La fille du général Djibril Bassolé, pilier du régime déchu de l'ex-président Blaise Compaoré, a été libérée lundi soir, plus d'un an après son enlèvement à Ouagadougou par des hommes encagoulés, ont indiqué mardi des proches à l'AFP.
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La fille du général Djibril Bassolé, pilier du régime déchu de l'ex-président Blaise Compaoré, a été libérée lundi soir, plus d'un an après son enlèvement à Ouagadougou par des hommes encagoulés, ont indiqué mardi des proches à l'AFP.
Le régime militaire du Burkina Faso a décrété le gel pour six mois renouvelables des avoirs de plus de 100 personnes, dont l'ex-président Paul-Henri Sandaogo Damiba, et de deux groupes jihadistes, pour "financement du terrorisme", selon un arrêté transmis jeudi à l'AFP.
Plusieurs personnes ont été enlevées ou sont portées disparues ces derniers jours à Ouagadougou, notamment des proches de l'ancien chef de la diplomatie Djibril Bassolé, rallongeant la longue liste de victimes de disparition forcée de voix considérées hostiles à la junte au pouvoir.
Professeur émérite et jurisconsulte réputé, le doyen Ibrahima Fall a...
Au Burkina Faso, le tribunal militaire de Ouagadougou a rendu son verdict, ce lundi 2 septembre, dans le procès du coup d'État manqué de 2015.
Putsch manqué au Burkina: Diendéré et Bassolé condamnés à 20 et 10 ans de prison
Au Burkina Faso, c’est en principe ce lundi 2 septembre que le tribunal militaire de Ouagadougou annoncera son verdict dans le cadre du procès du coup d’État manqué de septembre 2015.
La justice burkinabè a lancé un mandat d’arrêt international contre Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale ivoirienne, selon le correspondant de la BBC
« Les autorités de transition du Burkina Faso doivent veiller à ce que toutes les violations des droits humains commises par les forces de sécurité, notamment les crimes relevant du droit international, fassent l’objet d’enquêtes indépendantes et impartiales menées par une commission élargie », a déclaré Alioune Tine, directeur régional d’Amnesty International de l’Afrique de l’Ouest et du centre, dans un communiqué transmis à Seneweb. Amnesty International pense que ceci constitue « une condition pour que le pays s’engage clairement à la rupture avec son passé et énonce sans détour que de telles violences ne seront pas tolérées à l’avenir ».
Le général Gilbert Diendéré a été inculpé pour « attentat à la sureté de l’état ». Entendus par un juge d’instruction ce mardi dans le cadre de l’enquête sur le putsch de l’ex-régiment de sécurité présidentielle, les deux généraux, Gilbert Diendéré et Djibrill Bassolé, ex-ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, sont poursuivis pour onze chefs d’accusation.
Le Général Gilbert Diendéré serait à l’origine de la résistance notée dans le processus de désarmement initié par les forces loyalistes, indique un communiqué officiel publié ce lundi sur le site du gouvernement burkinabé.
Le premier ministre a annoncé la création d'une commission d'enquête à la suite de la tentative de coup d'Etat tandis que le procureur général a procédé au gel des avoirs des putschistes et complices présumés du coup. Le Régiment de Sécurité Présidentielle (RSP) mené par le général Gilbert Diendéré à l'origine du putsch, est visé par une série de sanctions.
Le désarmement du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), l'unité d'élite auteur du coup d'Etat du 17 septembre au Burkina Faso, dissoute par le gouvernement, causait samedi incertitudes et tension à Ouagadougou.
Des manifestants ont été dispersés par des tirs de sommation aux abords du palais présidentiel, mercredi 16 septembre. La confusion régnait mercredi 16 juillet au soir à Ouagadougou. Des tirs ont été entendus dans plusieurs parties de la capitale burkinabée. Ceux-ci ont tout d’abord retenti aux abords du palais présidentiel avant de s’étendre à d’autres quartiers de la ville.
Journaliste et chercheur en sciences politiques, Barka Bâ décrypte dans cet entretien les enjeux du bras de fer qui oppose l'opposition burkinabé au président Blaise Compaoré après sa décision de faire modifier l'article 37 de la Constitution qui organise la limitation des mandats. Pour le directeur de TFM Infos, le départ ou le maintien au pouvoir du chef de l'Etat burkinabé aura des conséquences dans toute l'Afrique de l'Ouest.
La date du 11 janvier 2013 restera à jamais gravée dans les annales de l’histoire du pays qui revient Servalde très loin, grâce à la communauté internationale avec la France en première ligne
Pour la première fois depuis plus de quatre mois qu`ils occupent le nord du Mali, les islamistes liés à Al-Qaïda ont amputé la main d`un voleur d'Ansongo, trois jours après en avoir été empêchés par des habitants de la grande ville proche de Gao. l'amputation s`est produite mercredi devant des dizaines de personnes sur une place publique de la localité d`Ansongo, localité située au sud de la grande ville du nord-est du Mali, Gao, a appris jeudi l`AFP auprès d'un élu et d`un chef islamiste local qui a prévenu que d`autres amputations auraient lieu bientôt.
« J’ai décidé de vous remettre ma lettre de démission que vous allez remettre aux autorités compétentes, pour permettre l’exercice plein et entier de la disposition de notre article 36 ». Ainsi s’exprime Amadou Toumani Touré qui, en ce début du mois d’avril 2012, quitte la scène politique de son pays sur laquelle il avait fait irruption, un mois de mars 1991, en destituant un autre Général, en l’occurrence, Moussa Traoré. Mais à qui ATT remet sa démission ? Aux neuf sages de la Courconstitutionnelle du Mali ? Non. L’ancien Président du Mali place sort et son destin dans les mains d’un Colonel de gendarmerie devenu le ministre des Affaires Etrangères le plus célèbre d’Afrique de l’Ouest : Djibril Bassolé. Une mélange de Metternich et de Kissinger. Il est au service de Blaise Compaoré qui en a fait un Proconsul dans le Mali en lambeaux, comme jadis, le Général Mc Arthur dans Pacifique.
Le 31 décembre 2011, le Président de la république a lu un message à la nation et…à la rébellion, une épine trentenaire dans le pied du pays. La démarche serait au-dessus de toute critique, si le chapitre consacré au Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) ne contenait pas une imprudence stratégique dont les rédacteurs (mal avisés) du discours, n’ont pas su déceler la portée foncièrement funeste.
Le Conseil des Ministres s’est réuni le jeudi 11 décembre 2008, à partir de 10 heures, au Palais de la République, sous la présidence de Son Excellence Maître Abdoulaye WADE, Président de la République. Dans sa communication au Conseil, le Chef de l’Etat a informé avoir reçu en audience : Mme Françoise BARRE-SINOUSSI, Prix Nobel de Médecine 2008 ; le Ministre Iranien de l’Industrie et des Mines, en compagnie de Maître Ousmane NGOM, Ministre d’Etat, Ministre de l’Industrie et des Mines ;