Xi Jinping effectue actuellement une visite au Tibet, la première d'un président chinois sur le toit du monde depuis 31 ans, ont annoncé les médias officiels...
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Xi Jinping effectue actuellement une visite au Tibet, la première d'un président chinois sur le toit du monde depuis 31 ans, ont annoncé les médias officiels...
Au terme de plus de douze heures de débats et d'un marathon de négociations de dernière minute, le Parlement a en effet clairement rejeté, dans la nuit du 9 au 10 janvier, le cabinet proposé par Ennahdha, par 134 voix sur 219.
Divers sujets allant de la politique aux faits de société en passant par l’économie sont au menu de la livraison de mercredi de la presse quotidienne. Les quotidiens évoquent ainsi les réglages au sein de l’opposition et du parti au pouvoir en vue de la présidentielle de février 2019. Ils traitent également de la question de la gestion des ressources naturelles. Enquête ouvre sur la "bataille pour le contrôle de Dakar" au sein du parti au pouvoir, à savoir l’Alliance pour la République (APR), en affichant en première page les responsables les plus en vue dans la capitale : Amadou Bâ, Abdoulaye Diouf Sarr, Mame Mbaye Niang et Seydou Guèye.
Parmi les motifs d’inquiétude pour le ministère de l’Intérieur, l’université de Dakar, en proie à des grèves interminables.
Le patron de la Ligue sénégalaise des droits humains se plaind des conditions de vie des Sénégalais qui n’ont pas été très gaies dernières semaines. « Nous avons noté des cas d’agression à Dakar, nous avons également recensé des attaques en Casamance avec près de cinq morts, la dernière c’est à Kafountine. Il y a eu des cas de suicide, des immolations et pendaison par voie de corde. Nous avons aussi été saisis de cas de disparition en mer », a listé le défenseur des droits de l’homme.
Triste comme une tentative d’immolation devant les grilles du Palais de la République. Triste aussi comme l’absence de réaction du maître des lieux ou de ses tonitruants communicants, prompts à s’exprimer sur tout, excepté sur ce drame qui a secoué tout un pays, lundi dernier. Cheikh Mbaye n’a pas tenté de mettre fin à ses jours, Cheikh Mbaye n’a jamais été si proche du Président Macky Sall, locataire du Palais ; Cheikh Mbaye, auteur de la tentative d’immolation par le feu devant le Palais de la République, n’a donc pas succombé à ses blessures. C’est du moins l’interprétation que l’on pourrait tirer de l’absence de réaction des autorités de l’Etat, leur mutisme coupable devant ce qui commence par devenir une banalité dans ce pays. L’objectif ici n’étant nullement de faire porter à ces autorités la responsabilité de l’acte posé par un trentenaire réputé être un travailleur. Mais de pointer du doigt une pratique qui consiste à se réfugier dans le déni, dans l’indifférence, dans le mutisme, en attendant qu’une autre polémique vienne chasser celle des immolations par le feu devant les grilles du Palais présidentiel, ces lieux si symboliques qu’ils attirent toutes les convoitises, y compris les idées saugrenues des candidats potentiels au suicide.
Les quotidiens parvenus mardi à l’APS annoncent en priorité la plupart la mise en branle de la procédure visant à lever l’immunité parlementaire de trois députés de l’opposition suspectés d’enrichissement illicite, un sujet qu’ils traitent en se faisant en même temps l’écho d’un drame qui s’est déroulé la veille devant le palais de la République
Comme s'il voulait conjurer un mauvais sort, il avait traîné les pieds avant de s'installer définitivement au Palais de la République, cette petite demeure blanche d'une grande prétention historique. Juste après avoir pris son avion pour assister à Accra au Ghana, à la prestation de serment de son homologue le président Dramani, les vieux démons qui avaient agité le sommeil de son prédécesseur, Me Abdoulaye Wade sont de retour. Devant les grilles du palais, il y a quelques heures, un homme de teint noir, d'une forte corpulence, s'est brûlé tout le corps et s'est laissé ravagé par les flammes spectaculairement suicidaires. La brigade nationale des sapeurs pompiers était en train de se battre contre cette torche humaine acheminée à l'hôpital Principal, en catastrophe. "Il le premier grand brûlé de la vie sous Macky Sall". Selon divers témoins, ce quarantenaire en voulait à la vie et donc préparait la mort. Les occupants de l'avenue de la République témoins de la scène affirmaient que Cheikh Mbaye criait à tue-tête "Ngourou Macky Sall Nékhoul Ngourou Wade mo nékh... Damay rey sama bopp ! ".
Deux jeunes moines tibétains se sont immolés par le feu dimanche à Lhassa, au Temple du Jokhang, un lieu de pèlerinage séculaire, a rapporté l'organisation Radio Free Asia (RFA) en citant des témoins. Il s'agit des "premières auto-immolations dans la capitale de la région autonome du Tibet, Lhassa, pour protester contre la tutelle de la Chine"
L’Algérie doit faire face à une multiplication des tentatives d’immolations par le feu Le cas d’Hamza Rechak, un jeune marchand ambulant qui a tenté de s’immoler par le feu dimanche à Jihel, fait rejaillir la question d’un acte en constante augmentation en Algérie.
Wade est averti. Son challenger Macky Sall renforce son arsenal mystique. Selon le journal Le Populaire, Daouda Yattara, le grand « Satan » malien serait dans nos murs. Ami d’un Sénégalais depuis la Can de football de 2002 et très craint au Mali voisin et dans la sous-région, le féticheur vient donner un coup de main au candidat de la coalition « Benno Bokk Yakaar ». Ce fan de Macky, dont on dit d’après le journal qu’il ne se nourrit que de sang recueilli des immolations de moutons, bœufs et poulets qu’il utilise pour ses sacrifices, lui promet la victoire. Après donc les Sérères nones, ce sont les sorciers de la sous-région qui se mêlent à la présidentielle sénégalaise.
Un jeune moine bouddhiste a tenté de s'immoler par le feu dans une région tibétaine de Chine, la contestation contre la répression culturelle et religieuse menée par Pékin ne faiblissant pas malgré la forte pression des forces de sécurité chinoises, ont annoncé mardi des ONG.
21 jours après la journée historique du 23 juin beaucoup de nos compatriotes attendent avec amertume le discours du Président de la république prévu aujourd’hui 14 Juillet. Pourtant depuis les événements le Président Wade s’est à maintes reprises prononcé à ce propos et a posé des actes à cet effet. Le discours du 14 juillet sera juste l’occasion pour le Président de la République de confirmer les mesures déjà prises.
Le psychologue, Serigne Mor Mbaye qui se dit très préoccupé par la situation du Sénégal appelle une résistance pour sauver le pays. «Face à une telle violence, je pense qu’il faut organiser une résistance pour préserver ce pays et ce peuple parce qu’on ne sait pas où ça va (…). Nous n’avons aucun intérêt à laisser pourrir la situation», a laissé entendre à l’émission Grand Jury de ce dimanche même s’il sait qu’il y a un camp qui n’est pas d’accord.
Elite de la police sénégalaise, spécialisée dans la lutte contre le grand banditisme, la protection rapprochée des personnalités et la lutte anti-terrorisme, la Brigade d'intervention polyvalente (Bip) est secouée par des grincements de dents de quelques-uns de ses agents. Sortant de leur réserve, ces «snipers», doublés d'experts en arts martiaux, soutiennent que les autorités sont en train de les utiliser pour des missions qui ne sont pas les leurs.
Abdoulaye Wade est un « président spécial » disait de lui l’ancien président de la Banque mondiale, James Wolfensohn, au sortir d’une audience avec le chef de l’Etat sénégalais, il y a quelques années. Plutôt d’y voir de l’ironie à l’endroit de quelqu’un qui se prend pour un messie en troisième millénaire, Wade en a plutôt fait un motif de fierté. Il vient d’en rajouter une couche dans un entretien accordé au journal français ‘’L’expansion’’ publié ce jeudi.
Le Monument de la renaissance serait responsable des séries d’immolations et d’accidents au Sénégal, selon l’imam Ousmane Sow de la mosquée Mbarobé du quartier Montagne de Louga. L’imam Sow a profité de la prière du vendredi pour dénoncer la construction de cette statue : «Le monument est une œuvre de la franc-maçonnerie, on ne devait jamais le construire dans notre pays