La vérité ne doit pas être entachée, le monde ne doit pas être trompé et le récit sur le Xinjiang ne doit pas être déformé.
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La vérité ne doit pas être entachée, le monde ne doit pas être trompé et le récit sur le Xinjiang ne doit pas être déformé.
le Parti justice et développement, majoritaire depuis dix ans au parlement et à la tête du gouvernement sortant n'est même pas dans le trio de tête après les législatives d'hier...
Le politologue Mustapha Sehimi estime que, depuis 2011, les gouvernements successifs menés par le Parti de la justice et du développement n’ont « pas été à la hauteur ».
Le Maroc vote mercredi pour renouveler les 395 sièges de députés de la Chambre des représentants et plus de 31 000 élus locaux
Pour profiter d’un marché légal en pleine expansion et améliorer le revenu des cultivateurs, le gouvernement veut légaliser l’usage thérapeutique et industriel du chanvre...
La pandémie de Covid-19 a été l’occasion pour la classe politique marocaine d’utiliser à fond les réseaux sociaux dans sa communication
Au moins six morts dans une attaque suicide dans le centre de Kaboul en Afghanistan. L’attaque a eu lieu à quelques mètres de ministères, à un carrefour très fréquenté de la capitale,
Ex-ministre délégué au Budget, député-maire de Fès, président du groupe parlementaire du parti et tout récemment porté à la tête de son Conseil national… L’étoile de Driss El Azami El Idrissi est à son firmament. Qui est-il ? D’où vient-il ?
Les partis politiques ayant subi la colère royale du 24 octobre sont dans l’expectative. Personne ne sait de quelle ampleur sera le remaniement attendu.
Député-maire de Laayoune, Hamdi Ould Errachid a joué un rôle décisif dans l’élection de Nizar Baraka à la tête du parti de la balance. Portrait du Sahraoui le plus influent du royaume.
Les nationalistes ont préféré ajourner l'élection de leur nouveau dirigeant après que leur Congrès a viré au pugilat. Qui de Hamid Chabat ou de Nizar Baraka remportera la partie ?
Nouvel épisode dans la guerre des clans qui ronge le plus vieux parti du pays. Hamid Chabat, secrétaire général décrié, a résisté jusqu’au bout avant d'être chassé du siège de la centrale syndicale du parti.
Devant les députés, le ministre marocain de l'Intérieur a justifié mardi la récente vague d'arrestations qui a décapité le mouvement de contestation populaire dans la région du Rif, où les manifestations perdurent.
Au Maroc, après plus de 5 mois d'impasse, la formation d'un nouveau gouvernement est en bonne voie. Les négociations entamées, le 21 mars, par le nouveau Premier ministre, Saad Eddine el Othmani, ont abouti à l'annonce, samedi 26 mars, d'une coalition de six partis autour du parti de la justice et du développement (PJD). Le parti islamiste a remporté, sous la houlette de l'ancien Premier ministre, Abdelilah Benkirane, les législatives d'octobre dernier, mais sans majorité absolue, d'où le recours à une coalition gouvernementale.
Numéro 2 du Parti de la Lampe, respecté par tous, El Othmani a été choisi pour succéder à Abdelilah Benkirane et devenir le nouveau chef de gouvernement. Mais, qui est-il vraiment ? La réponse en cinq points.
Seul candidat en lice, le numéro deux de l'Union socialiste des forces populaires (USFP) a été sacré président de la première chambre à la majorité absolue ce lundi 16 janvier.
C'est une première dans l'histoire du Maroc. La chambre des représentants doit élire son président ce lundi, alors même que le gouvernement n'est pas encore formé. Elle doit par la suite adopter le texte permettant au Maroc de réintégrer l'Union africaine avant le prochain sommet de l'organisation.
Cela fait trois mois et quatre jours que les Marocains attendent de connaître le nom de leurs ministres. Combien de temps encore ? Une chose est sûre : jamais le Maroc n'a connu un accouchement aussi difficile.
Abdelilah Benkirane s'est résigné à lâcher son allié nationaliste et à garder la même coalition sortante pour le futur gouvernement, avec comme parti star, le RNI de Aziz Akhannouch. Chabat échec et mat !
La direction historique du parti nationaliste resserre ses rangs pour pousser le controversé secrétaire général à la démission. Mais l'intéressé ne compte pas se laisser faire aussi facilement.