Moustapha Sène, « délégué porte-parole du jour », a annoncé une nouvelle mobilisation estudiantine dans la région de Kaffrine.
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Moustapha Sène, « délégué porte-parole du jour », a annoncé une nouvelle mobilisation estudiantine dans la région de Kaffrine.
Ce lundi, à trois semaines du début de la CAN 2025, le Cameroun de David Pagou, tout juste intronisé sélectionneur après le limogeage de Marc Brys, a annoncé la liste des joueurs qui iront au Maroc.
Dans le cadre d’un voyage de presse, Seneweb a exploré les quatre établissements hôteliers du Groupe Accor au Sénégal...
Lyle et Eleanor Gittens, âgés de 108 et 107 ans, sont désormais le couple marié depuis le plus longtemps encore en vie, unis depuis 83 ans.
Même après la fin de son contrat en avril 2025, qui lui a été notifié depuis le 30 octobre 2024, POLIMED continue d’assurer la radiologie à l’hôpital de Mbour. Et pendant ce temps, les patients payent le prix fort : absence de scanner, pannes répétées, urgences retardées.
Golf : La petite fille de Donald Trump va jouer son premier tournoi professionnel
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Rien ne va plus entre Vinicius Junior et le Real Madrid.
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"Je quitte l'équipe", "va te faire...", Vinicius a insulté Xabi Alonso à sa sortie lors du Clasico Real-Barça, selon la presse espagnole
Le Real Madrid a remporté la 298ᵉ édition du Classico face au FC Barcelone (2-1), ce samedi au stade Santiago Bernabéu, au terme d’une rencontre intense et pleine de tension.
La nouvelle vient de tomber. Amara Traoré a été nommé Directeur technique national (DTN) de la Fédération sénégalaise de football (FSF).
C’est une manipulation politique. Ce n’est pas un scandale économique
Avec BOAD Titrisation comme arrangeur, la Senelec ouvre une nouvelle ère de financement durable alliant rendement pour les investisseurs et...
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Star du Real Madrid, Vinicius Junior n'a toujours pas prolongé chez les Merengue. Ce qui va pousser le président Pérez à taper du poing sur la table.
La star brésilienne Neymar n'a pas apprécié le classement du Ballon d'Or, estimant que son compatriote Raphinha, classé cinquième, aurait mérité un meilleur sort au vu de sa saison aboutie avec le FC Barcelone.
La cérémonie du Ballon d'Or "France Football" a lieu lundi au théâtre du Châtelet, à Paris.
«Ce que j’ai vécu ...» : les confidences glaçantes de la compagne de l'homme qui s'est immolé avec leurs enfants