Cheikh Dieng n'a passé que trois mois comme directeur général de l'ONAS, avant d'être viré par le président de la République Bassirou Diomaye Faye.
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Cheikh Dieng n'a passé que trois mois comme directeur général de l'ONAS, avant d'être viré par le président de la République Bassirou Diomaye Faye.
Le ministre de la Microfinance et l’Économie sociale et solidaire a procédé samedi à la remise du chèque de refinancement du programme PLAZEPRI/PASPED...
Le ministre de la Microfinance et l’Économie sociale et solidaire a procédé samedi à la remise du chèque de refinancement du programme PLAZEPRI/PASPED...
Le ton n'a pas changé, la cible non plus. En visite hier à Mousdalifa, un quartier inondé de la banlieue, Talla Sylla s'est à nouveau appesanti sur ce qu'il appelle les limites objectives de Karim Wade en insistant qu'après le départ imminent de Wade, Karim Wade va vite oublier la banlieue. Et pour cause... L'accoutrement kaki qu'il a arboré hier cadre parfaitement avec le ton guerrier. Talla Sylla, pour narguer le directeur de cabinet de Karim Wade, était à nouveau dans la banlieue, précisément dans la commune d'arrondissement de Djida Thiaroye Kaw.
Malgré les beaux habits que revêtent certains quartiers de Dakar, la banlieue souffre par contre de sa situation de pauvreté et de ghetto. Dans certains quartiers comme Thiaroye Djida Kaw, Mousdalifa Médina Gounass et une partie de la cité de Fadia (Pacelles Assainies), la vie constitue un vrai casse-tête. On travaille pour survivre, quitte à passer la nuit dans la rue. La cité Fadia, les quartiers de Thiaroye Djida Kaw , Mousdalifa et Médina Gounass en sont des exemples édifiants. Moustiquaires attachées au vent, des personnes entassées et des rues occupées, la cité Fadia donne une allure de Ghetto.
En cette période hivernale, la banlieue constitue un terreau fertile pour le développement de toutes sortes de maladies. Inondations et eaux impures à la consommation cohabitent aisément avec les amoncellements d’ordures. Dans la localité de Pikine Wakhinane, l’impuissance et l’insatisfaction des populations fait régner un fatalisme lourd de dangers. Reportage. Péril hydraulique en banlieue - Le supplice des populations. Payer sa facture d’eau sans la consommer ! Eau saumâtre, impropre et infecte, c’est le calvaire que vivent perpétuellement les populations de la banlieue qui se disent être les plus mal lotis en eau. Grincements de dents, ras le bol et frustrations sont les sentiments les mieux partagés chez ces populations qui n’ont plus que leurs yeux pour pleurer.