Contrairement à ce que le titre de cette modeste contribution pourrait suggérer, je nourris présentement beaucoup de sympathie, voire de la commisération, pour les vaillants hommes de presse, soldats de la communication, demeurés toujours dignes, en dépit des multiples tentations et des dérives inhérentes à ce noble métier, qu’est le journalisme, et dont les événements malheureux que nous connaissons viennent d’éclabousser la corporation. M’inscrivant en faux contre l’adage, complaisant, qui voudrait faire admettre que chaque corps de métier a ses brebis galeuses, je considère qu’il ne saurait constituer une excuse valable pour nous exempter d’une nécessaire, constructive et salutaire introspection.
il y a 13 ans
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