La réaction des Organisations de défense des droits de l’homme ne s’est pas faite attendre suite à l’accusation de la famille de Ndiaga Diouf du nom de ce jeune tué lors de l’attaque de la mairie de Sicap Sacré-Cœur - Mermoz, il y a tout juste un an. Et par c’est par la voix de Me Assane Dioma Ndiaye de la Ligue Sénégalaise des droits de l’homme que la réaction des Ongs de défense des droits de l’homme s’est faite entendre.
« Non les Organisations de défense des droits de l’homme ne sont pas réduites au silence. Elles ont fait tout ce qu’il fallait faire. Il ne reste que le travail de la justice », a déclaré Me Assane Dioma Ndiaye. « Nous luttons contre l’impunité et le dénie de justice. Nous avons œuvré dans ce sens jusqu’à l’ouverture d’une enquête. Des personnes supposées impliquées dans cette affaire sont arrêtées et entendues. Il revient maintenant au juge en charge du dossier de donner une suite ou non. Et ce travail est en train d’être par la justice. La lenteur ou la rapidité du dossier n’est pas du ressort des organisations de défense des droits de l’homme », a-t-il ajouté. « En tout cas notre travail d’alerte et de veille se poursuit jusqu’à l’éclatement de la vérité », rassure-t-il, ainsi la famille de Ndiaga Diouf qui semble mal comprendre certains actes posés par la justice sénégalaise.
Des actes relatifs à la liberté provisoire accordée à Barthélémy Dias, devenu entre temps député à l’Assemblée nationale entre autres.
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