Le légendaire musicien Johnny Pacheco, considéré comme l'un des pères de la salsa, est mort lundi à New York à l'âge de 85 ans, a annoncé sa famille.
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Le légendaire musicien Johnny Pacheco, considéré comme l'un des pères de la salsa, est mort lundi à New York à l'âge de 85 ans, a annoncé sa famille.
Le légendaire musicien Johnny Pacheco, considéré comme l'un des pères de la salsa, est mort lundi à New York à l'âge de 85 ans, a annoncé sa famille.
Six mois après avoir marqué la cérémonie du centenaire de...
Ce texte se veut un brin provocateur. Certains, en s’arrêtant au titre, monteront peut-être sur leurs grands chevaux et crieront à l’outrage. Comment peut-on comparer, diront-ils, l’homme de culture et de lettres qu’est Senghor, premier agrégé de grammaire africain, membre de l’Académie française, père du Sénégal indépendant, qui consacra 30% du budget de l’État à la culture et qui voulut faire du développement pour et par la culture, au chanteur Youssou Ndour, promoteur d’un genre musical, le mbalakh, pour lequel les « puristes » peinent à comprendre la rythmique particulière ?
Le quartier de Rebeuss était une cité hybride au flanc immédiat du Dakar des affaires et de ce qui reste du Plateau historique, dont il était une partie intégrante avant d’en être déconnecté à la faveur d’une paupérisation devenue endémique de ces milliers d’âmes qui y ont trouvé refuge. Cette conurbanisation qui défie toutes les normes urbanistiques modernes est un Sénégal en miniature. Le creuset d’une confluence socio-ethnique et réceptacle bigarré, mais riche de toutes les influences portées par les diversités dont Reubeuss est le lieu de convergence.
Ce texte se veut un brin provocateur. Certains, en s’arrêtant au titre, monteront peut-être sur leurs grands chevaux et crieront à l’outrage. Comment peut-on comparer, diront-ils, l’homme de culture et de lettres qu’est Senghor, premier agrégé de grammaire africain, membre de l’Académie française, père du Sénégal indépendant, qui consacra 30% du budget de l’État à la culture et qui voulut faire du développement pour et par la culture, au chanteur Youssou Ndour, promoteur d’un genre musical, le mbalakh, pour lequel les « puristes » peinent à comprendre la rythmique particulière ?
Il est l’un des plus grands Salseros du pays, mais depuis 8 ans, sa carrière est en veilleuse. Lui, c’est Nicolas Menheim. L’homme à la voix, qui a fait vibrer des milliers de personnes, était aphone, mais aujourd’hui il parvient à émettre des sons . Il ne chante plus, car sa voix est atteinte d’une maladie. Un mal dont il ne sait pas l’origine car les médecins ont tout fait, mais n’arrivent pas à le guérir. Et Nicolas n’exclut pas que ce soit un maraboutage. Sur sa maladie, sa carrière musicale, ses projets, mais aussi ses débuts, Nicolas Menheim se confie.