Hydrocarbures, SAR et Senelec : Les vives préoccupations des Députés sur l’energie
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Hydrocarbures, SAR et Senelec : Les vives préoccupations des Députés sur l’energie
Acquisition de produits pétroliers et gaziers : l’Arcop dit «stop» à Petrosen Trading & Services
Maitre Jamal Taleb, avocat et conseil de la République islamique de Mauritanie dans les dossiers énergétiques, a livré une mise au point ferme sur le projet gazier Grand Tortue Ahmeyim (GTA).
Journée mondiale de la pêche à Saint-Louis : les acteurs rappellent à l’État ses engagements
Le parti Sociaux démocrates du Sénégal (SDS) et son secrétaire général, Dr Mamadou Lamine Manga, face à la presse, demandent au gouvernement de faire preuve d'écoute et de souplesse, et de garantir les libertés individuelles et collectives des citoyens.
C’est une manipulation politique. Ce n’est pas un scandale économique
Malgré les nombreuses rencontres avec les autorités chargées de l’électricité, le collectif Nio Lank maintient sa mobilisation du vendredi 17 octobre à Dakar.
Le 10 octobre 2025, l'agence de notation Moody's a abaissé la note souveraine du Sénégal de B3 à Caa1 (perspective négative), invoquant des "risques croissants pour la trajectoire budgétaire" et une "position de liquidité affaiblie".
Selon les dernières données de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, le Produit intérieur brut du Sénégal au premier trimestre 2025 s’établit à 4 206,32 milliards de F CFA. Ce niveau illustre la vigueur de l’activité économique dans un contexte inédit, marqué par les premiers effets de l’exploitation pétrolière et gazière.
«C’est le temps pour vous de jouer le jeu décisif. Et dans vos choix les plus éclairés, portez le regard vers le Sénégal.» Telle a été, ce mercredi, l’invite forte du président Bassirou Diomaye Faye aux chefs d’entreprises de France.
L’économie sénégalaise devrait connaitre une croissance notable en 2025, avec un taux de progression du PIB réel estimé à 8 %, selon les dernières prévisions de la Direction générale de la Planification et des Politiques économiques (DPEE). Ce rebond fait suite à une croissance de 6,1 % en 2024.
L’économie sénégalaise devrait connaitre une croissance notable en 2025, avec un taux de progression du PIB réel estimé à 8 %, selon les dernières prévisions de la Direction générale de la Planification et des Politiques économiques (DPEE). Ce rebond fait suite à une croissance de 6,1 % en 2024.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a annoncé ce samedi à Istanbul, lors de l’ouverture d’un Forum d’affaires entre le Sénégal et la Turquie, la tenue prochaine d’une séance de partage du Plan de redressement économique et social (PRES)...
Si la subvention à l’énergie saute, comme susurré ces derniers jours, il sera quasi impossible de payer moins cher l’énergie sans mesures fortes, durables.
Le plan de redressement économique et social apporte bien de la nouveauté, comparé aux précédents ; les leviers d’action sont aussi clairement identifiés.
Lors d’une présentation théâtrale au Grand Théâtre national, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé son plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », devant un public acquis et sous le regard du président Bassirou Diomaye Faye. Mais pour Ibrahima Thiam, président du parti Action pour la Citoyenneté et les Transformations (ACT), ce plan n’est qu’un « récit politique » dénué d’ancrage dans les réalités économiques du Sénégal. Dans une tribune au vitriol, Thiam dénonce une approche marquée par une fiscalité agressive, un souverainisme déconnecté et une absence de solutions concrètes pour sortir le pays de la crise. Voici une analyse fidèle de sa critique, ponctuée d’extraits de son texte.
Dans son édition de ce lundi, Le Soleil pointe le «business autour de la gratuité de la césarienne» dans les structures de santé publiques.
Le rapport de production pour juin 2025 met en lumière les performances des champs pétroliers et gaziers de Sangomar et Grand Tortue Ahmeyim (GTA)
Alors que plusieurs pays africains ont opté pour la création de fonds souverains – outils censés stabiliser leurs économies, lisser les revenus volatils ou investir dans des projets d’avenir – le Sénégal, pourtant engagé dans une dynamique extractive avec l’arrivée imminente des premiers revenus pétro-gaziers, ne dispose toujours pas d’un tel instrument. Cette absence interroge à l’heure où les débats sur la gestion stratégique des excédents budgétaires, des ressources naturelles et des capacités d’investissement à long terme s’intensifient sur le continent.
Dans un monde marqué par la reconfiguration des flux économiques, les partenaires commerciaux du Sénégal reflètent autant ses choix stratégiques que ses dépendances structurelles.