Gouvernance à l'IPRES et à la CSS, investissements désastreux : La sortie au vitriol du SATI
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Gouvernance à l'IPRES et à la CSS, investissements désastreux : La sortie au vitriol du SATI
Le Fonds monétaire international (Fmi) vient de boucler sa mission au Sénégal, dans un contexte très tendu sur le plan budgétaire (Fmi).
Bassirou Diomaye Faye a proposé dans son programme la mise en place d'une monnaie locale en lieu et place du Franc CFA.
Depuis que le candidat à la présidentielle Bassirou Diomaye Faye a évoqué l’idée d’une monnaie nationale, les réactions catastrophistes et démagogiques, typiques de l’esprit françafricain, n’ont cessé de pleuvoir.
Les États-Unis louent les avancées du Pse et annoncent le triplement de leurs investissements privés au Sénégal
Sanlam Emerging Markets (SEM) a mobilisé toutes ses ressources dans la lutte contre la propagation du Coronavirus...
Les horizons sont sombres pour le Sénégal cette année 2020 et...
A l’occasion du Conseil des ministres décentralisé de Ziguinchor, le chef de l’Etat, après un premier entretien accordé au magazine panafricain Jeune Afrique, a voulu s’adresser pour la première fois à la Presse nationale. Pour ce faire, il a choisi de mêler différents médias -radio, télé, presse écrite, agence de presse- et accepté de se soumettre aux questions des représentants du journal Le Quotidien, de la Télé futurs médias, de l’Agence de presse sénégalaise (Aps) de la Radiotélévision sénégalaise (Rts),
« J’ai décidé de vous remettre ma lettre de démission que vous allez remettre aux autorités compétentes, pour permettre l’exercice plein et entier de la disposition de notre article 36 ». Ainsi s’exprime Amadou Toumani Touré qui, en ce début du mois d’avril 2012, quitte la scène politique de son pays sur laquelle il avait fait irruption, un mois de mars 1991, en destituant un autre Général, en l’occurrence, Moussa Traoré. Mais à qui ATT remet sa démission ? Aux neuf sages de la Courconstitutionnelle du Mali ? Non. L’ancien Président du Mali place sort et son destin dans les mains d’un Colonel de gendarmerie devenu le ministre des Affaires Etrangères le plus célèbre d’Afrique de l’Ouest : Djibril Bassolé. Une mélange de Metternich et de Kissinger. Il est au service de Blaise Compaoré qui en a fait un Proconsul dans le Mali en lambeaux, comme jadis, le Général Mc Arthur dans Pacifique.
Un des animateurs du mouvement Y en a marre est un employé du candidat de Abdou Latif Coulibaly. Suffisant pour que le pouvoir voie sa main derrière ces jeunes qui s’opposent à la candidature du président Wade. Mais, dans cette seconde partie de l’entretien qu’il nous accordé, le candidat de Bennoo Alternative 2012, qui ne cache pas sa sympathie envers ce mouvement, réfute ces accusations.
Un des animateurs du mouvement Y en a marre est un employé du candidat Abdou Latif Coulibaly. Suffisant pour que le pouvoir voie sa main derrière ces jeunes qui s’opposent à la candidature du président Wade. Mais, dans cette seconde partie de l’entretien qu’il nous accordé, le candidat de Bennoo Alternative 2012, qui ne cache pas sa sympathie envers ce mouvement, réfute ces accusations.
Lors de la présentation publique, le week-end dernier, du «Manifeste citoyen pour la refondation nationale», le chef religieux, Serigne Mansour Sy Djamil, et ses camarades ont annoncé la création d’un «mouvement social fort» visant à mettre fin au régime libéral en place. «Trop, c’est trop !», disent-ils, «car les populations n’en peuvent plus de supporter les dérives et les scandales de toutes sortes». Selon Serigne Mansour Sy Djamil, «ce mouvement social portant les conclusions des Assises nationales va mobiliser le plus largement possible au-delà de Benno Siggil Senegaal»
Le Sénégal s’est constitué en république pour appeler tous les citoyens, à un degré plus élevé de moralité, de religion et de bien être. Le 25 Février 2007, les sénégalais avaient reconduit le pouvoir libéral pour lui permettre de parachever son projet et vision politique. Ces sénégalais, et parmi eux, ceux qui avaient 6 à 17 ans au mois de mars de l’an 2000, attendent 2012 pour se doter d’un pouvoir soucieux de faire de leur pays, un Etat moderne, modèle d’une société créatrice d’emplois, modèle d’une économie en croissance.
L’insécurité dans laquelle notre pays est plongé, et l’absence totale de l’autorité étatique aujourd’huiNotre pays est en train de plonger dans une insécurité globale, sans que nous en prenions conscience tout à fait. L'insécurité globale, dans laquelle s’engouffre notre pays traduit l'absence notoire d'autorités étatiques conscientes de leurs responsabilités et de la gravité de la situation. Sans crier gare, avec le régime de l’Alternance, dans lequel, on peut noter sans conteste une dégradation inquiétante de l’autorité dans le plein sens du terme ou mieux, une absence quasi-totale, nous nous acheminons lentement, mais sûrement vers une insécurité totale dans l’ensemble du territoire national.
Depuis huit années au pouvoir, le régime de Me Abdoulaye Wade s’est illustré par une longue série de crises : naufrage du bateau Le Joola, perte des ICS cédées aux Indiens, grèves généralisées des enseignants, élèves et étudiants, crash de la croissance économique jusqu’à 2 %, son taux le plus bas depuis l'indépendance, dépassements budgétaires, délestages électriques intempestifs, manipulations constitutionnelles pour régler des comptes politiques personnels, violences envers des personnes d’opinion... Le portrait du régime de Me Wade décrit un climat effroyable faisant courir un risque d’un relâchement d’autorité qui, si rien n’est fait, peut aboutir à une explosion sociale.
En provenance d’Italie, première étape de sa tournée européenne, le ministre des Sénégalais de l’extérieur, Aminata Lo, a rencontré la communauté sénégalaise de Paris, samedi dernier. Dans une salle du consulat trop petite pour accueillir les centaines d’émigrés venus poser leurs doléances, celle qui se définit comme une « sénégalaise de l’extérieur » a rencontré ses compatriotes. Le ministre des Sénégalais de l’extérieur a ainsi dévoilé les réformes institutionnelles qu’elle a entreprises, pour pouvoir atteindre ses objectifs. Son département est désormais doté de trois directions, à la place de l’unique qui existait jusque-là.
"Où va le Sénégal ? Que le président soit le récipiendaire hier à l’UNESCO du prix Houphouët-Boigny pour la paix et voilà que ses adversaires menacent de manifester à Dakar, avant que le préfet de la ville les en empêche. Que d’autres promettent d’investir le siège de l’organisation à Paris, ou manifester sur la place du Trocadéro, et voici que le clan présidentiel déplace des centaines de ses partisans la plupart par avions entiers de Dakar". C’est en ces termes que le quotidien français l’humanité a commenté le sacre du chef de l’état sénégalais, Me Abdoulaye Wade."En fait, le Sénégal est malade, victime d’un climat malsain où les coups tordus sont désormais les règles qui valent dans un pays où pourtant les responsables politiques étaient réputés être, il y a peu, d’une exceptionnelle civilité en Afrique.