Ousmane Sonko a poursuivi son discours d'avertissement, s'adressant à ses militants sur les dangers des manipulations politiques et de la démagogie.
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Ousmane Sonko a poursuivi son discours d'avertissement, s'adressant à ses militants sur les dangers des manipulations politiques et de la démagogie.
Le parti PASTEF–Les Patriotes a été fondé en janvier 2014 par de jeunes cadres de l’administration publique sénégalaise, du secteur privé, des professions libérales, des milieux enseignants et des hommes d’affaires qui, pour la plupart, n’ont jamais fait de la politique.
La colère est la chose la mieux partagée au Sénégal, aujourd’hui.
Cette malicieuse réflexion faisait rire à l'époque mais semble faire sens de nos jours au regard des phénomènes politiques pour le moins curieux qui se déroulent sous nos
Il y a un peu plus d’un an, le Sénégal était le théâtre de manifestations sanglantes qui ont causé quatorze victimes. Depuis ces journées tragiques, le Président Macky Sall tente de reconquérir la jeunesse avec plusieurs programmes et initiatives.
Le confinement est-il possible en Afrique ? Face à la pandémie de Covid-19, plusieurs pays ont décidé d’y avoir recours
La chute des prix du pétrole au début de son magistère, la question du terrorisme avec Boko Haram, entre autres points sont passés à la loupe par un universitaire sénégalais, Alioune Ndiaye, enseignant à l’université de Sherbrooke au Québec (Canada). Dans un texte parvenu à Seneweb, l’ancien étudiant à l’institut universitaire des Hautes études de Genève dresse un premier bilan, un an après l’arrivée au pouvoir du président nigérian, Mouhammadu Buhari.
Le Témoin – Farba Ngom a crevé l’écran (au sens propre comme au figuré) ce week-end. Nulle part dans le Fouta, ni dans aucune région du Sénégal, du reste, un acteur politique aura dépensé autant d’argent pour l’organisation d’un meeting politique que ce qu’a fait ce week-end le laudateur en chef.
Une certaine presse fait état de lobbies qui s’activeraient pour contraindre le président de la République à mettre purement et simplement un terme à la traque des biens dits mal acquis. Même si cette affaire ne relevait que de sa seule volonté, je ne crois pas qu’il soit prêt à risquer un nouveau « Mouvement du 23 juin », à se discréditer et à discréditer nos institutions.
C’est un document auquel il faut apposer l’enseigne : «Interdit aux moins de 18 ans, ou défense d’y jeter un coup d’œil pour les âmes sensibles.» L’Anthropologie de la sexualité : philosophie, culture et construction sociale du sexe au Sénégal, thèse d’Etat du socio-anthropologue Cheikh Ibrahima Niang, offre un décryptage des us et coutumes d’une société sénégalaise fort érotique.
Alors que des voix s’élevaient au Sénégal pour mettre en garde contre les risques de contagion du syndrome tunisien, les théoriciens du pouvoir et certains analystes indépendants ont trouvé que l’existence de libertés plaçait notre pays en dehors du périmètre à risques. En Tunisie, en Egypte, et présentement en Libye et dans d’autres pays arabes où le phénomène présente pour le moment moins d’ampleur et moins d’intensité, les populations, plus qu’une simple formulation de revendications de liberté, ont exprimé leur ferme détermination à accéder à un mieux-être se traduisant par une pleine jouissance des libertés citoyennes fondamentales, certes, mais aussi par une existence moins affectée par la misère économique et sociale provoquée ou accentuée par la mauvaise gouvernance, une existence davantage conforme à la dignité humaine.
Le préfet de Dakar répondra-t-il devant le Conseil d’Etat de son refus d’autoriser la marche contre les coupures d’électricité et l’inaction du gouvernement face aux inondations ? Le Casc entend, en tout cas porter plainte contre lui pour abus de pouvoir. Le Cadre de concertation et d’action de la société civile (Casc) ne veut pas se laisser faire. Après l’interdiction de sa marche par le préfet de Dakar, ce mouvement qui regroupe des organisations de la société civile,
La société civile organise une semaine nationale de protestation contre les inondations, les délestages, la discrimination dans la distribution des semences et contre le harcèlement du journaliste Latif Coulibaly. Cette semaine débutera le 31 juillet à Dakar par une marche contre les délestages et se terminera le 7 août à Kaolack par une manifestation contre l’absence de politique agricole. Après la marche, aujourd’hui, des intellectuels du Sénégal contre les délestages, les organisations de la société civile vont, à leur tour, battre le macadam au niveau national pour montrer leur courroux face aux délestages et aux inondations.
Contraint de quitter son propre pays, la Côte d’Ivoire, pour ses prises de positions politiques, Tiken Jah Fakoly voit son espace africain se rétrécire à la faveur d’un « arrêté d’interdiction d’entrée et de sortir du territoire sénégalais » pris par le ministre de l’Intérieur, Ousmane Ngom. Ainsi, le reggaeman ivoirien est déclaré « personne non grata ». Son « crime » : avoir demandé au président Abdoulaye Wade de « quitter le pouvoir (s’il) aime son pays », et d’avoir fait comprendre au chef de l’Etat sénégalais que « s’il ne voulait pas que son fils Karim soit attrait à la barre de l’Assemblée nationale, il (Abdoulaye Wade) n’avait qu’à le laisser au berceau ». Des propos assimilés à des « déclarations fracassantes, insolentes et discourtoises » par le ministre de l’intérieur.
S’il y a eu un élément qui a été hier profitable aux manifestants, c’est bien les failles notées dans l’intervention des forces de police, qui ont plus constaté les dégâts, que rétabli l’ordre. En effet, les renseignements généraux, si prompts à éventer les manifestations avant même qu’elles ne s’emballent, ont été pris de court par les marchands ambulants. Les forces de police ont été hier déroutées par l’ampleur et la spontanéité des manifestations initiées par les marchands ambulants. Même si un important dispositif a été déployé sur le terrain, force est de reconnaître que les éléments du Groupement mobile d’intervention (Gmi) ont été dépassés par les événements à cause de la multiplication des foyers de tension.
Le festival « Banlieue rythme » clôturé dimanche soir a révélé toute la vitalité du rap et de la culture hip-hop, devenue la deuxième musique la plus écoutée après le « mbalax » au Sénégal. D’origine américaine, le hip-hop a trouvé un style particulier au « pays de la Téranga » influencé par des groupes fondateurs comme Positive Black Soul, Daara J ou Pee Froiss qui ont essaimé en plus de 4000 formations aujourd’hui. Coup d’œil sur ce phénomène de société sans précédent. C’est dans le Bronx de la ville de New York qu’apparaît en 1975 le premier groupe de rap, « Zulu Nation ». Préférant la musique à la violence de la rue, les membres fondateurs parlent du mal-être dans le Bronx, de leurs aspirations et de leurs rêves et notamment celui de l’Afrique.
La mondialisation a fondamentalement bouleversé l’évolution de l’humanité, telle que nous l’avons, jusque-là, connue, depuis, notamment, la fin de la 2ème guerre mondiale. Un monde nouveau est en gestation, dans un environnement marqué par des mutations de toute nature, qui affectent les divers compartiments de la société. L’Afrique n’échappe pas à cette règle: Au milieu d’une remise en cause profonde des valeurs, des idéologies, des certitudes et des attentes, elle cherche difficilement sa voie, au moment où, le contexte de compétition implacable qui se met en place, jour après jour, n’autorise aucune erreur dans les choix politiques, économiques, sociaux et culturels devant gouverner le présent et le futur des nations.