La scène politique française connaît depuis plusieurs mois un bouleversement inédit. Réélu en 2022 mais privé d’une majorité stable à l’Assemblée nationale en 2024, le chef de l’État se trouve confronté à une crise institutionnelle majeure.
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La scène politique française connaît depuis plusieurs mois un bouleversement inédit. Réélu en 2022 mais privé d’une majorité stable à l’Assemblée nationale en 2024, le chef de l’État se trouve confronté à une crise institutionnelle majeure.
La récente décision du Conseil constitutionnel, invalidant l’article premier de la loi interprétative relative à la loi d’amnistie, a été saluée par deux constitutionnalistes...
Sans attendre un éventuel renversement du gouvernement Barnier...
La victoire de Pastef aux législatives de ce 17 novembre est belle. Elle est vraiment belle et rassurante pour la vitrine démocratique sénégalaise.
En Afrique, l'élection présidentielle est souvent crisogène
Les indignations sur le report de la Présidentielle s’enchainent. À travers un communiqué, Le Gorée Institute a manifesté son désenchantement quant au report de l’élection présidentielle qui était initialement prévue le 25 février 2024.
Son revers au parrainage lui est visiblement resté en travers de la gorge. Recalé une seconde fois à l’élection présidentielle (2019, 2024), Cheikh Hadjibou Soumaré est noir de colère et l’a exprimé dans la tribune ci-après.
La Directrice de la promotion des droits et de la protection des enfants (Dpdpe) a porté une réplique sèche aux 140 intellectuels qui ont initié,
Il est regrettable de constater que 140 défenseurs des droits humains composés d’universitaires, de constitutionnalistes et d'avocats, se sont mués en caisse de résonance en s'accommodant et en se dérobant face aux actes de banditisme et de terrorisme envers les institutions de la République du Sénégal.
L’heure du délibéré national a sonné.
Aux yeux de certains, ces mots peuvent sembler venir tardivement, voire trop tardivement, mais je pense avoir attendu le moment propice pour le faire, la trêve.
A Thiès, certains responsables de l’Alliance pour la République (APR) se disent conscients qu’«actuellement, le seul candidat qui reste valable pour notre parti, pour notre coalition, c'est le Président Macky Sall, pour plusieurs raisons».
« Certains ont tenté en vain de m’enterrer, croyant que j’étais mort politiquement alors que je suis aujourd'hui plus que jamais debout, très en forme, en bonne santé donc bien portant ».
Condamnation d’Ousmane Sonko, hypothétique troisième candidature de Macky Sall, pétition de 104 intellectuels… Dans un Sénégal déjà entré en campagne électorale, le porte-parole de la présidence estime que « force restera au peuple »… et à la loi.
Notre compagnonnage avec Mme Aminata Touré, valide la profonde justesse de la sagesse populaire ainsi exprimée
Cela fait maintenant plusieurs mois et d’autant plus depuis que la propagation des candidatures dans l’opposition pour 2024 s’accélère, les intentions du Président Macky Sall concentrent toutes les attentions.
« On ne peut se passer d’une méthode pour se mettre en quête de la vérité des choses ».
Le débat sur la troisième candidature du Président Macky Sall continue de faire rage à un an de l'élection présidentielle de 2024.
c’est une honte pour le Sénégal et pour l’Afrique que ce genre de débat ne se pose que chez nous...
Onze ans après les tensions et drames qui ont jalonné la troisième candidature d’Abdoulaye Wade, la question du troisième mandat se pose encore au Sénégal.