Le ministre de la Culture, Amadou Ba, membre du parti Pastef, est monté au créneau pour dénoncer les accusations selon lesquelles les membres du gouvernement se tairaient par crainte de menaces ou de chantages.
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Le ministre de la Culture, Amadou Ba, membre du parti Pastef, est monté au créneau pour dénoncer les accusations selon lesquelles les membres du gouvernement se tairaient par crainte de menaces ou de chantages.
Après leur client, les avocats de Papa Malick Ndour de l'Alliance pour la République (Apr) ont réagi. Ils déclarent avoir constaté une interprétation tendancieuse des propos tenus par leur client, lors de la marche de Ñoo Lank.
Un scandale d’une rare gravité est sur le point d'éclabousser le football camerounais.
L’Alliance pour la République sous la houlette de l’ancien Président de la République, Macky Sall n’entend pas se laisser faire dans l’affaire dite «Farba Ngom». Ce mercredi, à travers une déclaration rendue publique, son Secrétariat exécutif national (SEN) parle de «dérives dictatoriales et menaces sur la République ! ».
Le président américain Joe Biden est finalement revenu sur sa parole en graciant dimanche, à quelques semaines de son départ de la Maison Blanche, son fils Hunter, qui attendait de connaître sa peine dans des affaires de détention illégale d'arme à feu et de fraude fiscale.
Vingt-quatre heures après la publication d’une déclaration cosignée avec son successeur, Abdoulaye Wade, l’ancien président Abdou Diouf a effectué une nouvelle sortie ce mardi.
L’ancien colonel, à la tête de l’archipel depuis 2016, obtient 57,2 % des suffrages et un troisième mandat de cinq ans.
Babacar Touré, patron du site d'informations Kewoulo est poursuivi pour trois chefs d'accusation : dénonciation calomnieuse, diffamation, diffusion de fausses nouvelles. Dans un texte, l’un de ses avocats Me Ciré Clédor Ly dénonce les conditions de son arrestation et le déroulement de la procédure jusque-là. Seneweb vous propose l’intégralité de ses griefs contre la Justice dans le cadre de cette affaire.
Le Communiqué publié par la Coalition figurera, à tout jamais, sur les pages les plus sombres du Grand Livre de la République du Sénégal.
Que Dieu fasse que l’année 2022 ne ressemble pas à l’année 2021, pour ce qui est de la paix civile, notre volonté commune de vivre ensemble !
Il y a dans la race humaine une espèce pathétique et amnésique volontairement qui se plait dans...
L’idée d’effacement de la dette africaine, à peine lancée par le président de la république du Sénégal, a fait débat et, continue d’en faire, au-delà des frontières africaines.
Le groupe des ambassadeurs africains à Pékin a réagi suite à "la stigmatisation" et au traitement "discriminatoire" contre les ressortissants noirs établis dans la province du Guangdong, particulièrement à Guangzhou, dans le Sud de la Chine.
Après avoir soutenu à Ouagadougou en novembre 2017 que le franc CFA était une "monnaie africaine" et donc un "non-sujet" pour la France, le président Emmanuel Macron est récemment revenu à la réalité sous la pression de mouvements panafricanistes soucieux de voir l'Afrique francophone couper les liens coloniaux avec l'ancienne métropole.
Les magistrats qui statueront au procès de l’ancien président tchadien seront désignés par le ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba et non par l’Union Africaine, comme annoncé par le Procureur général des Chambres africaines extraordinaires (Cae). Du moins, c’est ce qui ressort d’un communiqué de la cellule de communication de Hissène Habré qui dénonce une campagne de désinformation menée par Mbacké Fall et Me Sidiki Kaba. « En réalité, l'Union Africaine (UA) n'a aucun pouvoir de sélectionner ou de choisir. De même, le Conseil supérieur de la magistrature du Sénégal n'a aucun pouvoir de proposition. En effet, l'Article 11 du Statut des Chambres Africaines Extraordinaires (CAE) dispose que les magistrats sont "nommés par le Président de la Commission de l'Union Africaine sur proposition du ministre de la Justice du Sénégal. », précise le communiqué. Et de souligner que « C'était bien cette procédure qui a été suivie pour nommer les magistrats des CAE d'instruction qui venaient de clôturer leur mission. Un Décret présidentiel a donné mandat au Président de la Commission de l'UA pour nommer lesdits magistrats. C'est précisément ce décret qui a fait l'objet d'un recours auprès de la Cour Suprême dans la mesure où il viole la Constitution et les lois portant l'organisation et le fonctionnement de la justice au Sénégal. C'est donc bien le Ministre de la justice du Sénégal qui sélectionne et/ou choisit les 24 magistrats (instruction et jugement) des CAE ».
Il vaut mieux ne pas tomber malade au Sénégal pour ne pas avoir à être trimbalé entre les différents hôpitaux du pays où les patients, souvent, sont accueillis à bras ouverts dans l’antichambre de la morgue. Entre la maternité, les urgences et autres unités de soins, il faut choisir et réfléchir à deux fois avant d’y envoyer un proche qu’on aimerait revoir en vie. Et bien portant. Seneweb fait le point dans certains établissements sanitaires du pays.
Après avoir abordé les atouts et faiblesses de l’enseignement religieux au Sénégal, puis mis en question l’actuelle approche de l’Etat dans le problème des daaras (voir première partie), Abdoul Aziz Mbacké Majalis, chercheur sur l’islam, revient sur les autres dimensions de la problématique, celles relatives au modèle de laïcité de notre pays. Dans cet entretien à Seneweb News, il propose une autre méthode « plus inclusive et une meilleure prise en charge des daaras » par les pouvoirs publics afin de résoudre définitivement le problème de la mendicité infantile. Entretien (Seconde partie).
Babacar Gaye, responsable libéral et porte-parole du Parti démocratique sénégalais était l’invité du journaliste Mamoudou Ibra Kane sur la Radio Futurs Médias.
La plus grave faute politique que Me Wade ait commise est d’avoir ignoré et voire méprisé le peuple sénégalais dans sa globalité, en considérant qu’avec l’argent, il pourra se payer toutes les consciences des Sénégalais et s’imposer à son peuple, même contre sa volonté.
« Il n’est pas permis au plus équitable homme du monde, d’être juge en sa cause » P. Blaise - Avec Me Wade et ses comparses, le peuple sénégalais en apprendra toujours pire que la veille. Et la dernière sortie du Président de la République à propos de dégrossir la Fonction Publique, n’en constitue qu’une preuve de plus, de confirmation. Cette déclaration de Me Wade vaut absolument celle de guerre à l’endroit, tout au moins, de tous les travailleurs du Sénégal. Comment peut-on imaginer un seul instant, de surcroit en tant que Président de la république, dans ce monde de crises de toutes sortes, penser réduire l’effectif de la Fonction Publique de son pays ?