L'école a encore fait les frais des manifestations à Ziguinchor...
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L'école a encore fait les frais des manifestations à Ziguinchor...
L’Apix et son partenaire SECCA-SA viennent en appui aux écoles qui ont subi les violentes manifestations de juin dernier à Ziguinchor
L'établissement avait subi d'énormes dégâts lors des évènements du 1er juin dernier. Les salles de classe en palissades de tiges de bambous avaient été brûlées ou saccagées. Les tables bancs avaient subi le même sort. Ce qui, à l'ouverture des classes, a posé d'énormes difficultés.
À la veille de la rentrée des classes pour les élèves, plusieurs écoles de Ziguinchor saccagées en juin et en juillet 2023 ne sont pas dans les conditions de recevoir les potaches. De plus "plusieurs élèves et enseignants arrêtés lors des manifestations liées à l'affaire Sonko sont toujours dans les liens de la détention", informent des membres du mouvement Vision citoyenne. Ce qui risque de plomber, selon eux, le bon déroulement des cours.
L'ouverture des classes est prévue pour le 2 octobre prochain pour le personnel enseignant et administratif
Le texte de sieur Felwine Sarr intitulé ‘’Nous tenir éveillés’’ est un exemple édifiant d’une argutie argumentative partisane...
Les dernières manifestations liées au procès ayant opposé Ousmane Sonko à Adji Sarr
Hier, en choisissant la mauvaise voie, nos dirigeants nous ont conduit à la situation que nous vivons et dont nous avons du mal à nous sortir.
L’Apix et son partenaire SECCA-SA viennent en appui aux écoles qui ont subi les violentes manifestations de juin dernier à Ziguinchor
À la veille de la rentrée des classes pour les élèves, plusieurs écoles de Ziguinchor saccagées en juin et en juillet 2023 ne sont pas dans les conditions de recevoir les potaches. De plus "plusieurs élèves et enseignants arrêtés lors des manifestations liées à l'affaire Sonko sont toujours dans les liens de la détention", informent des membres du mouvement Vision citoyenne. Ce qui risque de plomber, selon eux, le bon déroulement des cours.
L'ouverture des classes est prévue pour le 2 octobre prochain pour le personnel enseignant et administratif
Les clichés ont la vie dure : Au 21e siècle, le Fouta se drape encore des habits de l’histoire. Les us et coutumes d’hier conservent toute leur prégnance. A la ville comme en campagne, les divisions sociales reposant sur la division de la société en trois classes principales, les nobles ou «Rimbés», les «Gnenbés» (bijoutiers, tisserands, etc.) et les captifs ou «Maccubé», restent une réalité incontournable. Situés tout au bas de la hiérarchie sociale, les «Maccubé» constituent ainsi une caste à part dans la société pulaar. Ces «esclaves», comme on les appelle, vivent au sein de la communauté sans pour autant bénéficier de son estime. Ainsi devaient-ils effectuer les travaux les plus durs au profit de leurs «maîtres». Captifs de père en fil et de mère en fille, ces «Maccubé» ne jouissent que de peu de considération. L’évolution des mentalités et l’émancipation économique n’ont pas totalement réussi à bouleverser cet ordre. Ce dossier a été réalisé en collaboration avec Article 19, le Hcr et l’Unesco.
Des coups de feu, provenant de l’intérieur du commissariat central de police situé au centre ville de Ouagadougou sont entendus, jeudi dans la matinée, a-t-on appris de sources concordantes.Les policiers ont érigé des barricades devant le commissariat central empêchant la circulation à ce niveau.
En effet, après la légère tempête de violence survenue au Campus social de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, et occasionné des dégâts matériels au niveau du Pavillon «J» dans la nuit du mercredi 15 au jeudi 16 novembre dernier, les étudiants ont, dans l’ensemble, repris les cours. Une assemblée générale de mise au point de la situation est tenue hier matin, vendredi 17 novembre dans l’enceinte du campus. À l’origine du conflit qui a opposé les deux parties au conflit se trouverait un groupe d’étudiants de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, selon des informations recueillis au près des différents témoins interrogés.