La présence des oiseaux granivores dans plusieurs villages de la commune d’Ogo, dans le département de Matam, angoisse au fil des jours les paysans.
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La présence des oiseaux granivores dans plusieurs villages de la commune d’Ogo, dans le département de Matam, angoisse au fil des jours les paysans.
les riziculteurs du village de Thiempeng, situé dans le département de Kanel, font face depuis quelques jours à une invasion d’oiseaux granivores qui...
Le Sénégal cherche à produire 80% de ses besoins alimentaires dès le prochain hivernage, pour parer au ‘’dérèglement des circuits de commercialisation des céréales’’ engendré par la pandémie de coronavirus, a déclaré le ministre de l’Agriculture, Moussa Baldé, samedi à Saint-Louis (nord).
Le Directeur général de la Société nationale d'aménagement et d'exploitation des terres du Delta (Saed) annonce une lutte combinée entre le Sénégal et la Mauritanie...
Le Directeur général de la Société nationale d'aménagement et d'exploitation des terres du Delta (Saed) annonce une lutte combinée entre le Sénégal et la Mauritanie...
La situation acridienne dans les pays du Sahel n’est pas préoccupante dans l’immédiat, mais le risque d’invasion provenant duTchad, notamment dans la Région du Barh El Ghazal, zone frontalière avec le Niger et dans certaines régions de la Mauritanie, reste assez élevé.
Depuis quelques semaines, les prophéties de Baba Vanga, une voyante bulgare décédée en 1996, sont reprises un peu partout par les médias. Pendant de nombreuses années, ce personnage fascinant a été la voyante officielle du pouvoir communiste en Bulgarie. Ceux qui la connaissent bien affirment que ses prédictions sont correctes à 85%. Elle avait notamment annoncé les attentats du 11 septembre (2001) et le tsunami de 2004.Son nom revient régulièrement dans l'actualité au gré des soubresauts du monde.
Des hordes de canards affamés et agressifs ont étrangement élu domicile dans une petite ville du Canada... Burin. Petite ville au sud de la péninsule de Terre-Neuve, au large des côtes canadiennes, non loin du territoire français de Saint-Pierre-et-Miquelon. Bref, un isolement géographique censé assurer la tranquillité de ses habitants.
En ces temps d'effervescence et d'agitations en tout genre, il convient d'extraire la bonne graine et non pas suivre les hommes politiques de circonstance qui font tant de bruit. Chaque jour à son lot de rumeurs et de révélations théâtrales, distrayant l’opinion, au lieu de nous consacrer à l'essentiel. Et pourtant, nous devons nous inspirer du parcours historique et de la réussite politique du Président Maître Abdoulaye Wade, qui montre bel et bien que la politique a une vertu cardinale, celle de combattre les difficultés, les problèmes de toutes sortes, notamment le quotidien des populations
La France est,aujourd'hui,l'une des plus grandes démocraties du monde. Celle-ci est le fruit d'un long processus de démocratisation enclenchée depuis 1789 avec la déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Mais,il est indéniable que le rôle des médias a été décisif au triomphe de la démocratie,à l'acquisition de la liberté d'expression et a l'émergence d'une conscience nationale nouvelle. Au fil de l'histoire,de grands journalistes se sont succédé,se distinguant par la rigueur et la clairvoyance de leurs plumes et une particulière méticulosité dans le traitement de l'information.
L’introduction de la perche du Nil dans les années 60 dans les grands lacs d’Afrique de l’est, a entraîné la disparition de 65 % des espèces de poissons d’eau douce. Pour le monde de la recherche et de l’écologie politique, « plus de 1 000 espèces de poissons d’eau douce, vivaient dans ces grands lacs. Le lac Victoria comptait 300 espèces endémiques, il y a quelques années et bien moins qu’aujourd’hui. Entre la jacinthe, la fougère, la salade d’eau, les « plantes sales » menacent tout l’écosystème des lacs et grands fleuves en Afrique. Que faire ?
« Assumer les responsabilités planétaires, mériter la confiance de ceux qui m’ont élu »Carences dans la gestion administrative et financière, lenteurs dans les interventions, centralisation excessive, démotivation du personnel, objectifs assignés non atteints ... Cibles de ces accusations de mal gouvernance et de bien d’autres contenues dans un rapport d’évaluation, l’Organisation des nations unies pour l’Alimentation et l’agriculture (Fao) et son Directeur général, notre compatriote Jacques Diouf. Interpellé sur ce rapport et sur bien d’autres questions relatives au fonctionnement de la Fao, Jacques Diouf rejette, chiffres à l’appui, ces accusations...
Le malaise paysan est grand dans la Vallée du fleuve. Plusieurs producteurs, de guerre lasses ont abandonné leur champ aux oiseaux granivores. De N’dieurba à Diaba, la bataille que les paysans ont livrée pour la sauvegarde de leur production vient de voir son acte définitif scellé ce weekend end par la reddition du paysan face à un petit moineau : le Quelea - quelea, un redoutable mange mil dont la capacité de nuisance n’a d’égale que le nombre. Conquérant, sa loi aura finalement prévalu sur l’ensemble des périmètres irrigués au grand dam de quelques producteurs qui ne peuvent que se rendre à l’évidence.
Le nouveau pari du Président Wade pour assurer aux Sénégalais une souveraineté alimentaire en riz par la production de 500 mille tonnes de riz d’ici 2012 et 800 mille tonnes à l’horizon 2015 semble loin d’être gagné. Les nombreux obstacles qui se dressent, entre autres, devant les membres des deux commissions (Production et Foncière-Transformation et Mise en marché) chargées de réfléchir sur sa faisabilité risquent de freiner sa mise en œuvre effective qui était prévue depuis le mois d’avril. Dès l’inscription à l’ordre du jour du riz comme programme spécial, le Ministre de l’Agriculture, maître d’œuvre, a aussitôt convoqué les principaux acteurs de la filière au Sénégal pour décliner les grandes lignes de ce Programme spécial qui vise à « épargner le Sénégal de la tyrannie du riz
Des 50 millions nécessaires pour le traitement des périmètres rizicoles dans la vallée, les riziers avaient pu réunir les 20 millions puis s’étaient tournés vers la tutelle pour combler ce gap. Mais le Ministre de l’Agriculture, Farba Senghor leur avait opposé un niet catégorique. Aujourd’hui, à l’heure de l’évaluation des dégâts, les pertes sont estimées à 3 milliards de F Cfa. Face à l’invasion de leurs périmètres rizicoles par les oiseaux granivores, les riziers de la vallée, devant l’ampleur des dégâts et le retard accusé par les pouvoirs publics, avaient pris l’initiative de louer les services d’un privé pour lutter contre le Kéléa Kéléa Kéléa.
Le ministre de l’Agriculture a rencontré hier, mardi 19 décembre 2006, au Building administratif, les riziers de la vallée venus lui faire part des dégâts causés par l’invasion des oiseaux granivores et solliciter son appui financier pour honorer leurs engagements vis –à -vis de l’opérateur privé pris pour le traitement aérien des périmètres rizicoles envahis. Les Walo-Walo rentreront déçus suite à la réaction de Farba Senghor qui, après les avoirs écoutés, les a rabroués sans diplomatie. La rencontre a tiré en longueur pour n’aboutir à rien de palpable si ce n’est une déception totale des riziculteurs de la vallée du Fleuve. Venus lui faire part de la situation alarmante des casiers rizicoles envahis pour la deuxième année consécutive par les oiseaux granivores et solliciter son soutien financier en tant que Ministre de l’Agriculture
Dakar, 12 juil (APS) - Le Comité du patrimoine mondial de l'UNESCO vient de retirer le Parc national des oiseaux de Djoudj de sa liste du patrimoine mondial en péril après les efforts constatés pour la sauvegarde de ce site situé dans la région de Saint-Louis ( Nord). Selon un document du Comité du patrimoine mondial de l'UNESCO dont l'APS s'est procurée une copie, ''un contrôle biologique a permis aux gestionnaires du Parc national des oiseaux du Djoudj d'éliminer la menace que représentait l'invasion de certaines plantes pour cette zone humide''.
Dakar, 6 mars (APS) - Le directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), Jacques Diouf, a déploré le ''manque d'anticipation et de solidarité'' des Etats dans la gestion de la grippe aviaire. ''Ce sont surtout les Etats qui ont péché par manque d'anticipation et de solidarité. On est incapable de tirer les leçons du passé'', a dit M. Diouf dans un entretien publié lundi par le quotidien français Libération.