Le commissariat d'arrondissement de Golf-Sud a interpelé le boulanger…
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Le commissariat d'arrondissement de Golf-Sud a interpelé le boulanger…
"Tous les trafiquants de crack sont des Sénégalais" : L'affaire Éric Zemmour devant la justice ce vendredi
Double coup de filet de la BRS de Dakar : Un Nigérian tombe pour blanchiment et un dealer arrêté après une violente résistance
Vaste coup de filet de la police : 372 suspects interpellés en une nuit
Corruption, instabilité et pauvreté ont favorisé l'implantation de narcotrafiquants en Guinée-Bissau, théâtre mercredi d'un coup d'état justifié par les militaires par la menace d'une déstabilisation impliquant des "barons de la drogue" et qui jette une lumière crue sur les liens troubles entre trafic, politiciens et armée, aggravant l'instabilité politique.
La Brigade Régionale des Stupéfiants de Dakar (BRS), relevant de l’Office Central pour la Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS), a procédé, le 20 novembre 2025, à l’interpellation d’un individu à Pikine Icotaf, près du marché Syndicat.
Dakar : L'OCRTIS arrête le trafiquant de drogue dure “Tapha Ndiol”
L’histoire frôle l’absurde. M. Paye, un commerçant âgé de 31 ans, a été arrêté par la police de la Médina, pour avoir subtilisé le téléphone portable d’un avocat, avant de revenir plusieurs mois plus tard sur les lieux pour demander une assistance juridique.
Diamaguène Sicap Mbao : Une coiffeuse et un livreur arrêtés en pleine livraison de crack
"Je quitte l'équipe", "va te faire...", Vinicius a insulté Xabi Alonso à sa sortie lors du Clasico Real-Barça, selon la presse espagnole
La police nationale a frappé fort dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 octobre 2025. Une opération de sécurisation de grande envergure, mobilisant l'ensemble des forces du commissariat central de Dakar, a permis l'interpellation de 212 personnes et la saisie de nombreuses pièces à conviction.
La Brigade de recherches du Commissariat d'arrondissement de Golf-Sud a mis fin aux activités d'un dealer récidiviste.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Très actif sur les réseaux sociaux et adepte des sorties médiatiques commentées, Mounir Nasraoui a une relation fusionnelle avec son fils Lamine Yamal. À tel point d'avoir une mauvaise influence sur le podige espagnol du Barça? C'est ce qu'assurent certains observateurs. D'autres, comme le président Laporta, y voyant juste un père de famille "très passionné", fier de la réussite de son fils.
Trafic de drogue : un coup dur pour le réseau des Maristes
Ligue des champions: un PSG amoindri va défier le Barcelone de Lamine Yamal
Ngor : un marchant ambulant piégé avec 37 pierres de crack et de la cocaïne
Yamal sacré, Dembélé loin du podium: les surprenantes projections pour le Ballon d’or d’un outil statistique
Dans la nuit du 17 septembre 2025, une opération de sécurisation d’envergure menée par le Service régional de sécurité publique de Saint-Louis