[Communiqué] : Suspension des cours à l’UCAD
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
[Communiqué] : Suspension des cours à l’UCAD
Les étudiants de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) sortent de leur silence pour exiger le rétablissement immédiat de leurs instances décisionnelles, dissoutes depuis le 27 novembre 2024.
La conférence des amicales d'étudiants de l'Université Iba Der Thiam de Thiès (UIDT-T) ont manifesté leur solidarité totale envers leurs camarades de l'Université Assane Seck de Ziguinchor, qui font face à une «décision perçue comme injuste et répressive».
Des centaines de milliers de personnes vont défiler dans les rues mardi contre la réforme des retraites à l'appel des organisations syndicales.
Paix et sécurité effectives dans les Universités sénégalaises
Il a été un acteur omniprésent de la Ve République que ce soit dans la lumière des ministères ou dans l’ombre des coulisses qu’il savait mieux que personne rendre agissantes. Charles Pasqua est mort ce lundi 29 juin 2015 à l'âge de 88 ans des suites d'un accident cardiaque, après une carrière politique de plus d’un demi-siècle à laquelle il avait mis un terme en 2011.
L'interview du sociologue Hadiya TANDIAN, parue dans les éditions de Sud Quotidien du 7 et 11 mars, sur la recrudescence de la violence dans la société sénégalaise actuelle suscite ma réaction que je vous livre ci-après. Si votre constat de l'existence d'une plus grande violence dans notre tissu social est admis, il n'en demeure pas moins que l'analyse livrée par Hadiya TANDIAN est, somme toute réductrice, donc incapable de fournir des éléments de compréhension de cette violence dans notre société. D'abord, quand il parle de violence, il réduit le conflit à sa seule dimension négative dans la mesure où la violence, née du conflit, exprime l'impossibilité, au moins pour les deux parties engagées, de trouver un accord. La violence est, dans une telle perspective, destructrice à la fois dans le présent et dans l'avenir. Dés lors, la question qui devrait être posée est comment passer de la violence destructrice au conflit constructif ?