1m90 pour plus de 150 kilos. Ces caractéristiques dignes d’un sumotori sont celles de lutteur sénégalais des années 50 à 60 : Fodé Doussouba. Devoir de mémoire d’un champion d’un oublié du panthéon sénégalais.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
1m90 pour plus de 150 kilos. Ces caractéristiques dignes d’un sumotori sont celles de lutteur sénégalais des années 50 à 60 : Fodé Doussouba. Devoir de mémoire d’un champion d’un oublié du panthéon sénégalais.
En meeting à Ziguinchor, le candidat El Hadji Mamadou Diao a déclaré que la Casamance est une région de paradoxes avec d’immenses potentialités inexploitées.
1m90 pour plus de 150 kilos. Ces caractéristiques dignes d’un sumotori sont celles de lutteur sénégalais des années 50 à 60 : Fodé Doussouba. Devoir de mémoire d’un champion d’un oublié du panthéon sénégalais.
La section de Pikine (banlieue dakaroise) de l’association des artistes et comédiens du théâtre sénégalais (ARCOTS) organise lundi une cérémonie pour célébrer le prix international ‘’No’hma Teresa Pomodoro’’, qu’elle a remporté lors de l’exposition universelle organisée à Milan (mai-octobre 2015), annonce un communiqué reçu à l’APS.
Le formateur et encadreur de Yakhya Diop Yékini à Ndakaru n'est pas d'avis que son poulain doive ranger son ngimb à défaut d'un adversaire cette saison. Amadou Katy Diop estime que l'ancien roi des arènes peut avoir un combat la saison prochaine s'il s'arme de patience. Yékini peut continuer à lutter pendant dix ans encore.
Je commencerai tout d’abord par présenter mes excuses aux lecteurs car j’avais pris la libre option de ne plus tremper ma plume dans du vitriol pour partager avec eux, mes coups de rage et de désespoir. En lisant ce texte, vous comprendrez sûrement l’intensité de ma fureur et les raisons pour lesquels la colère est sur le point de m’étrangler. Mon ami le Professeur Massamba Guéye a publié il y a quelques semaines, un pertinent article dans lequel il écrivait avec juste raison : « Cette lutte-là n’est pas notre sport national… ». Il ne croyait certainement pas si bien dire, tant les évènements de ces derniers jours et qui ont tristement entaché la lutte sénégalaise, lui ont donné mille fois raison ! Dans la tradition sénégalaise, la lutte « làmb » a toujours été considérée comme un jeu, une distraction, un sport et un lien entre les villages et les groupes ethniques.
Ce sont peut-être les meilleurs lutteurs de ces dix dernières années qui s’affrontent ce dimanche 22 avril 2012. C’est le cas pour Yakhya Diop Yékini qui, en plus d’être désigné par les journalistes de l’Anps (Association nationale de la presse sportive) comme «Meilleur lutteur du siècle» (Cqfd), est déjà monté sur le podium du «Lion d’Or» et a reçu de nombreux trophées et décorations pour l’ensemble de sa carrière, jusque-là faite de victoires ...
La lutte sénégalaise connaît actuellement un essor indéniable. Sous sa forme actuelle qui a su inclure certains changements modernes, ce sport national vit de profondes mutations. Les champions actuels sont devenus de véritables stars et les cachets continuent de grimper à un rythme vertigineux.
Fodé Baldé connu sous le nom de Fodé Doussouba a marqué son temps vers les années 60.
Avec la victoire d’Ama Baldé de Pikine Falaye Baldé samedi sur Balla Diouf de Fass, on voit la présence des lutteurs d’origine casamançaise s’affirmer de plus en plus dans l’avenir pas très lointain de la lutte avec frappe.
L'ancien champion de lutte Mamadou Sakho dit Double Less continue de savourer la victoire de son fils Oumar Sakho alias Balla Gaye 2 sur Modou Lô de Rock Energie. Revenant sur le combat, il soutient que désormais, son fils peut porter son «ngemb». Les lendemains de combat sont toujours empreints de bonheur ou de tristesse. Il arrive qu'on se réveille avec la gueule de bois. Tout le contraire du père de Balla Gaye 2, Double Less, qui a reçu le reliquat du cachet de son fils en tant que manager. Revenant sur le combat de dimanche dernier, qui a vu son fils, Balla Gaye 2, dicter sa loi à Modou Lô, l'ancien champion confie : «Ce combat, Oumar ne devait nullement le perdre.