l’ancien collaborateur de « Sud Hebdo », qui a collaboré respectivement au dispositif électoral sous en ATT et IBK en 2002 et 2013 au Mali, appelle le Sénégal à être davantage regardant...
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l’ancien collaborateur de « Sud Hebdo », qui a collaboré respectivement au dispositif électoral sous en ATT et IBK en 2002 et 2013 au Mali, appelle le Sénégal à être davantage regardant...
Dans le cadre d’un dossier qu’il a consacré au Mali, le journaliste sénégalais Hussein Bâ alerte sur les dangers sécuritaires qui guettent le Sénégal, frontalier du Mali.
Serigne Ahmadou Kara Mbacké compte célébrer le Gamou à Darou Mouhty. Ce matin, sur place, le chef religieux a fait le tour de la mosquée, muni de son fusil.
Au Mali, l'armée malienne a été victime d'une attaque terroriste dans la région de Ségou. Un convoi a été pris pour cible jeudi 13 octobre entre Diabali et Nampala. Pas de revendication pour le moment. Mais le bilan fait état de quatre soldats maliens tués et sept blessés. Une attaque violente, dans une région où elles sont devenues extrêmement fréquentes.
Le Breton Gilles Le Guen, 60 ans, a été condamné vendredi à huit ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir rejoint le groupe Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) au Nord-Mali en 2012 et 2013, comme l'avait requis le parquet. Le djihadiste présumé avait été arrêté en avril 2013 par l'armée française dans le nord du Mali puis expulsé vers la France, après son apparition dans un reportage télévisé sur les Français présents dans les rangs d'AQMI à Tombouctou.
Au Mali, deux militaires maliens ont été tués dimanche. Les attaques terroristes sont fréquentes dans le nord du Mali où les groupes islamistes sont toujours actifs. Mais cette fois, l'attaque a eu lieu dans le centre du pays, à Diabali. Les attaques se sont multipliés récemment dans la région et un homme et ses fidèles sont pointés du doigt.
La date du 11 janvier 2013 restera à jamais gravée dans les annales de l’histoire du pays qui revient Servalde très loin, grâce à la communauté internationale avec la France en première ligne
Le 19 septembre dernier, lors de la cérémonie d’investiture du nouveau président malien Ibrahim Boubacar Keïta, l’on a noté l’absence du président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz. Une absence qui soulève du côté de Nouakchott interrogations et inquiétudes, en particulier sur l’avenir des relations entre les deux pays. Auparavant, à l’occasion de son discours d’adieu le 03 septembre, le président par intérim, Dioncounda Traoré, annonçait déjà la couleur : il a remercié, en les nommant, chacun des chefs d’Etat dont les Maliens ont pu apprécier le soutien durant l’épreuve que leur pays venait de traverser. Le nom de Mohamed Ould Abdel Aziz fut soigneusement omis et la Mauritanie n’ayant été citée qu’au titre des pays voisins abritant des Maliens déplacés à la faveur de ces troubles. Guère plus.
Les raids aériens et les affrontements au sol ont laissé les régions du nord et du centre du Mali truffées de munitions non explosées (unexploded ordnance, UXO) qui mettent sérieusement en péril la vie des enfants et empêchent le retour des personnes déplacées.
Video. Mali: La Guerre Et Les Otages, France 2 Ouvre Le Débat "En Cinquante Jours Nous Avons Libéré Konan, Tombouctou,Kidal, Diabali,Gao..."
Les islamistes n'ont pas encore disparu, la force africaine n'est pas encore opérationnelle et la stabilité politique n'a pas encore été retrouvée. Décryptage
Il ne fait pas bon être barbu dans le nord du Mali, où l'armée traque le moindre signe de collaboration avec les islamistes. Reportage à Diabali, où un homme a été désigné comme rebelle parce qu'il portait une barbe fournie
Des soldats français et maliens contrôlaient lundi matin les accès et l'aéroport de Tombouctou, dans le nord du Mali, à l'issue d'une opération terrestre et aérienne menée dans la nuit, a-t-on annoncé de sources militaires françaises et malienne. Les forces françaises et africaines contrôlent désormais la "Boucle du Niger" entre les deux bastions islamistes de Tombouctou
La force de la CEDEAO va attendre jusqu’en mi-février pour soutenir les forces malienne et française qui sont en pleine progression sur le terrain, a déclaré un membre de l’Etat major de la Misma (Mission internationale de soutien au Mali) à Bamako, ce dimanche. Cette déclaration fait suite au refus hier du détachement burkinabé de prendre position à Diabali pour appuyer les forces maliennes dans leur progression vers Tombouctou à partir de Léré et Niafunké. Le chef du détachement du Burkina a souligné que sa mission pour l’instant est de sécuriser tout simplement le barrage de Markala et n’a aucune instruction de progresser. Il en était de même pour le contingent nigérian qui a réfuté une demande de déploiement à Banamba, localité située à 130 km de Bamako.
Il y a encore quelques jours, il préparait à manger pour les islamistes du Mujao, qui détiennent un otage français... Adama, un adolescent, a échoué à la gendarmerie de Sévaré, dans le centre du Mali, où L'Express a pu le rencontrer.
Les forces françaises se sont emparées samedi de l'aéroport et d'un pont sur le fleuve Niger à Gao, la principale ville du nord-est du Mali, dont la chute marquerait une étape importante de l'offensive lancée pour faire échec aux rebelles islamistes qui menaçaient de s'emparer du pays.
Video - Reprise De La Ville De Diabali Par L'armée Malienne Et Française, Voici Les Témoignages Des Populations
Les forces françaises et maliennes ont repris lundi matin le contrôle des villes de Diabali et de Douentza, dans le centre du Mali, d'où les combattants islamistes ont disparu, a confirmé le ministre français de l'Intérieur, Jean-Yves Le Drian.
Le président égyptien, Mohamed Morsi, s'est déclaré opposé à l'intervention militaire menée par la France au Mali, lors d'un discours à l'ouverture d'un sommet économique arabe à Riyad. "Toute intervention doit être pacifique. Nous n'acceptons en aucun cas l'intervention militaire au Mali (...) qui est de nature à alimenter le conflit dans la région", a déclaré le chef de l'Etat devant ses pairs arabes.
L'armée française a consolidé ses positions au Mali, , dimanche 20 janvier, avec un but clairement affiché par Paris, "la reconquête totale" du pays en partie occupé par des islamistes armés, alors que plusieurs capitales ont répondu à l'appel à une aide internationale accrue. "L'objectif, c'est la reconquête totale du Mali. On ne va pas laisser des poches" de résistance, a déclaré dimanche le ministre français Jean-Yves Le Drian, qui a toutefois espéré que la force régionale africaine en cours de déploiement constitue rapidement le "relais" de l'intervention française.