Près de trois mois après la disparition brutale de Soumaïla Cissé, son parti lui cherche encore un successeur.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Près de trois mois après la disparition brutale de Soumaïla Cissé, son parti lui cherche encore un successeur.
Une candidature, quatre prétendants. Ce pourrait être le titre de cette alliance libérale circonstancielle dans le Cadre de concertation de l’opposition. Mais Idy, Pape Diop, Baldé et Karim- si on lui ouvre les portes de Rebeuss- iront tous en solo au premier tour. Wade lâchera-t-il du lest en ayant un des trois comme Plan B de la candidature de son fils ? Rien n’est moins sûr.
Considérée par certains comme un sanctuaire pour chefs d’Etat peu recommandables, critiquée pour son entrisme et l’affairisme frénétique de certains de ses membres, défendue par d'autres comme un réseau de fraternité humaniste, la franc-maçonnerie n’a jamais fait autant florès en Afrique. Etat des lieux au moment où s’ouvrent à Lomé les grandes retrouvailles annuelles des « fils de la Lumière ».
Le maître-mot ces derniers temps, c'est le regroupement de la famille libérale. Un aveu de taille. On ne regroupe qu'une famille éparpillée. Le Pds a perdu son lustre d’antan. Sa quintessence. Il est en lambeaux. Ceux qui constituaient sa charpente ont quitté le navire. Un à un. Ceux qui restent sont pour la plupart frustrés.
La gestion des inondations demeure la préoccupation principale du gouvernement sénégalais, mais la politique continue parallèlement d'occuper les plus hautes autorités, si l'on en croit la livraison de jeudi de la presse quotidienne."Une opération +fendi+ pour évacuer les eaux stagnantes", annonce le quotidien national Le Soleil. Il précise que dans ce cadre, 300 éléments de l'armée et des moyens du Génie militaire ont été mobilisés.
Après les ministres, Oumar Guèye et Pape Diouf, la Porte-parole de Rewmi, la notaire Nafissatou Diop a pris ses distances avec l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck. Macky Sall est-t-il encore en train de prendre le dessus sur le maire de Thiès ?
La Glasnost et la pérestroïka en Union soviétique, la chute du mur de Berlin, le discours de feu François Mitterrand au sommet de la Baule, dans les années 1990, avaient sonné le glas des idéologies. Le clivage Est-Ouest, les tensions idéologiques entre capitalistes et communistes, avaient fondu comme du beurre au soleil. Le monde entra dans l’ère de la globalisation en accentuant la mondialisation. Sur le vieux continent, l’Europe des douze, avec sa Communauté économique (CEE) cédera la place à l’Union Européenne et sa monnaie unique. Partout dans le monde, c’est l’ère des grands ensembles.
Dans la ‘‘War Room’’ de la Présidentielle 2012 :La République du Sénégal sera-t-elle soluble dans ‘‘LA’’ démocratie ? Le vote, qui est le plus petit dénominateur commun des Républiques du monde, ne va tout de même pas devenir le plus grand diviseur du peuple sénégalais !
Après l’invalidation de la candidature de la star et leader du Mouvement «Féké macci bolé», Abdoulaye Wade cherche à faire invalider les candidatures de Macky Sall, d’Idrissa Seck et de Cheikh Tidiane Gadio, tous des fils putatifs du leader du PDS et reniés finalement. En effet, le porte-parole du candidat des Forces pour l’Alternance 2012 (FAL) l’a déclaré juste après la publication de la liste officielle des candidats à l’élection présidentielle du 26 février 2012. Il a fait savoir à l’opinion que les avocats d’Abdoulaye Wade vont déposer un recours pour l’invalidation des candidatures de Macky Sall, Idrissa Seck et de Cheikh Tidiane Gadio parce qu’ils ne seraient pas en règle avec le fisc.
Dans son dernier billet, paru sur son blog, le journaliste, Pathé Mbodj, révèle, que le président Wade n' a pas cédé au chantage de son fils dans l'affaire Samuel Sarr. Wade aurait demandé sèchement à ce que son fils parte. La crise latente de l’énergie serait une bonne porte de sortie pour Wade si, comme le pensent certaines sources, il a laissé tomber la piste Karim Wade pour ne pas soumettre le Sénégal aux mêmes risques que la Côte d’Ivoire. "Karim n'a qu'à partir" aurait répliqué sèchement Me Wade lorsqu'il fut informé du chantage de son fils rapporté par la presse du 14 août dernier ; la presse de la mi-août AFFIRME en effet que Karim Meïssa Wade se serait mis sur la balance pour exiger le départ de Samuel Sarr.
NETTALI.NET - Il n’y a aucun doute sur la volonté du Président Wade de faire d’Idrissa Seck « son » vice-président. Le retrait des termes apparemment gênants et discriminatoires du projet de loi soumis à l’approbation aveugle de ceux qui font encore office de mandataires du peuple à la représentation nationale, ne saurait nullement éclipser l’obsession de Me Wade d’assurer à ce qui reste encore de sa famille libérale, l’héritage du pouvoir. En inscrivant dans le projet de loi, l’attribution du poste de vice-président à une femme, il savait pertinemment, en bon juriste que cette disposition susciterait des vagues ...
Là où passe Me Abdoulaye Wade, la tempête déferle plus que la brise ne souffle. Après Idrissa Seck, en avril 2004, Macky Sall, le neuf de ce mois, le voilà qui marcherait maintenant sur la deuxième personnalité du pays, Pape Diop. Trop de fronts, pour un président de la République dont le pays est confronté à l’angoisse existentielle. Idrissa Seck est un adversaire potentiel pour le chef de l’Etat et du Parti démocratique sénégalais (Pds). En dépit de se réclamer du Pds, qu’il ne veut pas quitter par stratégie et obsession, l’ex-Premier ministre a déclaré, à qui veut l’entendre, qu’il est « né » pour « devenir » président de la République.
Une chose est au moins indiscutable : entre le président Abdoulaye Wade et son ancien Premier ministre Idrissa Seck, il y a bel et bien négociations pour des retrouvailles entre le père et son ex-fils putatifs. D’ailleurs, il y a quelques semaines, le journal Sud quotidien révélait que ces négociations pourraient déboucher sur la création d’un poste de vice-président de la République du Sénégal. Poste qui devrait échoir à l’ancien Premier ministre et ancien secrétaire général national adjoint du Parti démocratique sénégalais (Pds). Sud quotidien ajoutait même que l’Assemblée nationale devrait être saisie d’un projet de loi modifiant la loi fondamentale du Sénégal pour l’institution de ce poste de vice-président.
C’est une règle que ce régime s’est fixé, il lavera son honneur dans toutes les buanderies de quartier, et tant pis si ça pue la manipulation et le règlement de compte. C’est à ce prix-là que le « broker » fils de président, courtier des tribunaux, négociera son ascension suprême. C’est un peu un scénario à la Chimène, sauf que l’offensé ici est l’ami, pas le père. Mais c’est tout comme. Tout ce qui touche à Karim est à Karim, et c’est à ce prix là que Pape Malick Ndiaye doit payer de sa liberté. Plus informés que tous, les deux têtes de l’Anoci avaient annoncé pour « bientôt » le retour des commissions rogatoires et donc « l’arrestation » du jeune homme. Après « faux et usage de faux et dénonciation calomnieuse », il est question cette fois-ci de « diffusion de fausses nouvelles ».
Les “Pds de lait” : Une espèce en voie de disparition, au profit de la « Génération du concrèt »L’imbroglio politico-médiatique autour de la bataille de succession qui fait rage au sommet de l’Etat sénégalais, a inspiré notre correspondant en Amérique du Nord, Dame Babou, cet exercice de politique-fiction.En réalité, notre correspondant, très attentif au débat qui agite le landernau politique au Sénégal, comme au sein de la diaspora, restitue, ici à grand trait, les termes d’un certain débat très animé, mais pour l’instant, souterrain.Au plus fort de la crise entre le président Abdoulaye Wade et son ancien Premier ministre Idrissa Seck, un commentateur du journal Sud Quotidien prédisait que cette crise conduirait à la « défenestration » du fils putatif pour ouvrir la voie au fils biologique Karim Wade.