhicules. Chacun a l’air pressé d’arriver à destination. Malheureusement, le passage est squatté par des vendeurs peu ordinaires. Il s’agit en majorité de femmes qui, sur tout le long de cette avenue, vendent des produits de consommation.
Le Président de la République, Me Abdoulaye Wade a profité de la cérémonie du lancement des cahiers de l’investisseur pour se décharger sur certains commerçants véreux qui continuent à faire des spéculations sur le riz. Me Wade précise que l’Etat ne doit aucun franc à un commerçant. La somme que l’Etat devait aux commerçants pour les subventions du riz a été versée. À cet effet, s’inquiète-t-il , «Je ne comprends pas pourquoi ils s’entêtent à maintenir les prix du riz à ce niveau». fertile en idée, Me Wade prévient ces détracteurs que la nouvelle qu’il veut donner aux populations n’a pas encore vu le jour. Il est juste en train de l’étudier pour voir sa faisabilité.
C’est un ministre du Commerce qui semble être gagné par le dépit que nous avons trouvé, hier, dans son bureau, tant la situation à laquelle il fait actuellement face est pour le moins bizarre. En effet, selon Mamadou Diop Decroix pendant que les Sénégalais peinent à trouver du riz, cette denrée de première consommation est en quantité suffisante dans le pays. Seulement, explique-t-il, dans l’entretien qu’il nous a accordé, “il y a des commerçants véreux qui veulent faire une spéculation sur le riz”. Ce que l’Etat n’entend pas laisser faire. C’est ainsi qu’il a décidé de sévir tout en usant du dialogue.
NETTALI - Face à la rétention du riz et la hausse vertigineuse des prix, l’Etat a haussé le ton. Tous les agents du contrôle des prix ont été mobilisés pour traquer les commerçants véreux. Partout à travers le pays, les prix du riz ont flambé. Les consommateurs pensent qu’il s’agit d’une rupture de stock, mais l’Etat a rassuré qu’il y en a suffisamment pour approvisionner le marché. Pendant ce temps, les chefs de famille ne trouvent pas de riz. Ceux qui ont la chance de voir la céréale dans prisée par les Sénégalais sont obligés de casquer 18.000 à 20.000 francs FCFA pour un sac de 50 kg. D’autres, moins nantis, achètent au détail le kilogramme à 500 francs.
A deux semaines de la tenue du magal, c’est déjà la ruée vers Touba. Un contexte favorable à l’écoulement de toute sorte de marchandises. Alors depuis quelques jours, le service départemental du commerce de Mbacké est sur le qui vive pour traquer les commerçants véreux qui ne sont mûs que par l’appât du gain facile. Ainsi, jeudi dernier, le chef de service du commerce et ses collègues appuyés par les éléments du Service d’hygiène ont fait une descente au niveau du marché Ocass. Ils ont ramené 330 sachets (chacun de 900g, soit un total de 297 kilogrammes) de viande de buffle périmés depuis le 31 janvier. Ils ont aussi saisi des bouteilles d’eau minérale, des canettes de boisson et d’autres produits prohibés. Pour l’heure, les magasins du service sont pleins.
Ils sont nombreux à faire la confusion pour trouver une signification exacte au mot «Bayré». Mais si d’aucuns pensent que le terme est relatif au charisme, d’autres optent plutôt pour la notoriété ou, expression plus répandue, le succès. Mais il est connu que c’est un terme qui est souvent employé en rapport avec les artistes, les hommes politiques, bref les célébrités. Ou ceux qu’il est convenu d’appeler «stars» en général. Mais, peu importe l’appellation, le «bayré» est là. Un phénomène bien réel. Certains naissent avec, d’autres par souci de fructifier leur avoir, vont carrément à sa recherche.
Thiès - Lorsque le président du tribunal départemental lui posa la question à savoir pourquoi il se faisait passer pour un officier d’état civil, D. O. hésita un instant, puis déclara qu’il a été éclaboussé dans cette affaire d’usage de faux en écritures et d’usurpation de fonction par erreur. Le prévenu va encore plus loin pour affirmer devant le président Konaté n’avoir jamais délivré un acte de mariage à quelqu’un. Il accuse un certain Babou, qui aurait obtenu le faux certificat de mariage par l’entregent d’un certain Diack. Immédiatement attrait à la barre du tribunal départemental, ce dernier soutient véhémentement être étranger dans cette affaire.
Si c’était à refaire, il ne serait pas de l’aventure. Arrivé en Espagne au mois de mars dernier à l’aide d’une pirogue, Mamadou Ndoye n’a pas mis du temps pour découvrir les rigueurs de la vie en Europe. Aussi demande-t-il à ses jeunes compatriotes obnubilés par le désir de partir, de ne pas prendre le large. Car pour lui, l’Europe, c’est un mirage. Faute de travail et de papiers, on y crève de faim. (Correspondant particulier à Madrid) - Le regard lointain, la mine triste, l'esprit ailleurs, Mamadou Ndoye a encore du mal à réaliser qu’il se trouve en Europe, plus précisément à Madrid. Des années durant, il n’a fait que rêver d’Europe, synonyme de vie meilleure et de réussite sociale. Mais aujourd’hui que son rêve de fouler le sol européen est devenu réalité, le jeune Mamadou à le mal du pays, un pincement de regret au cœur.