La Société d’exploitation du Train express régional (SETER) traverse actuellement une crise interne profonde...
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Lors d’un point de presse, ce mardi 2 juillet 2024, Thierno Bocoum a dénoncé le manque de rigueur et de sérieux qui empêche une prise en charge efficace des besoins de la population.
À la lecture du projet de budget 2023, année où devrait sortir le premier baril de pétrole (bloc de Sangomar) ainsi que le premier mètre cube de gaz (Saint-Louis offshore)...
Le processus «démocratique» qui vient de conduire à l’élection d’Aliou Sall à la tête de l’AMS a permis de mettre à nu les turpitudes et prévarications de la classe politique sénégalaise dans sa grande majorité. Il ne suffit pas être un divin pour savoir que le frère du Président de la république est porteur d’un agenda politique en se faisant élire à la tête de l’AMS alors qu’il n’a même pas encore bouclé 6 mois à la tête d’une mairie. Son couronnement est révélateur de la boulimie de pouvoir de la famille présidentielle, le phagocytage de BBY, l’inexorable décadence du Parti socialiste (PS) et l’incohérence qui frise la frivolité de la part du PDS.
Le Commissaire Keita, l’homme qui a permis de dévoiler les implications des forces de l’ordre, en particulier de la Police, reprend ici la parole, dans un document qu’il a tenu à apporter au journal Le Quotidien en mains propres. Ce n’est pas un homme amer ou aigri qui parle ; au contraire, il ressort des échanges que le personnage, qui a, presque d’un coup de dé, mis en balance sa carrière, sa vie et l’existence même de personnes qui lui sont proches, a une très haute idée de sa mission et de ses devoirs envers son pays.
L’alliance pour la République, le parti du président recherche encore ses hommes, cherche à s’identifier à des visages et à des profiles, les derniers remous notés dans le climat sociopolitique, ont conforté les républicains dans l’idée qu’ils devront compter sur eux-mêmes face à la montée de la frustration sociale. Après tout, c’est à Macky Sall et à lui seul que le peuple demandera des comptes. Des cadres tels que Abdoulaye Diouf Sarr, le patron du Centre des œuvres universitaires de Dakar se rebiffe pour servir de bouclier à leur mentor. Dans cet entretien, le natif de Yoff remet les pendules à l’heure républicaine et tout le monde passe à la trappe.
Sans détours et avec la franchise qu’on lui connaît, le journaliste Alioune a accepté de se prêter à notre jeu de mots croisés sur les cents premiers jours de pouvoir de Macky Sall. Ce proche du chef de l’Etat, par ailleurs patron de la fondation de son épouse, parle du premier trimestre du chef de l’Etat, des promesses de campagne, des audits… Entretien.
Tous ceux qui disaient que Cheikh Tidiane Gadio n’irait pas jusqu’au bout de sa candidature peuvent changer de discours.Le président du mouvement ‘Luy Jot Jotna’ est bel et bien candidat à la présidentielle. Et ce n’est pas les 65 millions qui le bloqueront. Encore moins, affirme-t-il, ceux-là qui tentent de le ‘désinvestir’.
Ce document se propose d’effectuer une chronologie des faits et actes qui montrent qu’on assiste à projet de dévolution monarchique du pouvoir au Sénégal.
Pis qu’une police politique, la Dic est tout simplement devenue une «Division des inquisitions de citoyens». Ajoutons-y, innocents. Ou, en tout cas, des citoyens dont le seul tort semble être le fait de penser autrement. Mal-pensants, taisez-vous ! Ou alors, en prison ! L’inquisition, disons-le tout de suite, est le lit du totalitarisme. On a vu les dégâts que le maccarthysme, cette politique basée sur l’inquisition, a faits dans l’Amérique des années d’après Seconde guerre mondiale. Entendons-nous bien ! Il n’est pas question ici d’accabler, encore moins de faire le procès des éléments de la Dic qui sont des citoyens comme nous tous, donc avec des qualités et des défauts.
Dakar, 6 sept (APS) - Le conseil de régulation de l’Agence de régulation des marchés publics (ARMP) va prochainement statuer sur le contenu du livre ‘’Contes et mécomptes de l’ANOCI’’ du journaliste Abdou Latif Coulibaly, a annoncé, dimanche, Youssouph Sakho. L’organe compétent a été saisi du contenu de ce livre par des membres de la société civile et du secteur privé sénégalais, a précisé le directeur de l’ARMP, au cours de ‘’Grand Jury’’. Il a rappelé au cours de cette émission hebdomadaire de la Radio futurs médias (RFM) que la structure dont il est le directeur général n’a pas le pouvoir de s’autosaisir dans de tels cas.
Pour lutter contre les pratiques anormales que les banques sénégalaises appliquent à leur clientèle, des universitaires et cadres de hautes fonctions du pays viennent de mettre sur pied l’Association sénégalaise des usagers de la banque (Asub). Cette nouvelle structure entend s’ériger en bouclier contre toute forme de délinquance bancaire et, par ricochet, faire bénéficier aux usagers de la banque des prestations de qualité à des coûts raisonnables. La possibilité reconnue aux banques de concevoir et d’appliquer certaines conditions et obligations dans leurs relations avec leur clientèle ayant donné lieu à des disparités dans le traitement réservé à celle-ci, des usagers de la banque viennent de porter sur les fonts baptismaux l’Association sénégalaise des usagers de la banque (Asub)...
Le Sénégal risque-t-il d’être « capturé » davantage dans la nasse de la corruption par ses nouveaux partenaires au développement ? Sa nouvelle stratégie de « diversification du partenariat économique » avec des pays exportateurs « portés à recourir à la corruption, à verser de manière occulte des pots-de-vin à l’étranger pour capturer les Etats », comporte aux yeux du Forum civil, qui le met ainsi en garde, « des risques réels » de renforcement de la corruption. Le Sénégal a, de tout temps, diversifié sa coopération en tant qu’Etat souverain, libre et indépendant, même si, cette diversification s’appuyait d’abord sur un socle solidifié d’un partenariat de base né des relations séculaires pour s’étendre ensuite, ou aller tirer profit des rencontres nouvelles et fécondantes.
Les questions relatives à la corruption et à la bonne gouvernance dopent le Coordonnateur du Forum civil. Si bien que c’est avec une aisance non feinte que Mouhamadou Mbodj en parle. Avec lui, nous avons, dans cette première partie de l’interview qu’il nous a accordée, abordé les relations que le Sénégal entretient avec les bailleurs, ‘la féroce compétition’ que notre pays subit de la part de ses voisins, des problèmes liés au fonctionnement de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) où siège la société civile ainsi que des dépassements budgétaires qui avaient, le mois dernier, défrayé la chronique.
De retour de Genève où se tenait une réunion de l’Internationale socialiste, le Premier secrétaire du Ps, Ousmane Tanor Dieng, a rencontré ses militants de Paris. Au sortir de la rencontre, il s’est confié à la presse sénégalaise. Durant l’entretien, il a soutenu que le dialogue que l’opposition sollicite auprès du chef de l’Etat n’a pas pour finalité l’entrée dans un gouvernement. ‘Nous prescrivons le dialogue et nous proscrivons l’entrisme’, a-t-il lancé. Tout en précisant que pour régler certains problèmes du pays, il faut une large base sociale. Il a évoqué la question de la participation aux élections locales de l’année prochaine, le congrès du Parti socialiste les 28 et 29 juillet 2007 pour dire qu’il sera candidat à la tête du parti. Le Premier secrétaire s’est exprimé sur la démission de Mamadou Diop et sur le futur parti de Robert Sagna.
Les luttes de positionnement au sein du Parti démocratique sénégalais (Pds) sur fond de dénonciation, de calomnies et d’attaques parfois virulentes par presse interposée se poursuivent de plus belle. C’est ainsi qu’hier, dimanche 21 mai dans un communiqué reçu à notre rédaction, la Pépinière des cadres libéraux/Forces du changement (Pcl/Fc) affirme que « (…) les clignotants sont au rouge au Pds… » Comme en écho, le jeune libéral Ali Diouf Mbaye de Diourbel parle de « haute trahison » et annonce la naissance d’une nouvelle formation politique des flancs du parti dénommé, selon lui, « Parti démocratique sénégalais des loyalistes au pays » (Pdslp). Le parti de Me Wade résistera-t-il à la guerre des tranchées ?
Le Secrétariat du Comité central du Parti de l’indépendance et du travail (Pit) réuni le vendredi 24 mars dernier trouve que « le pouvoir a engagé une tentative d’intimidation » à l’endroit de leur camarade Ibrahima Sène interpellé et incarcéré. Tout comme contre le Secrétaire général du parti, Amath Dansokho convoqué à la Division des investigations criminelles (Dic) pour ce jour, lundi 27 mars. En écho et en France, dans un communiqué de presse parvenu à notre rédaction, l’opposition sénégalaise regroupée au sein du Cadre permanent de concertation (cpc) du G10 et de la Ligue démocratique/Mouvement pour le parti du travail (Ld/Mpt) s’en prend vivement au pouvoir libéral.