De l'ambiance, il y en a au marché Hlm 5 de Dakar, qui vit depuis quelques jours au rythme des préparatifs de la Tabaski prévue mercredi prochain.
il y a 4 ans
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De l'ambiance, il y en a au marché Hlm 5 de Dakar, qui vit depuis quelques jours au rythme des préparatifs de la Tabaski prévue mercredi prochain.
les mini-jupes, bas, pantalons serrés, décolletés, bustiers etc., ont cédé, depuis quelques jours, la place aux tenues traditionnelles
Les pantalons archi-serrés sont en tête du classement des vêtements et accessoires de mode dangereux pour notre dos, derrière les gros sacs ou encore les hauts talons. Ces jeans skinny ont en effet pour conséquence de réduire l’amplitude des mouvements des hanches et des genoux avec, à la clé, un risque de déséquilibrer la posture.
Le Parti socialiste est très surveillé dans ses activités et ses positions stratégiques. Son porte-parole n’en est pas moins conscient. Abdoulaye Wilane parle dans cet entretien de la candidature socialiste à la prochaine Présidentielle, du projet de réforme de la Constitution et surtout de la nouvelle posture de son Secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng.
Il est facilement identifiable grâce à sa cravate nouée comme un nœud papillon. C’est sa création et sa touche personnelle. Djo Balard, roi de la Sape depuis les années 1980, est actuellement à Dakar pour ouvrir une boutique de mode. Ses inconditionnels pourront y trouver ses modèles. Avec EnQuête, il a accepté dans cet entretien de parler de ce qu’il sait le mieux faire, la sape sous toutes ses formes et coutures.
Le port du voile est devenu, de nos jours, un effet de mode pour beaucoup de jeunes filles. En effet, quand certaines se voilent pour se conformer aux prescriptions de l’Islam, d’autres le font essentiellement pour des raisons purement esthétiques.
Pour gagner honnêtement leur vie, des jeunes femmes se retrouvent dans des espaces publics à la recherche d’un emploi de domestique. Malheureusement, leur chemin est souvent parsemé d’embûches. Harcèlement sexuel, jalousie ou méfiance des employeuses, maltraitance, etc., tout peut leur arriver une fois recrutées dans les maisons.
La veille de la fête de Korité, les préparatifs vont bon train. Et un élément majeur que tous les musulmans du pays ont à l’esprit, c’est leur tenue de fête. Quel tissu ? Quelle couleur ? Quelle coupe ? Et peut-être avant tout, à quel prix ? Les Sénégalais font leurs choix.
C’est depuis sa résidence de Keur Nganda que le Khalife général des Mourides, Serigne Sidy Mokhtar Mbacke, a tenu à rappeler tout l’intérêt qu’il porte au respect des principes sacrosaints sur lesquels repose le fonctionnement de la ville sainte de Touba. Pour ce, il a convoqué d’urgence Serigne Modou Lô Ngabou, président de l’association des petits-fils de Serigne Touba, le « Safinatoul Amann ».
De l'avis de Max Mbargane, directeur technique de l’écurie Lansar, l'adversaire de Modou Lo a gagné en muscle, mais ce n'est pas pour autant qu'il faudrait dire qu'il a pris du poids. Dans les colonnes de L'Obs, il s'explique : « Eumeu Sène n’a pas pris de poids, il a juste fait de la musculation. C’est la raison pour laquelle ses muscles étaient visibles lorsqu’il a porté des habits serrés. Il faut dire qu’il s’est bien entraîné et il est prêt physiquement.
Pendant un mois, il était difficile pour ne pas dire impossible de voir une femme Sénégalaise s’habiller indécemment. Chacune d’elles, fournissaient de très grands efforts pour couvrir le corps comme le préconise l’islam. Mais malheureusement, comme dit l’adage « chasser le naturel il revient au galop ».
Encore le pinw, ce nouvel accoutrement masculin qui donne des allures de femmes ! Le marabout Mame Thierno Birahim Mbacké, frère cadet de Serigne Modou Kara, s’en est véhément pris au pinw, entre autres fléaux menaçant les jeunes sénégalais, lors de la célébration du Laylatoul khadri. Selon le journal La Tribune de ce mardi, le célèbre marabout a déclaré ne vouloir « plus voir d’hommes porter de pinw »
Qui n'a pas encore rencontré, en marchant dans les rues de Dakar, un de ces pantalons super-cintrés, se déhanchant sans complexe croyant ne pas attirer l'attention ? C'est juste à croire que les adeptes de cette nouvelle mode ne sont nullement choqués par ce phénomène galoppant.
A Sandaga, marché situé au centre-ville de Dakar, et aux allées du Centenaire, un marché chinois niché en plein cœur de la capitale sénégalaise, certains commerçants et marchands ambulants interrogés par l'APS comptent faire fi du Ramadan en renouvelant les tendances de cet été pour satisfaire leur clientèle féminine.
L’été ou la saison des pluies est la période de la chaleur. Au Sénégal, les jeunes gens changent leurs garde-robes pour se conformer au temps qu’il fait. Les couleurs vives, les habits courts et légers s’invitent sur la scène publique.
La prostitution semble trouver dans la Petite Côte un terrain de prédilection, ceci du fait du tourisme et de la pêche. Les travailleuses du sexe, c'est le nom qu'on donne maintenant aux prostituées, font légion. On distingue les professionnelles qui se font examiner régulièrement et celles-là qui se prostituent dans la clandestinité, une concurrence déloyale, qui ne fait pas l'affaire des « legal whores ». Incursion dans l'univers bien singulier du commerce de la Chair...
Qui dit soirée sénégalaise, dit forcément tenues traditionnelles. Du moins jusqu’à un certain temps pas lointain, c’était cela la règle. Car c’est cela qui faisait, jadis, la particularité de ces soirées. L’habillement dans ce genre de rendez-vous, c’était les «Taille-basses», les «Grands-boubous», les «Abaya», etc. Avec des couleurs diversifiées. Mais voilà que, depuis peu, ces tenues ont tendance à disparaître du décor des soirées sénégalaises pour faire place aux habits modernes, qu’on avait tendance à voir dans les soirées discothèques.
Un nouveau genre de mecs devient plus qu'un phénomène de mode au Sénégal. C'est un fait de société. Du jean slim (niapp) aux chemises aux couleurs assez féminines en passant par les fringues extravagantes, les Sénégalais sont maintenant de véritables metrosexuels.
J’ai toujours souffert en silence dans le secret de mon cœur meurtri, sans jamais oser crier ma rage et mon désespoir, de voir tous les jours, des femmes qui ont l’âge de mon épouse, de ma nièce ou de ma fille, déambuler presque nues, dans les rues et lieux publics de mon pays, sans qu’aucune force visible ou invisible ne puisse arrêter cette indécente exhibition de leur corps, ce trésor inestimable et sacré dont la nature les a gratifiées!
L’habillement équivoque : la mode «Weezy man» ou super slim fit popularisée par Lil Wayne est en train de transformer dangereusement la silhouette des jeunes sénégalais. Pour dire que ce ne sont plus les jeunes filles seulement qui moulent leurs formes dans des pantalons «slim» et taille basse et les lunettes «Ray Ban». Même si les avis sont partagés sur cette forme d'habillement, les jeunes élégants dakarois, eux, apprécient cette tendance. Une situation qui fait l'affaire des vendeurs de vêtement masculins.
