Depuis le 22 septembre dernier, l’Etat du Sénégal a lancé sa troisième opération d'emprunt obligataire par appel public à l'épargne (Ape3), que d'aucuns appellent Diaspora Bonds.
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Depuis le 22 septembre dernier, l’Etat du Sénégal a lancé sa troisième opération d'emprunt obligataire par appel public à l'épargne (Ape3), que d'aucuns appellent Diaspora Bonds.
L’AMF-UMOA modernise la gestion collective pour dynamiser l’épargne régionale
Le Sénégal lance officiellement, ce lundi, sa troisième opération d'emprunt obligataire par appel public à l'épargne (Ape3). Ababacar Diaw, l’administrateur et Directeur général d’Impaxis securities, entreprise désignée arrangeur principal et chef de fil de l’opération, rappelle qu’il s’agit de la troisième opération de ce type lancée cette année par l'État du Sénégal.
Le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (FRAPP) a vigoureusement réagi à l’adoption, par l’Assemblée nationale, de la loi instituant une taxe sur les transferts d’argent.
Babacar Bâ : « Les ressources endogènes ne suffisent pas à rétablir la soutenabilité budgétaire »
"Diaspora Bonds" : L'Etat lance son emprunt obligataire par Appel public à l’épargne pour lever 300 milliards FCFA
Diaspora-Bonds : "Investir au Sénégal rapporte plus qu’en France, Italie ou USA" (économiste)
Les récentes pluies exceptionnelles qui ont frappé plusieurs localités du pays n’ont pas épargné la commune de Bambey...
Au premier trimestre 2025, les institutions de microfinance de l’UEMOA ont enregistré une progression de 4,1 % de leurs dépôts, qui atteignent désormais 2 560,9 milliards FCFA.
Dans l’abondante littérature consacrée aux métropoles africaines, Touba ne figure pas parmi les plus grandes métropoles du continent africain.
Le plan de redressement économique et social apporte bien de la nouveauté, comparé aux précédents ; les leviers d’action sont aussi clairement identifiés.
Fadilou Keïta a engagé des réformes structurelles visant à faire de l’institution un pilier du financement de l’économie sénégalaise
Le parti Sénégal Bi Ñu Bokk a vivement critiqué le Plan national de redressement économique et social (PRES) présenté ce matin par le Premier ministre Ousmane Sonko. Réuni en session ordinaire, le Bureau politique provisoire a publié un communiqué au vitriol dans lequel il rejette catégoriquement le document gouvernemental, dénonçant un manque de rigueur, de transparence et d’inclusivité.
Lors d’une présentation théâtrale au Grand Théâtre national, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé son plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », devant un public acquis et sous le regard du président Bassirou Diomaye Faye. Mais pour Ibrahima Thiam, président du parti Action pour la Citoyenneté et les Transformations (ACT), ce plan n’est qu’un « récit politique » dénué d’ancrage dans les réalités économiques du Sénégal. Dans une tribune au vitriol, Thiam dénonce une approche marquée par une fiscalité agressive, un souverainisme déconnecté et une absence de solutions concrètes pour sortir le pays de la crise. Voici une analyse fidèle de sa critique, ponctuée d’extraits de son texte.
Alors que le Premier ministre Ousmane Sonko présentait, ce vendredi, son très attendu Plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », au Grand Théâtre de Dakar, les réactions ne se sont pas fait attendre.
L’enseignant-chercheur en économie à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Meissa Babou a suivi avec beaucoup d’intérêt la présentation du Plan de redressement économique et social.
Chaque sou compte! Lors de la cérémonie de présentation du plan de redressement économique et social, le premier ministre a exposé la synthèse des projections des différentes rubriques.
Énergie : la Senelec perd 100 milliards F CFA par an à cause du…
CFEE, BFEM, Bac… aucun examen n’a été épargné par les cas de fraude cette année.
«À l’heure où l’unilatéralisme et le populisme ressurgissent, nous devons affirmer notre foi en un multilatéralisme plus fort, plus inclusif et représentatif», déclare El Malik Ndiaye, lors de la 6e Conférence mondiale des présidents de parlement organisée par l’Union interparlementaire, en parallèle avec les Nations Unies, à Genève.