Le 15 avril 2012, le tout nouveau président de la République, Macky Sall, effectue son premier déplacement à l’étranger en Gambie. Seneweb revient sur ce moment à travers sa rubrique Jour-Pour-Jour.
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Le 15 avril 2012, le tout nouveau président de la République, Macky Sall, effectue son premier déplacement à l’étranger en Gambie. Seneweb revient sur ce moment à travers sa rubrique Jour-Pour-Jour.
La grossesse est un état angoissant et stressant.
« La faiblesse, ne voyant autour d'elle que des ennemis, est naturellement haineuse et méchante »
Mody Niang vient encore de produire une contribution intitulée "Ah ! Si on savait !".
Le Président de la République Macky Sall a décliné le 3 avril 2018 à la veille de 58ème anniversaire de l'accession de notre pays à l'indépendance un message à la nation, sobre mais riche, bref mais très profond.
Intéressant article que celui de Slate Afrique sur le kaolin, une «étrange drogue qui circule à Paris chez les femmes d'origine africaine». Ce type d'argile est vendu dans les épiceries africaines de la capitale, à la base comme produit de beauté. Les femmes enceintes le consomment aussi pour soulager les maux de ventre. Mais d'autres l'ingèrent sans être enceintes, et deviennent accro.
Le kaolin «kew» en wolof est très consommé par les femmes sénégalaises surtout les jeunes filles qui utilisent sous différentes formes. Il y a les femmes enceintes qui le mangent car selon elles, cela leur permet de calmer les nausées. Mais certaines l’utilisent pour autre chose à savoir le soin de visage qui d’après elle enlève les boutons ainsi que les rides. Notons de prime abord que le kaolin, c’est de la roche en calcaire.
Les points noirs, c’est tabou, on en viendra tous à bout !Bien souvent par manque d’hydratation, les peaux noires et métissées sont à tendance grasse. Pour comprendre pourquoi. Elles produisent en excès, du sébum pouvant obstruer les pores et donner naissance à de magnifiques points noirs. Les accumulations de peaux mortes sont également le résultat de ces imperfections. Elles agrandissent les pores et forment des bosses qui deviennent noires lorsque elles sont à l’air libre.
Très peu de femmes y échappent. La consommation de kaolin ou “kew” (en wolof) est une vieille pratique au Sénégal. Surtout, pour les femmes enceintes. Un petit tour dans les dédales du marché Syndicat de Pikine révèle à quel point les sénégalaises en sont friandes. Une passion qui suscite de plus en plus l’inquiétude des services sanitaires. Même si la consommation reste pour beaucoup taboue.
C’est une patronne très déçue de sa domestique qui s’est confiée à l’émission Teuss sur la Zik Fm. Fatou est le nom de cette domestique qui cachait ses cacas dans le congélateur de sa patronne. La découverte a été faite par les enfants de la patronne, qui cherchaient de la nourriture et qui ont trouvé des cacas enveloppés dans un sachet.
Le gynécologue sénégalais Cheikh Atab Badji invite les femmes à tourner le dos au kaolin (kêw, en wolof) pour préserver leur santé et leurs grossesses d’éventuelles complications résultant de l’accoutumance aux fragments de cette "roche argileuse blanche et friable".‘’Le meilleur conseil (aux femmes qui consomment le kaolin), c’est d’arrêter le plus tôt possible, avant de tomber dans une dépendance difficile à vaincre’’, a déclaré le docteur Badji, dans un entretien dans l’édition du week-end du quotidien
Louga, 7 mai (APS) - Un serpent blanc enveloppé dans du tissu rouge et du kaolin avec des écritures arabes a été retrouvé, vendredi matin vers 9 heures, par des menuisiers métalliques qui regagnaient leur atelier sis au quartier Thiokhna, à Louga, a appris le correspondant de l’APS. Les menuisiers métalliques officiant chez Abou Guèye ont eu la surprise de leur vie en découvrant sur leur lieu de travail, sous une plaque en taule, ce serpent mesurant au moins un mètre, partiellement enveloppé dans des morceaux de tissus rouges, du kaolin et du papier contenant des écritures arabes.
Entendons-nous: danse, je veux dire au sens ludique et frivole du terme. A titre d’exemples, le dandinement majestueux du « ndawrabin », rituel d’exhortation lebou n’a rien de commun avec les déhanchements lascifs, voire érotiques du « arwatam » laobe ou « ndaga » saloum saloum. Les civilisations de l’écriture ont, par rapport à celles de l’oralité, l’avantage de références historiques vérifiables et sur la trame desquelles se tissent indéfiniment l’évolution d’une société.
Dans son livre sorti, il y a peu, en France, Malick Dieng - militant du Parti démocratique sénégalais vivant à Besançon - explore les facettes du personnage Wade, « le grand bâtisseur », le panafricaniste…Il y expose aussi les fondements idéologiques du « wadisme », une doctrine proche d’un « libéralisme social » adaptée aux réalités et contingences locales. « Président Wade, un symbole pour l’Afrique », d’après ce qu’en dit son auteur, est le résultat d’une longue enquête conciliant jugements partisans et raison scientifique.
Comme tous les autres connus utilisés, le « kew » ou kaolin, en français, est un produit très consommé par une grande partie de la population. Les vendeurs, on les aperçoit dans tous les coins étaler leurs marchandises qui est très prisée par les femmes. Pour mettre fin à la vente de ce produit néfaste à la santé, les autorités devront beaucoup mener des campagnes de sensibilisation. Le kaolin, cette argile blanche utilisée dans la fabrication des porcelaines, dans la décoration des poteries, servant de maquillage dans les cérémonies rituelles en Afrique, joue aussi un autre rôle très important dans la vie des Africains, surtout des Sénégalais.
Idrissa Seck, en venant apporter son soutien et affirmer son amité à Amath Dansokho, a posé lundi dernier son premier acte officiel et public d’opposant. Après, bien entendu, sa déclaration de candidature du 4 avril dernier. Un acte qui lui a permis d’avertir le chef de l’Etat sur les risques d’instabilité qui pèsent sur le pays. Le Sénégal est décidément un pays pas comme les autres. Les paradoxes y sont assumés, les contradictions digérées, les antagonismes périodiquement fusionnés. A côté des leaders de la Cpa, les artistes se sont aussi déplacés pour se constituer en boucliers. Ouza Diallo, et Youssou Ndour entonnent le même refrain : «Nous sommes venus pour témoigner notre solidarité, et notre affection à Amath Dansokho.»