Les travaux de bitumage de la route Keur Martin-Diohine-Wakhal Diam ont démarré
il y a 3 ans
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Les travaux de bitumage de la route Keur Martin-Diohine-Wakhal Diam ont démarré
A l'occasion de la célébration du centenaire de la naissance du Cardinal Hyacinthe Thiandoum, l’Observatoire romano va revisiter la vie et les œuvres d'un homme au parcours exceptionnel dédié à Dieu.
Si ce n’est pas avec ses camarades de parti, Yaxam Mbaye fait alors face à un opposant ou un allié indélicat. L’enfant terrible de Rebeuss, défenseur invétéré de Macky Sall ne recule jamais devant l’adversité.
Le chef de l’Etat est arrivé lundi vers 12 50 à Kaolack où il va présider la cérémonie officielle d’inauguration la route Fatick-Kaolack réhabilitée par l’entreprise Jean Lefebvre Sénégal. L’évènement se tient devant la gouvernance de Kalack, en présence des ministres, des autorités administratives et des populations, a constaté l’APS. Peu avant, Macky Sall avait coupé symboliquement, à Fatick, le ruban pour marquer l’inauguration de la route Fatick-Kaolack, un axe de 42 kilomètres.
L'entreprise de Bara Tall, Jean Lefebvre Se?ne?gal (Jls), vit des jours sombres. Pour lui permettre de se re?ve?ler suite à la guerre que lui avait mené le clan Wade, l’Autorite? de re?gulation des marche?s publics (Armp) lui avait accorde?, pour trois ans, une dispense de satisfaire les crite?res de qualification dans le cadre des appels d’offres.
C’est un cri de désespoir qu’envoient les populations habitant les localités de Diass et environs, en proie à une spéculation foncière sans précédent. La ruée des hommes d’affaires vers ces terres; relativement à la construction de l’autoroute à péage Dakar-Mbour et le projet de la zone économique spéciale sonnent comme un permis d’occuper chez ces gros bonnets qui ne respirent que par le foncier, déterminés sont-ils à faire main basse sur des milliers d’hectares de terres appartenant aux paysans.
Un accident de la circulation vient d'avoir lieu à l l'entrée de Gandiaye, en allant vers Kaolack. Un bus de transport en commun dont le pneu a éclaté a quitté la route cahoteuse qui est en train d'être réhabilitée par l'entreprise Jean Lefebvre Sénégal de Bara Tall pour se retrouver dans le décor. Il y a eu plus de peur que mal. Juste quelques blessés légers.
Jean Lefebvre Sénégal, une entreprise spécialisée dans le bâtiment et les travaux publics (BTP), s'attèle encore aux préparatifs de la reconstruction de la route Fatick-Kaolack (centre) dont elle a la charge, un peu plus de deux mois après le lancement officiel des travaux.
C’est hier que le patron de Jean Lefebvre Sénégal a comparu à la barre de la Cour de répression de l’enrichissement illicite à titre de témoin. Au cours de sa déposition, il a révélé que Karim Wade les a menacés, lui et Abas Jaber pour qu’ils cèdent leurs actions à la société indienne, Arcelor Mittal dans le cadre du projet Transrail, informe Libération.
Le patron de Jean Lefebvre Sénégal (Jls) rumine encore sa colère après avoir croisé le fer avec les pontes du régime libéral qui ont mis son entreprise en faillite. Ses engins restés depuis 2006 garés, Bara Tall a estimé que tout cela, Jls ne l’aurait pas connu s’il était une entreprise étrangère.
Jean Lefebvre Sénégal, Bara Tall dit avoir tourné la page du contentieux qui l'opposait à l'Etat du Sénégal sous le régime de Wade et qui avait plombé son entreprise.
Le coup d’envoi des travaux de réhabilitation de la route Kaolack-Fatick a été donné, hier, à la Gouvernance de Kaolack par le Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne. Une route longue d'une quarantaine de kilomètres et qui donne du tournis aux automobilistes, tellement elle est impraticable.
La route Fatick-Kaolack qui a longtemps hanté le sommeil des populations va être réparée. Les travaux vont démarrer d'ici la fin de l'année. Et les délais qui sont fixés au patron de Jean Lefebvre
Revoilà l’affaire des Chantiers de Thiès. Après avoir fait le buzz lors de son éclatement en 2004 lors du procès survenu en 2011, la passion semble se tasser dans ce dossier évoqué, hier, devant la Cour d’appel de Dakar. Est-ce dû au départ de Wade de la présidence ? Quoi qu’il en soit, ce changement de régime semble profiter à Bara Tall et à ses co-prévenus, Marwan Zakhem, El Hadji Seyni Seck et Massamba Sall.
Selon Le Quotidien, le tribunal a arbitré hier, le dernier épisode du feuilleton Ageroute contre l’entreprise Jean Lefebvre Sénégal
Macky Sall n’est pas surpris par la décision d’Idrissa Seck de quitter la coalition Benno Bokk Yakaar pour pouvoir critiquer ouvertement son régime, espérant empêcher le chef de l’Etat d’avoir un second mandat. Il s’est préparé en conséquence. L’appel à ses côtés de Souleymane Jules Diop, Me Nafissatou Diop Cissé, Oumar Guèye, Pape Diouf… entre dans la stratégie mise en place pour contrer le maire de Thiès qu’il sait être l’un de ses adversaires les plus irréductibles, explique l’Obs.
Saigné à blanc par Abdoulaye Wade, Jean Lefebvre Senegal (JLS) peut désormais espérer retrouver des couleurs en gagnant des marchés publics, à la suite de la dispense de certains critères de qualification que vient de lui accorder l’Armp par décision numéro 252/13/armp/crd du 28 août 2013.
L’école doit constituer la base de tout. Et selon le Président, Directeur général de l’entreprise Jean Lefebvre Sénégal (Jls), Bara Tall, les enseignants ne doivent pas hypothéquer l’avenir de ceux qui feront le monde de demain. Dans cet entretien qu’il nous a accordé, en marge de la clôture de la Semaine de l’école de base, à Thiès, il revient non seulement sur l’importance de l’école, mais aussi et surtout sur ces grèves répétées qui gangrènent le système éducatif sénégalais.
Jean François Brayard a fini de caricaturer l’Etat en Afrique en l’assimilant au «lieu du repas», d’accaparement des ressources par l’élite dirigeante dans l’impunité la plus garantie. «La politique du ventre» que le chercheur français tirait d’un contexte socio-politique camerounais est reproductible au Sénégal et ailleurs, même sous «l’ère de la rupture». A titre illustratif, on peut citer l’ampleur des marchés de gré à gré qui ont foisonné durant le dernier trimestre comme l’a révélé le rapport de la Direction centrale des marchés publics (Dcmp). Des «repas» partagés entre amis du parti et parents de l’autorité contractante qui est le ministre.
L’Etat déplore des pertes annuelles de l’ordre de 35 milliards dues essentiellement à la surcharge à l’essieu sur le corridor routier Dakar-Tambacounda. Une annonce faite, hier, par le directeur des routes, Pape Diop. Il conduisait une mission technique de terrain sur cette route fortement dégradée.
