Un gendarme ivoirien a été tué lundi par "des tirs d’arme à feu" lors d'une patrouille de sécurisation dans le sud du pays, une région en proie à des manifestations et blocages ponctuels de l'opposition, à cinq jours de l'élection présidentielle.
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Un gendarme ivoirien a été tué lundi par "des tirs d’arme à feu" lors d'une patrouille de sécurisation dans le sud du pays, une région en proie à des manifestations et blocages ponctuels de l'opposition, à cinq jours de l'élection présidentielle.
Les principaux partis d'opposition en Côte d'Ivoire ainsi que des organisations de la société civile ont dénoncé samedi l'interdiction et la répression de manifestations dans le pays...
Le gouvernement ivoirien a interdit vendredi soir pour une durée de deux mois toute manifestation ou meeting "des partis ou groupements politiques", à l'exception de ceux des cinq candidats qualifiés à l'élection présidentielle du 25 octobre.
Vingt-six personnes ont été condamnées jeudi à 36 mois de prison ferme en Côte d'Ivoire, notamment pour "troubles à l'ordre public", accusées d'avoir participé à des manifestations interdites, a appris l'AFP vendredi auprès de deux avocats, dont l'un est membre du principal parti d'opposition.
"C'est le tour d'une nouvelle génération", a déclaré jeudi à l'AFP le candidat à la présidentielle ivoirienne Jean-Louis Billon, un dissident de la principale formation d'opposition, le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), en marge d'un meeting à Dabou (sud).
Un homme a été tué par balle par des "individus non identifiés", lundi dans le sud de la Côte d'Ivoire, lors d'une manifestation contre un quatrième mandat du chef de l'Etat Alassane Ouattara, à moins de deux semaines de la présidentielle, a annoncé mardi la police.
En Côte d’Ivoire, une manifestation de l’opposition, interdite vendredi dernier pour « maintenir l’ordre public », a été dispersée samedi à coups de gaz lacrymogène à Abidjan. Plus de 200 personnes ont été arrêtées.
Les deux principaux partis d'opposition en Côte d'Ivoire ont appelé dimanche à manifester "tous les jours", pour réclamer notamment un dialogue politique, à moins de deux semaines de l'élection présidentielle de laquelle leurs candidats sont exclus.
Une manifestation des partis de l'opposition ivoirienne, interdite vendredi pour "maintenir l'ordre public", a été dispersée samedi à coup de gaz lacrymogène par les forces de l'ordre à Abidjan, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Charles Blé Goudé, ex-ministre de la Jeunesse et fondateur du COJEP, a officiellement apporté son soutien à Simone Ehivet Gbagbo, ancienne Première dame et candidate à la présidence.
Alors qu’il présidait la cérémonie d’investiture des membres de sa direction de campagne le jeudi 02 octobre dernier, le président ivoirien Alassane Ouattara a déclaré qu’il lancerait sa campagne le samedi prochain à Daloa. Cette localité du centre-ouest, tout comme Soubré et Gagnoa, se trouve en pays bété. Elle n’est particulièrement pas favorable à Alassane Ouattara.
Deux cadres de la formation de l'ex-président ivoirien désormais opposant, Laurent Gbagbo, ont été arrêtés et inculpés mardi, notamment pour "appel à l'insurrection", à moins d'un mois de l'élection présidentielle, a-t-on appris auprès de leur avocate et du parti.
Ce n’est certainement pas une bonne nouvelle pour les fans du chanteur malien Sidiki Diabaté. Le concert de l’artiste prévu pour le samedi 18 octobre 2025 au stade Félix Houphouët Boigny d’Abidjan a été annulé.
Le Burkina Faso, le Mali et le Niger annoncent leur retrait de la Cour pénale internationale
« Ton seul combat c’est ton ventre et ta poche »
Côte d’Ivoire : Simone Ehivet Gbagbo descend en flammes Robert Bourgi après...
C’est un fait.
C’est un fait. Celle qu’on appelle aujourd’hui Simone Ehivet a été l’épouse de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo. Aujourd’hui, le couple n’est plus marié, mais chacun poursuit son aventure politique de son côté. Ils sont tous deux candidats à la Présidentielle d’octobre 2025, mais seule Simone sera dans les starting blocks, la candidature de Laurent Gbagbo ayant été rejetée par le Conseil constitutionnel.
En août dernier, Robert Bourgi avait supplié le président ivoirien Alassane Ouattara de laisser « tout le monde » concourir à la Présidentielle du mois prochain
Côte d'Ivoire : Le PPA-CI demande le retrait de la mention « épouse Gbagbo » pour Simone Ehivet sur les documents électoraux