Au Sénégal, la prestation de serment du président de la République est constitutionnalisée depuis 1963.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Au Sénégal, la prestation de serment du président de la République est constitutionnalisée depuis 1963.
Gouvernance brutale, agressive, violente…symbole de méthodes révolues.
La commission cellulaire a mis les dernières retouches sur le rapport d’étape compilant les accords obtenus par...
Au Sénégal, la prestation de serment du président de la République est constitutionnalisée depuis 1963.
Pour une personnalité spéciale jugée par une juridiction spéciale, ce procès de Karim Wade et Cie ne pouvait être qu’historique tout comme la décision de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). L’ancien ministre et fils de Abdoulaye Wade a été condamné le 23 mars à 6 ans de prison ferme et à plus de 138 milliards de F Cfa. Alors que ses complices ont écopé de fortunes diverses. Un dossier économique dans ses aspects comptable, pénal pour le délit d’enrichissement illicite, commercial pour la constitution des sociétés, constitutionnel pour la loi créant la Crei. Voilà pourquoi Le Quotidien a choisi de publier in extenso et en exclusivité l’arrêt rendu par Henri Grégoire Diop et ses assesseurs que les spécialistes du droit attendaient impatiemment pour plonger dans le débat. Un véritable «commentaire d’arrêt» à soumettre aux étudiants. 11 pages à consommer. En exclusivité.
« J’ai décidé de vous remettre ma lettre de démission que vous allez remettre aux autorités compétentes, pour permettre l’exercice plein et entier de la disposition de notre article 36 ». Ainsi s’exprime Amadou Toumani Touré qui, en ce début du mois d’avril 2012, quitte la scène politique de son pays sur laquelle il avait fait irruption, un mois de mars 1991, en destituant un autre Général, en l’occurrence, Moussa Traoré. Mais à qui ATT remet sa démission ? Aux neuf sages de la Courconstitutionnelle du Mali ? Non. L’ancien Président du Mali place sort et son destin dans les mains d’un Colonel de gendarmerie devenu le ministre des Affaires Etrangères le plus célèbre d’Afrique de l’Ouest : Djibril Bassolé. Une mélange de Metternich et de Kissinger. Il est au service de Blaise Compaoré qui en a fait un Proconsul dans le Mali en lambeaux, comme jadis, le Général Mc Arthur dans Pacifique.
Dans la ‘‘War Room’’ de la Présidentielle 2012 :La République du Sénégal sera-t-elle soluble dans ‘‘LA’’ démocratie ? Le vote, qui est le plus petit dénominateur commun des Républiques du monde, ne va tout de même pas devenir le plus grand diviseur du peuple sénégalais !
Le roi du Maroc Mohammed VI a présenté, vendredi 17 juin, lors d'une adresse à la nation, une réforme constitutionnelle très attendue. Le nouveau texte prévoit notamment de réduire certains des pouvoirs politiques et religieux du souverain, ainsi qu'un renforcement des pouvoirs du premier ministre. Le projet de réforme sera soumis à référendum le 1er juillet.
Le professeur d’économie, El Hadj Mounirou Ndiaye a déclaré que le président de la république n’a plus toutes les facultés pour diriger le pays. «Je suis sûr que le président du Sénégal n’a pas toutes ses facultés pour diriger le Sénégal», a noté l’économiste. «Je considère qu’il y a un problème.
Farba Senghor,Coordonnateur national du PDS a tenu une conference de presse cet apres midi pour parler de la situation actuelle du pays et en particulier aux subterfuges de Sidy Lamine NIASSE, Président du Groupe Walfadjiri. Voici son discours
GUESTEDITORIAL - Par Me Moustapha Mamba GUIRASSY, Ministre de la Communication et des télécommunications, Porte-parole du gouvernement, Maire de Kédougou - PROFESSEURS DE DROIT CONSTITUTIONNEL ET JUGES CONSTITUTIONNELS : même pouvoir d’interprétation ? Il n’y a jamais eu de controverse plus stérile que celle touchant la question de savoir si la candidature du président Wade est recevable ou non ! Le juge constitutionnel, seul habilité à trancher la question, le fera de toute évidence en temps opportun. Si besoin en est.
Le président Mohamed Ely Ould Val est un homme comblé. Son gouvernement de transition s’acquitte jusqu’ici des engagements souscrits depuis le 3 août 2005 devant le peuple mauritanien, a-t-il fait remarqué mardi dernier au lendemain du triple scrutin du dimanche 19 novembre. « Le Cmjd a jusqu’ici respecté tous les engagements pris devant les Mauritaniens et devant la communauté internationale », a-t-il souligné, non sans une pointe de fierté. Interrogé pendant l’entretien exclusif accordé aux envoyés spéciaux de Sud Fm et de Sud Quotidien, sur le fait que le vote de dimanche semblait entraîner un émiettement des forces politiques en Mauritanie.
Le pouvoir a beau mariner les délires des euphories crépusculaires de l’alternance, exhumer le sucre de réalisations enrobées de quinine, des taux de croissance extasiés, mais aujourd’hui évanescents, l’évidence aussi visible qu’une trompe sur le visage d’un éléphant, c’est que le pays végète, six ans après, dans un chienlit inquiétant. Six ans que la parole pleure parce que de nouveaux Messieurs Jourdain, qui ne devraient pas la dire la disent là où il ne faut pas la dire, à qui il ne faut pas la dire et avec la manière dont il ne faut pas la dire. Six ans que la parole n’arrive pas à sécher ses larmes sous les coups que lui infligent ces gens du pouvoir dont les arguments de défense se heurtent à la triste réalité. La réalité des délestages qui empoisonnent nos vécus quotidiens. La réalité d’un monde rural tourneboulé par une campagne arachidière erratique. La réalité des pénuries d’hydrocarbures qui font que rien ne carbure plus vraiment dans ce pays.