En Guinée, la démobilisation des travailleurs du projet Simandou s’accentue.
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En Guinée, la démobilisation des travailleurs du projet Simandou s’accentue.
Un nouveau cadre est né au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY)
Dans le cadre de la campagne arachidière par la SONACOS, des saisonniers sont en fin de contrat. Un coup dur pour les 37 travailleurs saisonniers employés au centre de récupération intermédiaire de Kolda...
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé le Conseil des Ministres, le mercredi 21 octobre 2020, à 10 heures, au Palais de la République.
Une des particularités de Koungheul et qui fait son charme, c’est sa diversité ethnique caractérisée par la présence de minorités comme les Koniaguis qui ont fini de s’intégrer dans le terroir tout en préservant jalousement leur patrimoine culturel et coutumier. A l’occasion des grands événements et autres célébrations à Koungheul, la prestation de la troupe des Koniaguis est toujours la principale attraction avec sa fameuse danse des masques, exécutée aux sons de chants rituels.
Il y a cinq ans, le 9 juin 2007, disparaissait à Dakar le cinéaste et écrivain sénégalais Sembene Ousmane, homme d’action et auteur d’une œuvre empreinte d’engagement dans les combats essentiels de son temps, pour la justice, la liberté et la dignité des peuples africains.Jusqu’au bout, notamment lors du tournage de son dernier long métrage ‘’Moolaade’’, Sembene, décédé à l’âge de 84 ans, est resté fidèle à sa vocation de témoin de combat, montrant sa capacité d’indignation autant dans ses œuvres que dans ses interventions.
Il suffit alors de museler par toutes les voies légales et illégales le citoyen, les médias et s’appuyer sur les sociétés de communication « faiseurs d’images » pour que la communauté internationale, frileuse quand il s’agit de choisir entre droits humains et intérêts bien partagés, fasse la sourde oreille et opte pour une diplomatie du statu quo. La liberté d’expression est tolérée tant que l’on a la décence de ne pas en user.
On ne peut pas applaudir quand des voitures brûlent, quand des édifices publics sont incendiés, mais Wade a eu ce qu’il a mérité. Il a semé le ventre des jeunes vendeurs, il a récolté la tempête. Tout le monde avait vu la colère monter. C’était une question de délai, mais quelqu’un devait dire un jour, « capitaine, la coupe est pleine ». C’est ce qui est arrivé mardi. Wade était lui, convaincu qu’il n’y avait pas un jour comme ça dans son calendrier. Il avait même osé déclarer à des journalistes français venus le voir en 2006, que « la vie est chère, il y a des délestages, mais vous ne verrez pas les Sénégalais dans la rue, parce qu’ils m’aiment ». Il y a des leçons que la vie nous donne tous les jours, mais des hommes comme lui ne s’en inspirent jamais.
En dépit du clash qui a sanctionné hier, lundi 19 novembre, le démarrage des négociations tripartites programmées au Building administratif entre l’Etat, les employeurs et les travailleurs, les syndicats réunis au sein du Front unitaire sont demeurés fermes dans leur décision d’organiser conjointement avec l’Intersyndicale des centrales dès demain, mercredi 21 novembre, une marche générale de dénonciation et de protestation contre la cherté de la vie au Sénégal. Une marche qui sera organisée au « forceps » si les autorités préfectorales ne l’autorisaient pas, ont prévenu les responsables syndicaux.