L'imam malien Mahmoud Dicko, bête noire de la junte au Mali, a rejoint une nouvelle coalition d'opposants en exil dont les activités ont débuté jeudi et qui exhorte à la "résistance".
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
L'imam malien Mahmoud Dicko, bête noire de la junte au Mali, a rejoint une nouvelle coalition d'opposants en exil dont les activités ont débuté jeudi et qui exhorte à la "résistance".
PR Diomaye Faye et PM Ousmane Sonko, l’urgence d’une union sacrée (par Papa Ibrahima Diassé)
On ne le répètera jamais assez : la presse va mal. Ses finances sont dans le rouge, c'est un fait, mais sa crise de contenu est encore plus alarmante. Et sur ce point précis, l'autoflagellation est de mise.
Il arrive, dans les moments charnières de l’histoire, qu’une figure surgisse sans y avoir été prédestinée, mais qui, par sa cohérence et sa droiture, devient le repère d’un peuple en quête de direction.
Grand rassemblement du 8 novembre 2025 : Le PASTEF célèbre une victoire populaire et réaffirme sa vision pour un Sénégal souverain et juste.
Le TERA Meeting : un peuple en marche, une révolution en cours (Par Félix Atchade)
8 novembre : le Sénégal à la croisée des ruptures (Félix Atchade)
Au Sénégal, la polémique autour de la supposée « dette cachée » continue d’agiter l’espace public.
Une révolution confisquée : le système reprend ses droits (par Abdoulaye Dieng, entrepreneur)
Dakar, 1er novembre 2025 – Le parti Taxawu Senegaal, dirigé par Khalifa Ababacar Sall, a tenu ce samedi la première réunion de son Secrétariat politique national provisoire à son siège de Keur Idrissa Diallo, à Sacré-Cœur. Une rencontre stratégique qui, selon ses responsables, marque une étape décisive dans la consolidation de la vision et de l’engagement du mouvement au service du Sénégal, de la démocratie et de l’État de droit.
Les marchés financiers ont envoyé un signal clair cette semaine : la confiance des investisseurs internationaux dans la trajectoire budgétaire du Sénégal est ébranlée.
(BFM Bourse) - Les cours de l'or ont franchi cette semaine la barre symbolique des 4.000 dollars l'once.
Le président de la République a fini par renommer, vendredi, Sébastien Lecornu Premier ministre, en dépit des appels de la plupart des forces politiques à choisir un chef de gouvernement non macroniste
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
De la philosophie aux TIC, de la France au Sénégal, du football à l’enseignement… Mamadou Ndiaye, Directeur du Cesti a caressé bien des claviers avant de diriger la plus grande école de journalisme d’Afrique francophone.
Pékin a célébré, hier mardi, le 76ᵉ anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine par une réception solennelle, en présence de hauts responsables du Parti, de l’État, de l’armée, ainsi que de diplomates étrangers.
Ousmane Faye, secrétaire national aux TIC du Parti socialiste (PS), membre du SEN et du Bureau politique, et président du mouvement AS/Jëf, a livré une analyse critique de la situation actuelle de sa formation politique et a lancé un appel fort à une refondation du PS.
FSF : Les premiers mots d'Abdoulaye Fall après son installation
Un remaniement gouvernemental tant attendu vient d’être opéré, dix-huit mois après l’accession au pouvoir du duo Diomaye–Sonko.