Il avait révolutionné la musique en mêlant rythmes zoulou et pop occidentale : le...
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Il avait révolutionné la musique en mêlant rythmes zoulou et pop occidentale : le...
Youssou Ndour pleure Johnny Clegg, le chanteur sud-africain décédé ce mardi 16 juillet. Dans un court message, il dit sa peine.
Le musicien avait notamment connu le succès avec « Asimbonanga », chanson dédiée à...
Le musicien avait notamment connu le succès avec "Asimbonanga", chanson dédiée à Nelson Mandela, en 1988. Il est décédé d'un cancer qu'il combattait depuis plusieurs années.
Décédé à l’âge de 66 ans, il était surnommé le « Zoulou blanc ».Le musicien sud-africain Johnny Clegg
Chaque semaine, dans L'épopée des musiques noires sur RFI, Joe Farmer met en...
Les légendes africaines Johnny Clegg et Youssou N'Dour ont rendu un hommage festif au héros de la lutte anti-apartheid Nelson Mandela, dimanche soir à Fès, la capitale spirituelle du Maroc, où se tient la 20e édition du "Festival des musiques sacrées".
Artistes, hommes politiques, acteurs de la société civile et étudiants ont chanté, dansé et prié samedi soir à Dakar, pour rendre hommage au héros de la lutte anti-apartheid en Afrique du Sud, Nelson Mandela, décédé le 5 décembre à l’âge de 95 ans, et inhumé ce dimanche à Qunu, le village de son enfance.La soirée musicale a démarré par la chanson culte "Asimbonanga" du groupe sud-africain Savuka, dirigé par Johnny Clegg, qui a dédié ce morceau à Mandela, dans les années 1980.
Au Sénégal, au moins autant qu'ailleurs, Nelson Mandela était devenu une véritable icône. Sa lutte contre le régime de l'apartheid a marqué les Sénégalais, même si Dakar a adopté une politique plutôt modérée pendant les années de lutte.
Arrivé à Paris hier en début d’après-midi pour une visite de quelques jours, le président Abdoulaye Wade a enchaîné avec une invitation d’Ulysse Gosset dans son émission « Le Talk de Paris » sur « France 24 ». A qui veut l’entendre, le président Wade laisse entendre qu’il n’a « pas de dauphin » pour le succéder à la tête de Sénégal et « il n’est pas pour » que son fils Karim le succède. Le président de la République a aussi annoncé qu’il appellera prochainement l’opposition à un dialogue politique, mais pas « d’assises nationales ». Paris, (France) - « Je n’ai pas encore de dauphin, je le cherche ! » Ainsi le président Abdoulaye Wade a-t-il répondu à la question d’Ulysse Gosset sur son éventuel successeur à la fin de son mandat.