💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Les deux organisations islamistes ont des manières bien différentes de faire passer leurs messages
La police turque a tué mercredi cinq membres présumés du groupe terroriste Etat islamique (EI) lors d'une opération contre une cellule djihadiste à Konya, dans le centre de la Turquie, ont indiqué les autorités locales. "Cinq terroristes qui opposaient une résistance armée aux forces de sécurité ont été neutralisés et quatre membres des forces de sécurité ont été légèrement blessés", a indiqué le gouvernorat de Konya dans un communiqué.
Deux soldats turcs ont été tués mercredi dans une attaque à la voiture piégée dans le nord de la Syrie, où Ankara appuie une offensive des rebelles syriens contre la ville d'Al-Bab contrôlée par l'EI, a rapporté l'agence de presse Dogan. "Deux soldats sont tombés en martyrs dans le cadre de l'Opération Bouclier de l'Euphrate", a indiqué Dogan. La chaîne d'information turque NTV a par ailleurs rapporté qu'un troisième soldat avait été blessé dans l'attaque.
Des combattants de l'opposition syrienne soutenus par la Turquie progressent ce samedi vers la ville de Dabiq (située entre Alep et la frontière turque), pour la reprendre aux djihadistes du groupe Etat islamique (EI), a annoncé le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Dans le dernier numéro de Dabiq, sa revue officielle rédigée en anglais, l'Etat islamique glorifie l'attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray contre le prêtre Jacques Hamel. En titrant "Break The Cross" (traduisez "Cassez la croix"), l'EI vise explicitement la communauté chrétienne. Une photo d'Adel Kermiche et d'Abdel Malik Petitjean, les deux assaillants abattus par la police, est adjointe au texte.
Les homosexuels, principales victimes de la tuerie d'Orlando, sont régulièrement pris pour cibles par le groupe Etat islamique (EI) qui en a exécutés plusieurs dizaines dans les territoires qu'il contrôle en Syrie et en Irak. L'enquête menée aux Etats-Unis devra déterminer les motivations de Omar Seddique Mateen, qui a tué 49 personnes dans une boîte de nuit emblématique de la communauté gay d'Orlando, en Floride.
C’est la pire attaque terroriste sur le sol américain depuis les attentats du 11 Septembre. Dans la nuit de samedi à dimanche, un tireur isolé a ouvert le feu sur la foule de noctambules qui faisaient la fête au Pulse, une boîte gay d’Orlando, en Floride, faisant 49 victimes et 53 blessés.
Le premier ministre, Manuel Valls, a annoncé lundi 9 mai une série de mesures visant à lutter contre la radicalisation et le terrorisme. Parmi les 80 points développés, la question de la propagande djihadiste en ligne occupe une place conséquente.
Mohamed Abrini, le troisième homme de l’ aéroport de Zaventem, a affirmé ne pas être radicalisé et n’avoir jamais été en Syrie, lors de son interrogatoire face au juge d’instruction, révèle ce jeudi BFMTV.
Dans une publication sur Internet, le groupe Etat islamique a confirmé la mort du Britannique «Jihadi John», tué en novembre dernier dans une frappe en Syrie, sur son fief de Raqqa. «Jihadi John», de son vrai nom Mohammed Emwazi, figurait dans plusieurs vidéos de l’EI, où on le voyait, masqué, exécuter des otages occidentaux. Il était devenu emblématique de la cruauté de l'organisation jihadiste.
Le groupe djihadiste Etat islamique (EI) affirme que deux des assaillants des attentats de Paris du 13 novembre sont Irakiens, dans sa revue Dabiq publiée mardi. Sur la dernière page de sa revue, l'EI publie les portraits de neuf hommes, avec en fond une photo de Paris et en titre: "Juste la terreur". Alors que plusieurs d'entre eux ont l'adjectif "al-Belgiki" (le Belge) collé à leur pseudonyme ou al-Faransi" (le Français), deux sont appelés al-Iraki (l'Irakien).
Dans une publication sur Internet, le groupe Etat islamique a confirmé la mort du Britannique «Jihadi John», tué en novembre dernier dans une frappe en Syrie, sur son fief de Raqqa. «Jihadi John», de son vrai nom Mohammed Emwazi, figurait dans plusieurs vidéos de l’EI, où on le voyait, masqué, exécuter des otages occidentaux. Il était devenu emblématique de la cruauté de l'organisation jihadiste.
Les attentats du 13 novembre à Paris risquent de marquer le début d'une campagne d'actions terroristes menées par le groupe Etat islamique (EI) dans les pays de la coalition qui le combattent en Syrie et en Irak, selon des experts. "L'idéal pour eux maintenant serait une frappe coordonnée quelque part en Europe. Après l'avoir fait à Paris, montrer qu'ils peuvent le refaire ailleurs. Vu la facilité avec laquelle ils franchissent les frontières, ce n'est pas de l'ordre de l'impossible", estime Jean-Pierre Filiu, professeur à Sciences-Po Paris et spécialiste des mouvements djihadistes interviewé par l'AFP.
C'est la vision exposée par une femme de djihadiste dans Dabiq, le magazine du groupe État islamique. C'est une vision assez particulière sur le viol, l'esclavage et la prostitution. Dabiq, l'un des magazines de Daech, a publié un article nommé "Esclaves ou prostituées". Sexe forcé et viol "Umm Sumayyah al-Muhajirah" y est présentée comme l'épouse d'un djihadiste. À sa manière, elle explique la nuance entre "sexe forcé" et "viol".
Le groupe d’insurgés nigérian Jama’atu Ahlis Sunna Lidda’awati wal-Jihad (Groupe sunnite pour la prédication et le djihad), plus connu sous le nom de Boko Haram, a déclaré allégeance à l’État islamique (EI), anciennement appelé État islamique en Irak et au Levant (EEII). Avec le recul, les observateurs disent que c’était à prévoir, mais que cela signifie-t-il vraiment ?
Dans une nouvelle vidéo de propagande, Daech diffuse l'exécution par un jeune garçon d'un Arabe israélien accusé d'être agent du Mossad, les services secrets israéliens. La France et les juifs sont également, à nouveau, menacés.
