Kolda : Les femmes vivant avec un handicap dénoncent l'inaccessibilité des structures sanitaires
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Kolda : Les femmes vivant avec un handicap dénoncent l'inaccessibilité des structures sanitaires
La recrudescence des homicides enregistrés dans différentes localités du pays relève d’un problème de santé mentale.
Les droits humains et le Vih sont étroitement liés. Mieux, le respect de ces droits est essentiel pour prévenir la propagation de la maladie, assurer l’accès aux soins et protéger les Personnes vivant avec le VIH (PVVIH) contre la discrimination et la stigmatisation.
La fistule obstétricale est un problème de santé publique au Sénégal. Qualifiée de « Maladie de la honte », elle affecte la santé de nombreuses femmes au Sénégal.
Les malades ne sont pas des démons
Un diagnostic sans complaisance a permis à la nouvelle équipe municipale de Malicounda de déceler les quatre maux qui gangrènent le développement de la collectivité. Il s’agit du manque d’éclairage public, de l’insuffisance ou de l’inexistence de structures sanitaires de proximité, des abris provisoires et de l’inaccessibilité à l’eau potable. Pour panser ces plaies béantes, le maire de la commune, Maguette Sène, a adopté des stratégies d’intervention rapide et efficace. « Puisqu’on ne peut pas tout faire en même temps car qui embrasse trop mal étreint, nous avons choisi d’aller priorité après priorité. Chaque année, on met le focus sur un domaine pour le satisfaire à plus de 80%. L’année suivante, on fait la même chose ainsi de suite jusqu’à la fin de notre mandat », a expliqué l’édile de la ville.
Voici l'intégralité de la Déclaration de politique du Premier ministre, Abdoul Mbaye, prononcée lundi à l'hémicycle de l'Assemblée nationale du Sénégal. Monsieur le Président de l’Assemblée nationale, Honorables Députés, Vous pouvez aisément deviner l’émotion qui est la mienne de me trouver devant vous aujourd’hui, illustres mandataires du Peuple sénégalais, brillamment élus pour la douzième législature de notre jeune République.
Le maire de la ville de Dakar, Khalifa Sall a entamé hier une tournée dans différentes structures de santé de sa commune. Il s'est rendu au centre ophtalmologique de l'hôpital Abass Ndao. Il a aussi visité la protection maternelle infantile et le centre de santé de Dakar Plateau.
Une boucle de 16 kilomètres seulement qui constitue un risque d'avortement pour les femmes au cours de leur transfert vers les structures sanitaires de Diouloulou. Cette piste de l'arrondissement de Kataba 1 contourne la commune et dessert plus d'une vingtaine de villages où résident des dignitaires religieux de la famille chérifienne installée dans cette zone du Naran Est vers la fin du 19e siècle.
Au Sénégal, une centaine de structures sanitaires sont fermées faute d’agents de Santé dont la majorité se trouve en zone rurale. L’information est du ministre de la Santé qui clôturait avant-hier les travaux de la réunion préparatoire du Conseil économique et social de l’Onu. Le Sénégal fait face à un réel défi en matière de santé puisque, a révélé le ministre de la Santé, faute d’agents, une centaine de structures sont fermées dont la plupart en zone rurale. Ce qui constitue un handicap à l’amélioration de la santé notamment de la femme, « condition essentielle à tout développement socioéconomique », a noté Modou Diagne Fada qui a ajouté que « tout décès maternel peut être considéré comme un échec des leaders politiques ».
Le Sénégal a un déficit de 168 000 donneurs de sang par rapport aux normes fixées par l’Organisation mondiale de la santé (Oms) en matière de don de sang. Il existe actuellement 52 mille donneurs, dont en majorité des élèves et étudiants, alors qu’il en faudrait 220 mille pour atteindre ces objectifs. Ce déficit s’explique, selon le directeur du Centre national de transfusion sanguine (Cnts), le Professeur Saliou Diop, par le manque de culture du don du sang, par les problèmes d’inaccessibilité et la peur de savoir qu’on est porteur d’autres maladies.
Le plan sésame qui fait obligation aux structures sanitaires d’administrer des soins gratuits aux personnes âgées de 60 ans et plus, sur l’ensemble du territoire national, fonctionne à deux vitesses. Car jusque-là, les populations vieillissantes des centres urbains bénéficient plus de cette initiative que celles du monde rural à l’intérieur du pays. Celles-là dont les revenus économiques sont très faibles. Et ce qui semble encore regrettable c’est que les retraités du Fonds national de retraite (Fnr), tout en conservant leur couverture sociale, bénéficient également de l’initiative sans passer par les normes édictées.
«L’enclavement est une maladie mortelle qui tue plus que toute autre maladie», déclare Karfa Diédhiou, un habitant de Dioghère, convaincu que l’on ne saurait ébaucher un quelconque développement sans des routes praticables en toute saison. L’inaccessibilité de certaines localités compromet le développement sanitaire, économique et social du département. A Madina Seydou Nourou Tall, village situé dans la communauté rurale de Diaroumé, le poste de santé qui polarise 71 villages est dépourvu d’une ambulance. L’infirmier-chef de poste ne dispose que d’une vieille carcasse de moto qui peine à s’allumer. En cas d’urgence, les malades n’ont aucun espoir de survivre.