Gorée diaspora festival : 40 millions pour ouvrir la "porte du retour"
La 9e édition de Gorée diaspora festival est lancée. Un budget de 40 millions est nécessaire pour la réussite de l'événement. La mairie dit s'atteler à obtenir le financement.
Il s'agit d'une approche basée sur l'animation culturelle, pour cerner davantage tous les contours de la mémoire de Gorée. "Mais surtout pour que notre cible, la diaspora issue de la traite négrière, puisse profiter de ce festival pour se rapprocher de l'île-mémoire. Le festival a la prétention d'ouvrir la porte du retour", précise le maire de Gorée, Me Augustin Senghor, en conférence de presse.
Le thème retenu cette année est : "Île de Gorée : une histoire, une mémoire plurielle ; de l'impératif d'une vision partagée". Une vision partagée, qui justifie amplement le choix porté sur Cuba, comme pays invité d'honneur de cette 9e édition.
"C'est un honneur pour nous. En plus de nos racines communes, ce festival est l'occasion de commémorer les 45 ans de collaboration bilatérale entre Cuba et le Sénégal", indique l'ambassadeur de Cuba au Sénégal.
Au menu de ce rendez-vous culturel : des projections de films, expositions, colloque, concerts, noche blanca, arts culinaires et du sport. Des hommages seront aussi rendus à Boubacar Joseph Ndiaye, au capitaine Mbaye Diagne et au musicien Ndiouga Dieng.
Auteur: Mouhamadou Diallo
Publié le: Lundi 04 Novembre 2019
Commentaires (3)
On nous fait croire que des blancs pourchassaient des Sénégalais pour en faire des esclaves! Mes ancêtre vivaient entre N'gor et le Diender en passant par Bargny, pourtant jamais un des leurs n'a été esclaves. Ce sont les Baol-Baol, les Cayoriens et dans le Djolof qu'il y avait des guerres qui généraient des captifs de part et d'autre. Ce sont ces captifs qui étaient vandus par les uns et les autres aux marchands arabes d'abord, Européens ensuite. Il ne faudrait pas que les enfants Sénégalais pensent que leurs ancêtre étaient de pauvres lâches qui se laissaient capturer par des étrangers sans réagir. La vérité est bonne à dire, sinon on fabriquent des complexés vis à vis des blancs.
les noirs se vendaient dabord entre eux et s'esclavagiser entre eux avant que les autres n'arrivent.
non merci !
Ça va réussir
Quand il s agit de Foo tout Marche trés bien
Senegal réwoum Foo , woy , fétje, teggueu sabar
Il faut supprimer la culture , rien à foutre
Les gens ont faim , ont soif ,ne sont pas soignés , les gosses sont dans des abris provisoires et on met des milliards dans l amusement
Mais c est normal le Senegal est un pays de gnégnos donc pays de Foo et de fookat
Pays de merde
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