Au Sénégal, la profession de sage-femme se trouve aujourd’hui dans une impasse juridique inquiétante.
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Au Sénégal, la profession de sage-femme se trouve aujourd’hui dans une impasse juridique inquiétante.
De la conquête du pouvoir à son exercice, le combat reste constant et souvent plus rude qu’attendu
Avec une gravité solennelle, Anta Babacar Ngom Diack, présidente du parti Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC) et députée non inscrite, a pris la parole via ses plateformes numériques pour alerter sur la proposition de loi d’interprétation de l’amnistie de 2024, qui sera débattue à l’Assemblée nationale ce 2 avril 2025. Pour la parlementaire, ce texte représente « un tournant sombre pour notre démocratie encore fragile ».
En réécrivant entièrement sa proposition de loi sur l’amnistie, Pastef persiste dans ce qui s’apparente à une manœuvre politique plutôt qu’à une clarification juridique.
Lors de son passage dans l’émission Point de Vue sur la RTS, Maurice Soudieck Dione, professeur agrégé de science politique à l’Université Gaston Berger (UGB), a analysé les enjeux liés à la loi d’amnistie.
Malgré le gendarme sénégalais qui tenait un pistolet sur sa tempe, Ibou Sané a tenu bon.
Au regard de la sacralité et de l’intemporalité des institutions dans une république digne de ce nom, leur création ou suppression ne doivent jamais relever d’une initiative parlementaire quelconque, mais, de la vox populi.
Le groupe parlementaire Yewwi Askaan Wi a soutenu, lors d’une conférence de presse, que la déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre Ousmane Sonko est impossible pour le moment, à cause d’une incohérence dans le règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Le 24 mars 2024, la majorité des sénégalais a adhéré à un changement systémique du mode de gouvernance et de la pratique politique.
La question fait débat chez les juristes, qui pointent les nombreux obstacles légaux se dressant sur la route d'une telle mesure.
La Fonction publique sénégalaise est le terreau des indemnités et des primes. Ce sont des formes de sursalaire dont bénéficient surtout les dirigeants des institutions politiques et des agences, outre les charges de personnel déjà élevées de ces entités. C’est ce que révèle le rapport de synthèse sur l’Etude sur le système de rémunération au sein de l’administration sénégalaise dont Le Quotidien détient une copie.
Pour notre pays le Sénégal, vitrine africaine d’excellence en matière de bonne gouvernance, des libertés d’expression et de démocratie participative, les efforts permanents de la consolidation, de la promotion et du développement des acquis et des progrès démocratiques pour les réformes politiques et institutionnelles n’ont pas de prix. Le Sénégal ne saurait stagner ou régresser démocratiquement aux motifs d’imbroglios budgétaires et ou d’aprioris de logistique et d’intendance.
Pour la Fédération française de football (FFF), le chemin de la repentance après l’affaire des quotas pourrait être plus long que prévu. Ce mercredi, la Ligue des droits de l’homme (LDH) a lancé une campagne pour dénoncer les discriminations dont sont victimes les enfants étrangers qui souhaitent obtenir une licence de foot dans un club français.
Que ceux qui ont rêvé de pardon présidentiel pour Malick Noël Seck se rassurent, Wade ne pardonne que les coupables ! Célébrons ensemble le courage des hommes du M23 et tous ceux qui se sont associés a leur geste, en adoptant la seule attitude qui s’impose a l’heure actuelle : Signer la lettre de Malick Noel Seck et la remettre aux membres du Conseil Constitutionnel. Je dis bien les Hommes du M23, ni les « Jeunes », ni les « Militants », ni les « Activistes ». Épithètes paternalistes à l’usage de planqués septuagénaires qui ne souffrent pas des mêmes maux que nous.
CINQ Exploits maléfiques contre / «Mille» Exploits bénéfiques1. LES EXPLOITS MALEFIQUES DES BUCHERONS : « L’arbre va tomber et le monde regarde ailleurs » chante Cabrel le rocker français. La Sonatel risque de tomber et le Sénégal regarde ailleurs. La SENELEC croule et le Sénégal vocifère contre elle. Ce parce que l’ombre de son électricité a cessé de rafraichir les millions de sénégalais, les milliers d’entreprises, d’artisans, d’artistes. L’absence de courant a mis sous tension tous les secteurs du pays qui ne supportent plus de payer des factures d’obscurité en lieu et place des factures d’électricité.
# Le Sénégal dans sa diversité investit le temple de Thémis : Latif gagne le pari de la mobilisation# Réactions…Réactions…Réactions…il aura fallu plus de dix tours d'horloge pour vider le contentieux qui oppose Abdou Latif Coulibaly à Thierno Ousmane Sy. Ainsi, à l'issue de l'audience spéciale lors de laquelle le journaliste - écrivain a reconnu la paternité de ses écrits, la vérité judiciaire sur l'affaire des 20 milliards de commissions du Sudatel sera livrée au peuple sénégalais, le 16 novembre 2010.
Le conseiller juridique de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) relève une contradiction dans la loi 2007 qui accorde une dérogation à l’Agence nationale de promotion des investissements et des grands travaux de l’Etat (Apix) par rapport celle de 2006. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, en marge d’un atelier d’information sur les marchés publics, Oumar Sarr tire une conséquence à cette dérogation qui permet à l’Apix de passer des marchés publics sans être contrôlée par l’Armp. Ce qui casse la cohérence du Code des marchés publics. Pour lui, il aurait suffit un aménagement pour permettre au code de garder sa cohérence.
Deux ans et demi à la tête du ministère de l’Environnement et de la Protection de la nature, Thierno Lô fait le bilan de ses réalisations et parle des grands projets du chef de l’Etat. Il a révélé qu’une Fondation Abdoulaye Wade pour l’Environnement sera mise en place avec des universitaires et fonctionnaires de l’étranger. Monsieur le ministre, après deux années à la tête du département de l’Environnement et de la Protection de la nature, pouvez-vous nous faire un bilan sommaire des actions qui ont été menées ? « Je vous remercie de me permettre de parler d’un secteur très important et qui tient à cœur son excellence Monsieur le président de la République qui a fait de telle sorte que le Sénégal soit un pays qui apporte les meilleures réponses aux défis qui interpellent le monde, c’est-à-dire la question environnementale.
Karim Wade, successeur de son père à la tête de l'Etat ? Depuis que le président de la République a dressé le profil de son successeur, bien des acteurs politiques y ont vu celui de son fils. Sauf le secrétaire général d'And Jëf/Pads, Landing Savané, qui avoue d'ailleurs qu'il n'a jamais envisagé une telle hypothèse. D'autant qu'il a entendu dire de la bouche du président Wade que son fils n'était pas dans la course. L'essentiel, pour Landing Savané, c'est que la succession se fasse de façon démocratique. L'ancien ministre d'Etat auprès du président de la République se prononce, en outre, dans la seconde partie de l'entretien qu'il nous a accordé, sur les scandales sous l'alternance.
Le départ du gouvernement des ministres d'Aj, Landing Savané le trouve comme la suite logique de sa défaite à la dernière présidentielle et conforme à la vision de son parti. Pour autant, Landing Savané n'analyse pas cet état de fait comme signifiant un ralliement systématique à l'opposition. Par ailleurs, l'ancien ministre d'Etat parle des dossiers qui ont empoisonné l'alternance, de ses réussites, de ses échecs, des Ics... Wal Fadjri : Dans quelles conditions avez-vous quitté le gouvernement ? Landing Savané : Après l'élection présidentielle du 25 février et la parution des premiers résultats qui indiquaient très nettement la tendance, nous avons estimé que c'était le moment de quitter le gouvernement d'autant que ceci correspondait parfaitement à notre vision de l'après-élection.