En marge des primaires démocrates du Nevada prévues ce mardi 6 février, le président américain Joe Biden était à Las Vegas.
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En marge des primaires démocrates du Nevada prévues ce mardi 6 février, le président américain Joe Biden était à Las Vegas.
La prison est nécessaire dans un pays. Elle permet de mettre les gens dangereux, momentanément ou d’une manière définitive, à part.
Le face-à-face presse et le président de la République ce 31 décembre 2020 a tenu toutes ses promesses.
Cette anecdote surprenante est tirée du dernier livre de l'ancien ministre sorti cette semaine. Dans son livre sorti cette semaine, "Mes regrets sont des remords", Frédéric Mitterrand est loin d'être avare en confidences. Invité ce samedi 5 novembre dans l'émission "C'est arrivé cette semaine" sur Europe 1, l'ancien ministre de la culture sous Sarkozy est revenu sur l'une des anecdotes surprenantes de son ouvrage.
L'interprète de Navarro n'est plus. "Il est mort ce matin vers 10 heures à l'hôpital Georges Pompidou à Paris d'une détresse respiratoire", a déclaré à l'AFP son ami le réalisateur Alexandre Arcady. Roger Hanin avait notamment tourné avec lui dans "Le Grand Pardon".
Une fois n'est pas coutume, Eric Zemmour est au coeur d'un nouveau clash télévisuel. Et c'est avec Mazarine Pingeot que le polémiste s'est pris le bec cette fois.
Cette nouvelle n'est pas encore à la Une des tabloïds sénégalais, mais elle est officielle. À en croire nos confrères de L'As, Mamadou Diagna Ndiaye va être élevé au grade d’Officier de la Légion d’honneur de la République française. Il fait partie de la promotion du 14 juillet. Selon nos radars élyséens, c’est le président français François Hollande himself qui lui remettra la prestigieuse décoration.
L'ancien Premier ministre français Pierre Mauroy, qui fut le premier chef d'un gouvernement socialiste (1981-1984) de la Ve République sous la présidence de François Mitterrand, est décédé à l'âge de 84 ans, a annoncé vendredi le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius.M. Fabius s'exprimait devant des journalistes à Tokyo
Ce qui est convenu d’appeler l’affaire Hissène Habré est un prolongement du poker menteur du sommet de Crète du 15 novembre 85 qui avait réuni, ce jour là, les présidents François Mitterand-Khadafi-Habré pour conclure un Accord de Paix au Nord du Tchad. A l’époque, Paris et Tripoli avaient mis à contribution l’ancien Premier ministre grec, Andréas Papandréou, Roland Dumas, Claude Cheysson et Bruno Kreisky, chancelier autrichien.
Cette "Affaire Bourgi" pose aux Africains pris d'horreur, de multiples questions d'abord sur les ressorts souterains des rapports des états indépendants depuis 1960 et leur ancienne colonie française, puis sur le temps qu'il reste encore à voir la France oeuvrer au maintien des présidents impopulaires et dictateurs, mais tout particulièrement les peuples se demandent s'il est possible qu'en intentant des procès ou provoquant des rébellions, la France changera ses rapports avec l'Afrique.
La machine à billets de la Françafrique, dénoncée récemment par l'un de ses acteurs, Robert Bourgi, a aussi fonctionné durant les années Mitterrand. L’entreprise Elf en était une pièce maîtresse.
Trente ans. Une génération. Le temps d’oublier pour beaucoup et la volonté de se souvenir pour les autres. Le 10 mai 1981 donc, la France passait à gauche, comme on passe à l’ennemi diront ceux qui jamais n’auraient cru cela possible. Et c’est François Mitterrand, un homme pétri des valeurs traditionnelles de la droite française, qui fera faire le grand saut à gauche à une France dirigée par la droite depuis des décennies.
Le Gouvernement de la République est devenu comme une officine de recyclage de responsables du Parti au pouvoir hier déchus et aujourd’hui de nouveaux promus pour avoir manifesté leur colère et rappelle ces carrousels des fêtes foraines où les mêmes personnes qui, il n’y a guère, étaient congédiées pour leur incompétence ou même leur implication dans des actes de mal gouvernance ou de prévarication tournoient inlassablement au conseil des ministres, a estimé le Bureau Politique du Parti Socialiste qui s’est réuni cet après midi.
L’intellectuel et économiste français Jacques Attali a participé dimanche au Cap-Skiring au colloque international sur ‘’investissement et développement d’une métropole régionale’’ organisé dans le cadre du festival de Ziguinchor, a-t-on appris de source informée. Lors de cette rencontre qui se tient en présence du Premier ministre, du maire de Ziguinchor, des responsables de l’Agence pour la promotion des investissements au Sénégal (APIX), etc, Jacques Attali était invité à faire une présenter générale du colloque. Il devait également présider l’atelier sur ‘’micro-finance et développement régional’’.
NETTALI.NET- En couverture de L’Express de cette semaine, une enquête qui revient sur l’ascension politique du fils du président français, Jean Sarkozy, conseiller général des Hauts-de-Seine pour le canton de Neuilly-sur-Seine-Sud. L’hebdomadaire dévoile par ailleurs comment le second fils de Nicolas Sarkozy a pris goût à la politique. Des comparaisons avec d’autres fils de… à l’appui. Morceaux choisis. Mèche blonde, look impeccable, le fils de Nicolas Sarkozy et de Marie-Dominique Culioli, sa première épouse, suit les traces de son père. A 22 ans, Jean Sarkozy, étudiant en droit à l’Université Paris 1, est passionné de culture et adepte des soirées mondaines.
Dans un commentaire intitulé « Folle sarabande sur un volcan », paru dans la dernière édition de son journal, notre confrère Mamdou Oumar Ndiaye (MON), Directeur de publication de « Le Témoin » a dénoncé l’impertinence de la bataille libéralo-libérale que certains membres de l’entourage du Président Wade mènent contre Macky Sall, « au moment où les populations des banlieues pataugent dans les eaux et vivent dans les excréments refoulés par fosses septiques », désarmées face aux moustiques et aux maladies diarrhéiques, alors que le Trésor public est en quasi-banqueroute.
Nous aurons un vote à poing dressé, mais nous aurons quand même un vote. Maître Abdoulaye Wade est resté fidèle à sa mystique politique, il ne se reniera pas. Son entêtement lui aura finalement coûté un mandat qui devait être celui du rachat, et il va causer l’effondrement de notre système démocratique. Malgré les informations peu rassurantes qui nous parvenaient, nous pensions que l’homme descendrait de son piédestal officiel, pour refiler les habits du médiateur conciliant. C’était peine perdue. Il est aussi napoléonien que ceux de son époque, et il finira son mandat avec la même arrogance obsessionnelle, jusqu’à couper les jarrets à son opposition.
Lorsqu'un homme, un ‘illustre’ de surcroît meurt, il y a un certain humanisme qui veut que les témoins ferment les yeux sur certains aspects négatifs de son image. Mais, ‘on n'oublie jamais rien, on vit avec’. Et Amina Ndiaye Leclerc, fille de l'ancien ministre, Valdiodio Ndiaye, emprisonné par Senghor de 1962 à 1974, semble refléter cet ‘adage’, à travers une exposition qu'elle tient à la maison de la Culture Douta Seck depuis le 22 décembre 2006 et ce jusqu'au 7 janvier 2007. Dans l'entretien qui suit, Amina Ndiaye Leclerc revient sur le drame vécu durant son enfance avec le séjour carcéral de son père à Kédougou. La fille de Valdiodio Ndiaye révèle qu'elle ne peut rendre hommage à Senghor, dont on célèbre le centenaire de la naissance. Mais que ‘sans hargne, ni haine’,
Le livre d’Abdou Latif Coulibaly, « Sénégal : une démocratie prise en otage par ses élites... » n’en finit pas de faire couler de la salive et de l’encre. Mais cette fois, c’est le journaliste Abdou Latif Coulibaly qui monte au créneau, dans l’émission radio en ligne de Seneweb, animée par Souleymane Jules Diop, pour démentir le leader de l’Union pour le Renouveau démocratique (Urd). Ce dernier avait déclaré que c’est le Président de la République qui a inspiré son livre, « Un petit berger au service de la République ». Pour le journaliste, « c’est un mensonge ».
Considéré à tort ou à raison comme l’éminence grise de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd), Modou Amar, puisque c’est de lui qu’il s’agit, n’y va pas de main morte, dans cet entretien qu’il nous a accordé, pour dire les choses comme il les perçoit. Depuis l’entrée de son parti dans le gouvernement de Wade, lui et ses camarades, anciens plus grands pourfendeurs de ce régime, en sont devenus le principal bouclier. Une attitude que l’ex-socialiste explique par le départ des « thiounés » (incapables) qui incarnaient les 3 précédents gouvernements avant celui de Macky Sall. Sur le courant initié dans son ex-parti, le Ps, le N°2 des Rénovateurs déclare suivre l’entreprise avec beaucoup de sympathie, parce que pense-t-il, c’est pour les mêmes raisons que lui et ses camarades avaient quitté le Ps.