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Les ambulants et tabliers de Keur Massar ont constitué un collectif pour faire face aux nombreuses opérations de déguerpissements entreprises par les nouvelles autorités.
Suite à leur déguerpissement des lieux sans sommation, ni indemnisation, les commerçants ambulants du marché Petersen ont organisé, ce matin, un point de presse pour sonner l’alerte. Et pour cause !
Décidément, le régime surveille les moindres mouvements pour éviter toute protestation des populations.
Décidément, le régime surveille les moindres mouvements pour éviter toute protestation des populations.
Il l’avait promis, il l’a fait. M. Babacar Sadikh Seck, le maire des Hlm, « courageux pas comme pas possible » a fini par mettre à exécution sa promesse. Hier, à 22 heures, exactement, camions, engins de charge, pèles, râteaux, véhicules de police, gyrophares crachant une lumière kaléidoscopique sont les signes avant-coureurs d’une soirée mouvementée au marché des Hlm.
Le torchon brûle entre le maire de Ndiarème Limamoulaye Baïdy Sy et des commerçants au marché Ndiarème. L’édile de la commune veut procéder à la reconstruction d’une partie du marché mais les commerçants se sont opposés aux opérations de déguerpissement. Le maire promet d’aller jusqu’au bout de son projet, des commerçants concernés affichent leur détermination à résister…
Les populations de Sabodala ne sont pas du tout contentes de Teranga Gold, l’industrie minière qui exploite l’or dans leur localité. Leur maire, Mamadou Cissokho, a révélé ce vendredi, une «cohabitation très difficile » entre la population et l’industrie.
Certains observateurs considèrent en général le Sénégal comme un pays très difficile à gouverner. D’ailleurs, on n’a même pas besoin d’être un observateur pour le constater. Nous traînons des pesanteurs particulièrement lourdes, fortement enracinées dans nos mentalités, et qui constituent des obstacles sérieux à l’exercice de toute bonne gouvernance dans le pays. Et ces pesanteurs sont parties pour durer encore très longtemps, car nos gouvernants (les anciens comme les actuels) n’ont jamais eu le courage d’y faire face.
Les services de la mairie de Dakar ont démoli dimanche matin des dizaines de cantines installées de manière anarchique sur l’avenue Cheikh Anta Diop, a constaté l’APS.
Comme à son habitude, Farba Senghor n’a pas usé pas de la langue de bois pour cracher ses vérités. Dans cet entretien, l’ancien ministre de Me Abdoulaye Wade revient la levée de l’immunité de certains députés libéraux suite aux enquêtes des biens mal supposés acquis. Le membre du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais a aussi fait une analyse froide de la situation politique et économique du Sénégal sous le magistère de Macky Sall.
Les marchands ambulants installés au niveau du marché de Thiaroye sont très remontés contre leurs autorités municipales. En effet, ces dernières ont pris la décision de les déguerpir sans sommation aujourd’hui. Ce que ne peuvent accepter ces ambulants qui ont improvisé une marche pour contester contre cette décision de la Mairie de Thiaroye. Interrogés, certains membres de la Mairie de Thiaroye croient lutter avec le désengorgement de la principale artère de la localité qui est envahi par les marchands ambulants.
Sitor n’a pas dérogé à la règle. A l’image de ses prédécesseurs , il a fini par faire le vide au niveau du Coud pour remblayer avec ses proches .Ce fait n’a pas plu à certains inconditionnels du maire de Mbacké , qui ont tenu se plaindre auprès du Président de la République . Ce coup de balai intervient quelques mois après avoir hérité des rennes de l’un des plus grands établissements universitaires du Sénégal. El Hadj Ndiaye , SG de la section II de Touba ,ex superviseur administrateur et financier du Coud à Bambey, victime de la furie de Sitor , suspend ses activités politiques jusqu’à nouvel ordre. En effet , a sa grande surprise , il s’est vu dessaisi de ses fonctions , comme par enchantement par le nouveau patron des lieux .
En effet, l’Etat, toujours selon la déclaration, fait signer des accords aux sinistrés sans que ces derniers ne puissent savoir les tenants et les aboutissants d’une telle mesure qu’on leur impose arbitrairement. « Presque tous les sites ont été touchés par cette mesure avec à l’arrivée une acceptation de la mesure. Mais au site 2 de Yeumbeul (511 familles, 4498 personnes), les sinistrés ont refusé de se laisser faire. Ils ont, sous la direction de Mme Coumba Diop, exigé la clarification d’un tel procédé qui ne leur inspire rien de bon et saisi la presse (radios privées) pour exprimer leurs inquiétudes et alerter l’opinion ».
