À la suite d'une dénonciation, la section de recherches (SR) de la gendarmerie de Kaolack a arrêté deux individus qui se faisaient passer pour des capitaines de l'armée.
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À la suite d'une dénonciation, la section de recherches (SR) de la gendarmerie de Kaolack a arrêté deux individus qui se faisaient passer pour des capitaines de l'armée.
Elle a été inhumée
Ils ont tous un parcours. Une histoire à raconter. Partis du Sénégal, du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso, du Nigéria, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, de la Tunisie, du Maroc entre autres pays, ces populations, à la recherche d’un avenir meilleur, prennent des risques énormes, au péril de leur vie.
C’est un faux secret.
Dans mon premier essai intitulé « Tirons les rideaux », j'interpelais la société sénégalaise sur le comportement de nos hommes politiques et même des sénégalais, pour les premier devant la gestion des ressources du pays et pour les second devant leurs relations avec les politiciens qui nous gouvernent.
Depuis les lieux Saints de l'Islam où il est retourné après avoir passé quelques heures au Sénégal pour rencontrer le khalife des mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, suite à la vive polémique au sujet de ses déclarations sur le conflit Israélo-palestinien, Idrissa Seck est revenu à la charge.
Association, en partie secrète, de personnes qui professent des principes de fraternité, se reconnaissent entre elles à des signes et à des emblèmes et se divisent en groupes appelés "Loges", la franc-maçonnerie qui est au coeur de l’actualité nationale depuis le fameux droit de réponse du président Wade au journal français « L’Express » en date du 7 février 2009, n’est pas une nouveauté au Sénégal. En effet, la première loge maçonnique a été créée par le Grand Orient en 1781 à Saint-Louis. Blaise Diagne, premier député africain élu à l’Assemblée nationale française en 1914, était devenu franc-maçon en 1899. En sa mémoire, une loge Blaise Diagne a été fondée à Dakar en 1977. "Le Réveil" était une publication franc-maçonne sénégalaise.
Les propos du président du Cnp sur les Ong ne sont pas de nature à apaiser la tension née des sorties du président de la République. Dans l’entretien qu’il nous a accordé avant-hier, en marge de l’assemblée de son organisation, Baïdy Agne soutient que les Ong récoltent beaucoup d’argent qu’elles dépensent plus dans leur fonctionnement qu’au profit des populations. Dans la même lancée, il marche sur les traces du chef de l’Etat en critiquant certaines institutions spécialisées de l’Onu comme la Fao qui a adopté, à son avis, la même démarche. Réélu à la tête du Cnp, Baïdy Agne n’a pas, non plus, omis l’aide publique au développement qu’il considère comme un échec. Par contre, il a salué la Goana qu’il considère comme une solution à la crise alimentaire. Revenant sur le terminal à conteneurs attribué à Dubaï Port World, le président du Cnp a réaffirmé la volonté du secteur privé national de participer à hauteur de 25 % sur cette concession.
“Wolof danaan : kuy jaay ker, ba jànt soo, nga làlli” (un vendeur d’ombre décampe au coucher du Soleil). Le président Abdoulaye Wade a l’habitude de détourner l’attention des Sénégalais, en proposant des solutions « lumineuses » à des problèmes que ces derniers ne se sont jamais posés. Et comme ces propositions ne sont pas destinées à trouver des solutions à des problèmes. Plus les mirages de solutions sont merveilleux, mieux ils accrochent. C’est exactement ce que Wade vient de tenter, une fois encore, en « révélant » un accord de fourniture d’une quantité de 600 mille tonnes de riz par an, par le gouvernement indien, au Sénégal. Mais qu’y a-t-il de particulier qu’un pays producteur du riz en vende à un autre pays, importateur, celui-là ?
Préjugés, clichés, lieux communs donnent une vision caricaturale du Sud-Sahara. Comment rétablir la vérité ? L’Afrique noire est une terre de violence et de sauvagerie. Elle est minée par le sida et la corruption. Ses habitants ne connaissent que le tribalisme. Ils sont tous polygames, leurs femmes font trop d’enfants. Qui n’a entendu, en Europe, déclamer ce genre d’« évidences » ? Il n’est pas question de nier les difficultés qu’affrontent les pays subsahariens. Malgré les progrès récents, le processus démocratique reste un peu partout fragile.
Quand deux capitaines se disputent le contrôle d'un même et unique bateau, chacun y va à sa manière, avec souvent des déclarations mielleuses pour démontrer sa force de frappe. Surtout, quand il s'agit d'une bataille politique. Galvanisés par les foules durant cette campagne électorale, les libéraux reprennent du poil de la bête et ne cessent de déclarer que Thiès s'est réconciliée avec Me Wade et la coalition Sopi. «Faux !», rétorque Yankhoba Diattara, responsable national des jeunes de Rewmi. Selon lui, « Thiès est toujours la chasse gardée de Idy ». Libéraux et militants de Rewmi tiennent vraiment à la ville de Thiès comme à la prunelle de leurs yeux. Personne ne veut céder à l'autre la plus petite portion du terrain politique. Une véritable bataille de nerfs à laquelle les deux camps se livrent depuis longtemps, pour le contrôle de la ville.